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5.7- Politique

  • Il est urgent de repenser le concept de #MadeinFrance !

    Il est urgent de repenser le concept de #MadeinFrance pour le faire évoluer vers une approche novatrice.

    En tant que co-auteur de cette Tribune, que je vous invite à lire dans #stratégies, nous considérons que la #relocalisation et la #réindustrialisation doivent éviter deux écueils stratégiques :

    1- Le premier consiste à adopter systématiquement une stratégie axée sur la #montéeengamme pour compenser les coûts de production plus élevés en France. Cette approche ne peut s'appliquer qu'à une niche de #marché et convient à des #marques singulières, mais elle ignore les attentes (et les ressources) du marché de masse. De plus, elle repose sur l'illusion que nos concurrents mondiaux ne sont pas en mesure de reproduire cette stratégie, ce que la Chine dément quotidiennement.

    2- Le deuxième réside dans une #disruption factice, entretenue dans certains milieux urbanisés et aisés, mais déconnectée de la réalité et des besoins de la majorité des citoyens-consommateurs.

    Nous sommes intimement persuadés que si demain le Made in France s'incarne dans un #Madeinautrement, la France peut retrouver un rôle de premier plan dans la promotion d'une RSE débarrassée de ses mantras idéologiques pour incarner la réalité des territoires et des gens.

    Pour lire l'article dans son intégralité : [cliquer ici]

    Merci à Gilles WYBO et à Delphine Soulas-Gesson pour leur confiance.

    #france #rse #madeinfrance

  • Visibilité ou représentation du réel, il faut choisir !

    Visibilité ou représentation du réel, il faut choisir !

    Philippe JOURDAN, professeur des universités, UPEC  

    Jean-Claude PACITTO, maître de conférences, UPEC

    Le communauté des professionnels du marketing et de la communication est menacée, depuis quelques années, d’un virus épistémologique mortel : celui de confondre deux concepts, pourtant très différents, la visibilité et la représentativité. A vouloir appuyer des décisions, souvent stratégiques, sur des faits visibles plutôt que sur des données représentatives, la sphère marketo-communicationnel pourrait à terme signer sa propre fin.

    En effet, force est de constater qu’à l’ère de la communication digitale et des réseaux sociaux, le visible devient le seul réel. Les signaux faibles, les prédispositions émergentes, l’opinion des influenceurs, le jugement des ambassadeurs, le goût des célébrités, les tendances du moment profitent de la formidable caisse de résonnance des réseaux sociaux et des supports digitaux, pour supplanter le réel, et imposer le visible comme le nouveau mantra. Le postulat sur lequel repose cette nouvelle approche est le suivant : l’acteur dont on rapporte l’expérience est le reflet d’une tendance lourde de la société, et ce qui est peu visible aujourd’hui est la réalité de demain. La visibilité se suffit donc à elle-même, elle a remplacé le réel et définitivement écarté toute précaution de représentativité. Or, il s’agit là d’un maillon faible de toute analyse sociologique mal conduite, qui consiste à généraliser un comportement en se basant sur une seule expérience.

    Ainsi que l’explique fort bien Coenen-Huther (2006), « en dépit de l’ascèse intellectuelle la plus rigoureuse, le risque est toujours présent d’attribuer à l’acteur une logique de comportement dont on juge la portée universelle alors qu’elle est liée à un contexte socio-culturel particulier ». Plus grave encore, ce qui est immédiatement visible est réel dès lors qu’il conforte notre sens personnel de l’évidence (Abel, 1948).

    Or, nous le savons bien, ce qui est évident est souvent faux, car, comme l’écrivait Aron (1967, 1991), « l’intelligibilité intrinsèque a presque toujours pour contrepartie l’équivoque », raison pour laquelle il convient de rejeter « l’intuition non contrôlée comme principe de compréhension » (Coenen-Huther, 2006).  Dans cette approche, la visibilité est vue comme une manifestation du réel : « ce qui est visible est vrai » affirment les adeptes de ce nouveau mantra, alors que l’inverse est tout aussi plausible, ce qui est vrai n’est pas forcément visible.

