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4.d- Digital - Page 5

  • #Promiseconsulting Recherchons pour accompagner notre développement CE Juniors

    POSTE DE CHARGE(E) D’ETUDES DE MARCHE JUNIOR

    TYPES DE CANDIDATURE

    • Stagiaire pour une durée souhaitée de 3 mois minimum (universités ou écoles de commerce)
    • CDD ou CDI envisageables selon profil
    • Alternance ou année de césure également possibles
    • Licence ou Master 1 | Diplômé IUT
    • Localisation de la mission : 76-78 rue Saint Lazare – 75009 PARIS – M° Trinité ou Saint Lazare

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  • [#LUXURYLAB] [DIGITAL] | Le #luxe #italien met le #turbo sur le #numérique pour mieux servir les #Millennials | @LESECHOS

    DE OLIVIER TOSSERI | LES ECHOS | http://bit.ly/2LNotbJ

    Le #luxe #italien met le #turbo sur le #numérique pour mieux servir les #Millennials

    Alors que les ventes en ligne représenteront 20 % du chiffre d'affaires du luxe en 2025, les marques de l'excellence du Made in Italy veulent rattraper leur retard pour contrer Amazon et Alibaba.

    Altagamma, la fédération italienne des entreprises du luxe , fête ses 25 ans et pense déjà aux 25 prochaines années. Elle le fait en publiant un rapport, « Stratégies pour l'Italie de l'excellence », réunissant les contributions et les réflexions d'entrepreneurs et d'analystes. La génération des Millennials est au centre des enjeux. Les consommateurs nés dans les années 1980 et 1990 assurent 85 % de la croissance du secteur du luxe et ils représenteront 45 % de la clientèle en 2025. Le principal défi à relever, en Italie comme ailleurs, est l'adaptation à l'outil numérique.

    En 2016, le chiffre d'affaires des ventes en ligne atteignait 20 milliards d'euros, soit 8 % des plus de 260 milliards d'euros réalisés par l'ensemble du secteur du luxe mondial. Il devrait grimper à 74 milliards d'euros en 2025 soit 20 % de l'ensemble des achats. Aujourd'hui déjà, les ventes sont à 75 % influencées par le numérique, que ce soit via la recherche et la comparaison de produits ou la publicité, estime l'étude.

    Masse critique

    « La concurrence est rude avec  les géants que sont Amazon et Alibaba , constate Andrea Illy, président de Altagamma. En face, les marques italiennes ont réagi avec retard et de manière disparate. On a la capacité de rattraper ce retard mais il faut que nous leur opposions une masse critique pour rivaliser. C'est pourquoi nous lançons l'idée d'une présence unifiée des marques du luxe italien sur internet basée sur la narration du Made in Italy, la relation avec le client et la transaction pour augmenter les ventes ». Andrea Illy appelle à « une collaboration entre les pouvoirs publics et les entreprises privées » dans ce domaine. « Sinon les concurrents le feront à notre place », prévient-il.

    Mei.com, la plateforme en ligne dédiée au luxe appartenant au groupe chinois Alibaba, est très intéressée par le Made in Italy. Elle distribue déjà les produits de grandes griffes telles que Armani, Dolce & Gabbana, Versace, Valentino ou encore Ferragamo. Le succès de l'italien Yoox Net-à-Porter (YNP), spécialisé dans la vente en ligne de vêtements de marque, chaussures, bijoux et sacs à main, est une source d'inspiration pour faire face.

     
    « Lutte darwinienne »

    « Le numérique n'est pas seulement un canal de vente, estime Antonio Achille du cabinet de conseil McKinsey qui a contribué à la réflexion d'Altagamma sur ce sujet. C'est un test de résistance que chaque entreprise doit appliquer aussi bien à son offre qu'à ses magasins. Sont-ils compatibles avec le numérique ? La lutte darwinienne pour la survie n'en est qu'à ses débuts concernant le luxe en ligne. »

    Les vainqueurs partiront à la conquête de la Chine qui représente, avec les Etats-Unis, le principal débouché pour le luxe Made in Italy ces 25 prochaines années, selon les prévisions de Altagamma. En 2019, la Chine représentera 40 % du marché en ligne.