    Il y a donc bien un vice caché dans cette approche, car la visibilité n’est rien d’autre qu’un construit qui résulte largement d’effets de projection de petits groupes sociaux aux caractéristiques parfaitement identifiées. Le réel, en tant que phénomène social, n’est que la résultante des actions des acteurs sociaux -l’homo sociologicus propre à Boudon- et c’est alors l’agrégation des intentionnalités individuelles qui, en se composant, donnent lieu à des phénomènes collectifs, soutenus par des valeurs, des principes, des idéologies ou des croyances (Coenen-Huther, 2006).

    Ces effets de projection produisent des effets pervers redoutables : l’objectif n’est plus tant de révéler des tendances, que de les susciter et ensuite de les diffuser largement, en vue de les faire adopter par le plus grand nombre. L’homogénéisation sociologique qui est celui de cette communauté (élitiste, instruite, cultivée, urbaine, aisée, et souvent jeune) a engendré une homogénéité idéologique qui empêche toute remise en cause. La conséquente est évidente : la diffusion d’aprioris est préférée à la validation d’hypothèses, pourtant au cœur de toute démarche d’étude scientifique, et le marketing n’est pas épargné. Les nouveaux marketo-communicants saturent l’espace cognitif de concepts comme l’inclusivité, la diversité, l’identité de genre, la racialisation, l’ethnicisation, les digital natives, la Gen X, Y ou Z, en s’interrogeant trop rarement sur leur contenu, leur origine, et leur implication. Ce sont d’ailleurs souvent les mêmes communicants qui, des années après, remettent en cause ces mêmes construits, comme on a pu le voir récemment avec la remise en cause des fractures générationnelles.

    On ne cherche plus ni à comprendre, ni même à expliquer, ce qui est le fondement même des études marketing, mais à convaincre, et disons-le à imposer. Le risque est clairement de basculer dans une recherche militante, dont le but n’est pas « d’explorer l’inconnu, mais de trouver des chiffres susceptibles d’appuyer ses dogmes » (Heinich, 2021). L’idéologie a, de fait, totalement brouillé les frontières entre visibilité et représentativité. Ce sont autant de mantras qui n’ont pas à subir l’épreuve du test. Le simple fait de les réciter produit des effets. On n’interroge plus le réel, on le somme de s’adapter.

    Dans les études sur la consommation, le mot d’ordre est clair : le mouvement vers une consommation éthique, responsable (n’oublions pas citoyenne) est inéluctable, et malheur à ceux qui révéleraient que ce n’est pas la tendance principale ! Celui qui révèle le réel devient un déviant. Une autre conséquence de cette visibilité auto-produite (et donc auto-réalisatrice) réside dans le fait que toutes les catégories sociales qui ne souscrivent pas au nouveau credo sont marginalisées et regardées comme des parias. Lors de la crise des Gilets Jaunes, des journalistes du service public ont feint de découvrir qu’on ne parlait jamais de la France périphérique, des catégories moyennes et populaires. Un hasard ? S’il n’y avait les travaux de quelques francs-tireurs, comme Guilluy (2014), venu lui de la géographie, ou Fourquet (2019) qui, dans notre petit monde, s’intéresserait à eux ? Or la consommation est un phénomène complexe, qui ne peut exclure les classes populaires, et, plus généralement, comme pour tout phénomène sociologique, les majorités silencieuses au profit des minorités visibles.

    A défaut, certaines réalités échappent totalement au regard de l’analyste de la consommation des ménages, à savoir le poids des dépenses contraintes, la gestion critique des priorités d’achat, l’inflation perçue, la stagnation intériorisée du pouvoir d’achat, la fréquentation en hausse des circuits populaires d’achat, la consommation de marques premiers prix, la hausse de l’épargne de précaution dans un monde devenu incertain. Et au final, comment comprendre une forme de violence intériorisée (mais pour combien de temps), nourrie de frustrations au quotidien de ne pouvoir consommer, lorsque les priorités des marketeurs et des communicants, amplifiées par les réseaux sociaux, se focalisent sur la consommation éthique, responsable, écologique, partagée et collaborative ? Le sujet de la hausse du prix de l’essence est l’exemple le plus marquant. On voit avec quelle difficulté le gouvernement lui-même a du mal à quantifier le besoin des classes populaires, contraintes d’utiliser leur automobile : qui sont concernés ? où résident-ils ? combien sont-ils ? pour quels usages ? comment les toucher ? Autant de questions, dont les réponses ne peuvent s’appréhender que dans des études de grande ampleur, à l’image de celles qui ont fait les beaux jours du Credoc ou de l’Insee. Mais voilà, ne sont-elles pas devenues ringardes ?

    Du côté des entreprises, au nom d’une visibilité auto-réalisatrice, ces mêmes acteurs marketo-communicants, arrivent à convaincre les dirigeants de revoir leur positionnement et de partir à la conquéte de nouveaux territoires, ignorant les études sérieuses qui leur disent de ne pas (totalement) rompre avec leur clientèle légitime au risque de brouiller leur image et de ruiner leur capital de marque. C’est ainsi que dans le domaine de la mode, il convient de s’intéresser à toutes les formes de culture urbaine (graffiti, rap, slam, hip-hop, danses urbaines, human beatbox, etc.), quitte à aller batailler sur des niches de marchés déjà largement occupées, et sur lesquelles bien des marques n’ont aucune légitimité. Mais l’injonction à le faire est très forte, car dans la nouvelle posture épistémologique que nous décrivons, il n’y pas de place, de fait, pour la demi-mesure. Il y a un modèle sociétal sous-jacent qui devient de fait la nouvelle frontière pour tous les acteurs de la vie sociale et économique.

    La représentation du réel, dont l’un des outils méthodologiques est la représentativité statistique, devient donc un « gros mot ». Dans une vision idéologique des choses, on ne prend jamais en compte le réel. Le réel est une anomalie, et de toute façon nul besoin de chercher à le connaître scientifiquement, car les nouveaux concepts produisent leurs propres résultats et ceux-ci ne peuvent aller que dans le sens de l’Histoire. Le paradoxe est, qu’au nom de l’inclusivité et de la diversité, notre société est devenu excluante à force de se vouloir totalement homogène !

    #marketing #communication #reseauxsociaux #digital #visible #reel #representativite #sondage

    Sources

    Abel Théodore (1948).- « The operation called Verstehen”.- The American Journal of Sociology.- vol. 54.- p. 211-218.

    Aron Raymond (1967).- Les étapes de la pensée sociologique.- Paris, Gallimard.- Réédition 1991.- 662 pages.

    Coenen-Huther (2016).- « Compréhension sociologique et démarches typologiques ».- Revue européennes des sciences sociales.- p. 195-206.

    Fourquet Jérôme (2019).- L’archipel français : naissance d’une nation multiple et divisée.- Editions Points.- 528 pages.

    Guilluy Christophe (2014).- La France périphérique : comment on a sacrifié les classes populaires.- Editions Flammarion, Paris.- 192 p.

    Heinich Nathalie (2021).- Ce que le militantisme fait à la recherche.- Editions Gallimard.- 48 pages.

     

     

  • #Promiseconsulting #Luxurylab: Coronavirus. Les formations du Luxe face à la crise @supdeluxe

    Le parisien étudiant - publié le 28 Avril 2020

    Le directeur de Sup de Luxe nous explique comment ses formations se maintiennent à distance, ainsi que les conséquences sur le secteur du luxe.

    Le secteur du luxe est fortement impacté par la crise mondiale liée au Covid-19. Repenser les techniques de communication, s’adapter aux nouveaux consommateurs et préparer les étudiants à répondre aux besoins d’une clientèle toujours plus exigeante, voici les défis du luxe expliqués par Thibaut de la Rivière, Directeur de Sup de Luxe.

    Le passage en e-learning dans une école spécialisée dans le luxe a t‘il été plus difficile ?

    Nous avions anticipé ce changement et sommes passés du présentiel au distanciel sur l’ensemble de nos programmes immédiatement après la fermeture de nos écoles décidée par le Gouvernement. La situation de pandémie nécessitait une forte réactivité afin de rassurer et d'encadrer nos étudiants.
    Nous avions l’avantage d’avoir l’expérience de l'enseignement distanciel car nous proposons depuis déjà plusieurs années un MBA Online, dispensé avec succès à travers le monde.

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  • #covid-19 Le Naufrage du Titanic où comment l'histoire se rappelle à nous.

    En dressant un bilan personnel de la gestion de la crise du #COVID-19 par nos dirigeants actuels, je me suis rappelé les propos de FrederiqueDumas92, l'une des premières députés LREM a avoir quitté en 2018 la majorité présidentielle.