  • [#LUXURYLAB] [PLATEFORME] | Le #BHV #Marais a mis en #ligne sa #plateforme #marchande | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2K6B19o

    Le #BHV #Marais a mis en #ligne sa #plateforme #marchande

    Sur la Toile, le BHV Marais vient de propulser en catimini son site e-commerce flambant neuf, dont le lancement officiel est programmé en septembre, comme FashionNetwork.com vous l'annonçait il y a quelques semaines. L’heure est donc aux tests et aux réglages pour le grand magasin du groupe Galeries Lafayette, mais l’on peut d’ores et déjà passer commande au rayon mode, beauté, décoration, cuisine ou encore bricolage.

    Le BHV n'avait plus d'e-shop depuis la fermeture du précédent, en 2012. Mais aujourd'hui, son navire amiral de la rue de Rivoli a achevé sa rénovation et la concrétisation d'un projet omnicanal devenait indispensable. La nouvelle plateforme réunira d’ici la fin de l’année 70 000 références provenant de 600 marques. Le grand magasin a choisi de procéder de deux façons : une partie de l’offre sera commercialisée en propre, alors qu'une autre partie sera pilotée par les marques sous le format marketplace. Une façon sans doute d’accueillir en ligne des articles qu’il ne vend pas dans ses points de vente.

    Parmi les services proposés au client, la livraison est offerte à partir de 89 euros d’achats, et peut s’effectuer en magasin ou à domicile, tandis que les retours sont gratuits. Le consommateur peut aussi consulter la disponibilité des articles dans un des cinq magasins de l'enseigne entre Paris et Lyon. Le click & collect dans la journée serait également à l’étude.

    La stratégie du groupe Galeries Lafayette, qui a en outre acquis La Redoute cette année, est réellement d’affirmer une empreinte lifestyle, sans se focaliser sur la mode, afin de concurrencer à son échelle l’offre pléthorique d’un géant comme Amazon. Dans cette optique, il a tout récemment noué un partenariat avec Boulanger, spécialiste de l’électroménager et de l’électronique, pour installer des corners en magasin Galeries Lafayette mais aussi référencer l’offre de l’enseigne sur les e-shops des Galeries Lafayette et du BHV. 25 000 références produit de Boulanger seront à terme commercialisées sur les deux sites marchands.

    L’objectif fixé par la direction du groupe est que la part des ventes réalisées sur Internet atteigne 30 % de ses ventes globales à horizon 2020 (estimées à 5,5 milliards d’euros), mais celui-ci part de loin puisqu'en 2016, il ne réalisait que 2 % de son chiffre d’affaires via l'e-commerce.

  • [LUXURYLAB] [DIGITAL] | Des #robots aux #Galeries #Lafayette | @LSA

    DE JEAN-NOEL CAUSSIL | LSA | http://bit.ly/2MzzRFP

    Des #robots aux #Galeries #Lafayette

    Après quatorze mois de test, les robots développés par l'entreprise française Partnering Robotics investissent les allées du grand magasin Galeries Lafayette de Paris-Haussmann.

    Si vous croisez un robot en arpentant les allées du magasin Galeries Lafayette de Paris-Haussmann, pas de panique : c’est parfaitement normal. A compter de ce 12 juin 2018, cinq robots Diya One X (son petit nom n’est pas commode à retenir, on en convient) sont en effet déployés dans le grand magasin parisien.

    La qualité de l'air mais pas que...

    Leur rôle ? Veiller à la qualité de l’air ambiant, sur les 65000 m² de surface de vente, en temps réel, en étant en liaison permanente avec la centrale dédiée qui, en fonction des données transmises, peut agir en conséquence. Qualité de l’air, taux d’humidité, ce robot, développé par la société française Partnering Robotics, est tout entier voué au « bien-être » de la clientèle. En plus de la qualité de l’air, il est capable de déterminer s’il fait trop chaud ou trop froid dans la zone où il se trouve, si la musique est trop forte, si la lumière ne l’est pas assez, etc. Bref, en plus d’être utile au confort de la clientèle, il l’est aussi au travail des équipes pour agir plus rapidement quand un problème est détecté.