    Elle établissait, dans le cadre de la gestion de l'affaire #Benalla à l'époque, un parallèle saisissant avec l'affaire du Titanic, parallèle qu'elle a explicitée depuis lors (https://bit.ly/3b17KKy). Certes on admettra qu'une métaphore n'est bien souvent d'un raccourci déformant une réalité plus complexe, mais le parallèle est tout de même saisissant

    On s'arrêtera au rappel des deux événements et de ce qui les sous-tend, un même déni de réalité :

    [1]- Deux événements d'une ampleur "exceptionnelle" toute chose étant égale par ailleurs. Le navire le plus grand, le plus rapide, le plus luxueux, le plus sûr au Monde qui sombre corps et âmes dans l'Atlantique Nord, dans la nuit du 14 au 15 Avril 1912. Le #COVID-19, une pandémie d'une violence inouïe par ses répercussions sanitaires, économiques et sociales, en 2020.

    [2]- Le même déni de réalité, qui entraîne un aveuglement fatal. A bord du Titanic, ont pris place le capitaine Edward Smith, une figure qui ne manque pas d'évoquer celle d'#EdouardPhilippe, le propriétaire de White Star Line, J. Bruce Ismay (#EmmanuelMacron) et beaucoup de personnalités célèbres du monde des affaires et du show-biz (John Jacob Astor, George Widerner, Charles Hays, Arthur Ryerson, etc.). Il s'agit dans le cas du Titanic, dont c'est la traversée inaugurales, d'aller "plus vite et plus loin", des propos souvent tenus par notre Président pour qualifier son esprit de réforme. Ce déni de réalité finit par nier la réalité dans son ensemble.

    Quelques faits pour nous le rappeler :

    [a] - La même faiblesse à s'enfermer dans de fausses certitudes. Le Titanic ne peut pas couler, car il est insubmersible, tout comme l'hôpital français ne peut pas être submergé, car "nous avons l'un des meilleurs systèmes de santé en Europe" (https://bit.ly/2z7tuaE). Or on sait ce qu'il en fût, avec une crise hospitalière d'une ampleur inouïe et un système d'urgences hospitalières au bord de la rupture (https://bit.ly/3feRxow).

    [b] - Le même aveuglement à nier la réalité.Le Titanic avait reçu dans la journée qui a précédé le naufrage de nombreux message radiotélégraphiés qui prévenaient de la présence d'icebergs dérivants dans sa zone de navigation. De même, nos autorités politiques et sanitaires ont-elles reçu de nombreux avertissement de la part de l'OMS, de la Chine et de même de l'Italie dont il ne fût tenu aucun compte. Il est vrai que la France, tel le Titanic, ne pouvait se comparer à rien : nous n'étions pas l'OMS (trop technocratique), ni la Chine (trop peu démocratique), ni même l'Italie (trop petite), nous étions le Titanic, le plus grand navire insubmersible au Monde.

    [c]- Lorsque les faits s'imposent, la même obstination à occulter les faits eux-mêmes, tout au moins leurs conséquences prévisibles, et les moyens mêmes insuffisants pour y faire face. Par souci d'éviter la panique à bord, comme le prétendront les représentants de la White Star Line à la commission d'enquête américaine (https://bit.ly/35oxlvM)? Peut-être ? Mais rappelons tout de même quelques éléments de la chronologie d'une tragédie :

    L'épidémie du #COVID-19 ? Elle n'atteindra pas la France ou si peu (#Agnesbuzyn, fin Janvier 2020), tous comme les icebergs de l'Atlantique Nord n'avaient aucune chance de croiser la route du Titanic. On se demande encore pourquoi.

    Le port du masque ? "Les masques n'ont aucun intérêt pour le Grand Public" selon #Jeromesalomon (04 Mars 2020), et d'ailleurs "moi, je n'en ai pas et je ne sais pas les mettre" (#Sibethndiaye, 20 mars 2020). Tout comme les gilets et les canots de sauvetage, trop peu nombreux à bord du Titanic, mais jugés inutiles, puisque, on vous l'a déjà dit, le Titanic est insubmersible, et puis de toute façon, pas sûr que les passagers de la troisième classe sachent enfiler un gilet ou grimper à bord d'un canot.

    Les tests de dépistage ? Réservés aux cas seuls suspects d'être contaminés (#Edouardphilippe, 28 Avril 2020), une stratégie pour le moins douteuse (https://bit.ly/2St3CwH). En réalité, on le sait bien aujourd'hui, une affirmation de principe destinée à "masquer" (sans jeu de mots), le trop faible nombre de tests disponibles. On lui préférera ici le geste chevaleresque (et So British) des passagers du Titanic laissant les quelques places de canots disponibles aux femmes et aux enfants d'abord !