    Quatorze mois de test

    Les tests menés pendant quatorze mois au rayon femmes de l’enseigne ont été concluants avec, explique Partnering Robotics sans en livrer davantage, « une baisse significative de la facture énergétique finale ». Rencontrées par LSA à l’occasion du salon Viva Technology, qui s’est tenu à Paris en mai dernier, les équipes de l’entreprise annonçaiten un prix de vente indicatif de 499 euros pour un engagement de trente-six mois.

  • [#LUXURYLAB] [VIVATECH] | Le groupe de #luxe #Richemont explore la #3D et la #réalité #augmentée pour vendre ses #montres en magasin | @LUSINEDIGITALE

    DE JULIETTE RAYNAL | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2KP9cmH

    Le groupe de #luxe #Richemont explore la #3D et la #réalité #augmentée pour vendre ses #montres en magasin

    Le groupe de luxe Richemont a récemment lancé une nouvelle marque de montre baptisée Baume. Les produits, disponibles en ligne, seront aussi commercialisés dans certains points de vente physiques. La marque entend se distinguer avec des expériences personnalisées grâce à la 3D et à la réalité augmentée.

    Comment une marque de luxe présente exclusivement sur Internet peut-elle réussir son lancement dans le commerce physique ? Baume, la nouvelle marque de montres du groupe Richemont, fait le pari des expériences digitales...en magasin. Sur le salon Viva Technology, qui se tient du 24 au 26 mai à Paris, l'horloger présente deux expériences d'achat, développées en partenariat avec deux start-up tricolores.

    La première, présentée par la jeune pousse Hapticmedia, propose au client de configurer sa propre montre à partir d'un grand écran tactile. L'intéressé peut choisir la taille du cadran, sa couleur, le type de cadre, la matière du bracelet, sa couleur, celle des aiguilles, etc. "Plusieurs milliers de combinaisons sont possibles", assure Henri Foucaud, fondateur et CEO de la start-up. Pour proposer cette personnalisation avancée, environ une année de collaboration a été nécessaire avec les équipes de Baume. "Notre travail a consisté à recréer une bibliothèque de matières puis à modéliser en 3D toutes les briques élémentaires des montres", précise Lionel Liebe d'Hapticmedia.

     UNE MONTRE EN RÉALITÉ AUGMENTÉE AU POIGNET

    L'expérience imaginée par la start-up ne s'arrête pas là. Une fois le modèle du client configuré sur grand écran, il a la possibilité de le visualiser en réalité augmentée et en taille réelle sur son poignet en utilisant son smartphone et une bandelette en papier. Un moyen de vérifier ses choix de personnalisation ou bien de les modifier. "Une fois sortie du magasin et en attendant la livraison de sa commande, le client pourra continuer à visualiser son modèle personnalisé en réalité augmentée et le montrer à son entourage", ajoute Henri Foucaud.

    Le second scénario a été développé avec la start-up Smartpixel. Ici, le client a la possibilité de configurer sa montre sur-mesure à partir d'un objet physique et non depuis un simple écran. L'expérience repose sur des montres en cire blanche sur lesquelles sont projetés les différents éléments. Pour mettre au point ce dispositif, la start-up a scanné les montres de Baume en 3D pour ensuite modéliser tous les éléments et leurs effets (métal, liège, etc). SmartPixel s'appuie ensuite sur le moteur de jeu 3D Unity pour permettre au client de configurer la montre de son choix.

    DES DIZAINES DE POINTS DE VENTE

    Dans un premier temps, Baume entend tester ces différents scénarios à travers quatre ou cinq points de vente qui verront le jour dans des concept-stores afin de viser un public relativement jeune et friand de nouvelles technologies. La marque ne précise pas, en revanche, si les deux start-up tricolores deviendront bien ses partenaires commerciaux. Baume espère ouvrir plusieurs dizaines de points de vente d'ici la fin de l'année.