    [d]- Quelques acteurs qui jouent leur rôle jusqu'au dernier moment, dans une partition qui semble les dépasser. Tel le radiotélégraphiste Harold Sidney Bride du Titanic, qui lancera jusqu'au dernier moment les messages de détresse qui permettront au Carpathia de secourir les trop rares naufragés (retrouver ici le témoignage émouvant de H.S. Bride, https://bit.ly/2YEwnuj). On ne peut que faire le parallèle avec l'avertissement lancé par #Martinhirsh, le responsable de l'AP-HP qui lance le 25 Mars 2020 "plus qu'un appel à l'aide" (https://bit.ly/2YqhRWC).

    On pourrait multiplier à l'infini le parallèle métaphorique. Les deux commissions d'enquêtes sur la tragédie du Titanic, la Commission Sénatoriale Américaine et la Commission Britannique, se sont très vite attirées les foudres de la presse, en raison du caractère inexpérimenté des enquêteurs, des interférences politiques dans l'enquête, et des controverses nombreuses. En sera-t-il de même demain pour celles qui ne manqueront pas d'enquêter sur la gestion de la crise du #COVID-19 en France ?

    Il est temps d'arrêter pour moi le visionnage du film le Titanic de #Jamescameron (@Jimcameron, 1997). Tiens, je viens de me rappeler que FrederiqueDumas92 est une ancienne productrice de cinéma. Sûrement pas un hasard, si cette métaphore audacieuse est précisément celle qu'elle a mise en avant pour justifier d'avoir quitté le navire avant qu'il ne coule. Elle citait aussi le film Matrix, mais c'est une autre histoire. Je vous en reparlerai plus tard.

    Très bonne nuit.

    A Paris, le 03/05/2020, 6h30 PM.

  • #COVID-19 CHINE : REBOND SURPRISE DE LA CONSOMMATION MAIS UN SCENARIO NOIR EST TOUJOURS PREVISIBLE

    COMMUNIQUE DE PRESSE

    Vague 1 en Chine d’un tracking international appelé « #Covid-19 : Tracking the Rebound” mené conjointement par les sociétés Promise Consulting | Panel On The Web et Alliance Berstein. Résultats portant sur 600 personnes interrogés entre le 26 et le 29 Mars 2020, de catégories socioprofessionnelles supérieures dans les plus grandes villes de Chine.

    Pour des informations concernant des vagues antérieures pour d’autres pays, dont la France, contacter les auteurs (voir ci-dessous pour les coordonnées).

    Promise Consulting, société de conseil, et Panel On The Web, institut d’études marketing, de consommation et d’opinion, ont interrogé 600 Chinois vivant en milieu urbain et appartenant aux 10% de foyers aux revenus les plus élevés entre le 26 et le 29 avril 2020. Trois questions ont été posées dans le cadre d’un tracking international sur les perspectives de rebond de la consommation des ménages dans le Monde, à l’issue de la crise du #Covid-19 :


    - Fréquence avec laquelle les individus pratiquaient un ensemble d’activités économiques, culturelles et sociales avant la crise du Coronavirus.
    - Ralentissement de chacune de ces activités par rapport au rythme antérieur à la crise sanitaire du Coronavirus.
    - Anticipation d’un retour à la normale au cours des 15 prochains jours.


    Ces trois indicateurs sont mesurés à l’aide d’échelles normées permettant une comparaison des résultats d’une vague bimensuelle à l’autre et le suivi d’un indicateur global par pays et par vague appelé « Indice de rebond ». Il s’agit ici de la première vague pour la Chine.


    Avertissement : l’analyse ci-dessous n’est qu’un extrait partiel des résultats d’une étude plus complète et proposée en souscription aux annonceurs. A cet égard, leur diffusion par la presse et les média est libre sous réserve de mentionner les éléments rapportés à fin du présent CP. Les auteurs soulignent également qu’ils ne sont engagés que par les interviews, analyses et témoignages qu’ils pourraient être amenés à apporter. 

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  • [#Promiseconsulting] [#opinionlab] СООБЩЕНИЕ ДЛЯ ПРЕССЫ | Франко-российские отношения: 74 % французов за то, чтобы растопить лёд.

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