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4.z - Autres - Page 8

  • @L’Oréal’s wearable #UV patch finally launched [#launch #technology #innovation #sunrays #suncare #sunexposure #UVradiation #LaRochePosay]

    L’Oréal’s wearable UV patch finally launched

    By Lucy Whitehouse +, 10-Aug-2016, cosmeticsdesign-europe

    L’Oréal has launched its long-awaited wearable UV patch technology allowing consumers to monitor exposure to harmful sun rays with a view to encouraging consumption of its La Roche-Posay sun care range.

    This band aid-sized device is comprised of an ultra-thin heart-shaped sensor for UV radiation detection and was developed by a team of 25 researches across the world. It is intended to be launched in 16 countries and available for purchase on the La Roche-Posay website.

    According to Guive Balooch, Vice President of L’Oréal R&I’s Connected Beauty incubator, “The connected technologies can fundamentally change the way we monitor exposure of the skin to various external factors such as UV rays”.

    Details of the UV patch:

    -          Printed electronic circuit on a flexible film

    -          Contains photosensitive blue dye for color changes when exposed to UV light

    -          Sensor linked to app for UV measurement over a certain time period

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  • #Melanin synthesis discovery prompts hope of new #cosmetics applications [#melanin #skincare #cosmetics #anti-ageing #biotechnology #tryosinase #environmental technology]

    Melanin synthesis discovery prompts hope of new cosmetics applications

    By Simon Pitman+, cosmeticsdesign-europe, 07-Jul-2016

    New research that has deciphered the formation process for melanin could lead to further development of its use in a number of applications, including cosmetics.

    The article points out that melanin is well-known for falling into the categories: Anti-ageing, skin conditioning and tinting.
    However, through advanced biotechnology, researchers found the secret enzyme tryosinase, a core trigger in the synthesis process, which has an important impact on the development of cosmetics, medicine and environmental technology.

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  • Storytellers : quand #luxe s’allie à expérience #digitale augmentée [#storytelling #personnalisation #solutiondigitale #distribution #réalitéaugmentée]

    Storytellers : quand luxe s’allie à expérience digitale augmentée

    By Romain +, 30-juin-2016, Interviews, Journal du Luxe

    Le studio TakeOff est spécialisé dans le design graphique via le print, la production audiovisuelle et la production multimedia. La société propose désormais aux marques de luxe de retranscrire leur ADN à travers des coffrets hauts de gamme.

    Nous nous imprégnons de l’esprit du produit, de ses créateurs, de son histoire et des valeurs qu’il véhicule. Ensuite, nous matérialisons l’ensemble à travers un coffret et un contenu ultra personnalisé et qualitatif. De plus, nous proposons une solution digitale qui pourra apporter un aspect différenciant comparé à un coffret classique.

    Nous avons une expertise prouvée sur la réflexion, conception et fabrication d’Editions Collectors. Mais au-delà, nous apportons un savoir-faire unique concernant une nouvelle mécanique de distribution qui évite de surcharger les linéaires tout en incluant des innovations digitales telles que l’activation intelligente des réseaux, la réalité augmentée, les applications ou même l’holographie.

    La start-up « Storytellers » a exposé son idée au Salon du luxe Paris les 6 et 7 juillet 2016.

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  • #Hermès investit le capital de Pierre Hardy [#luxe #chaussures #Pierrehardy #collaboration #croissance]

    Hermès investit le capital de Pierre Hardy

    By Romain, 13-juillet-2016, Journal du Luxe, Business

    Hermès vient d’acquérir une « part minoritaire » de la société de chaussures et d’accessoires haut de gamme Pierre Hardy. Le taux de cette part n’a toutefois pas été communiqué.

    Hermès a toujours eu pour habitude de soutenir stratégiquement et financièrement les designers avec lesquels il travaille. Le groupe avait par exemple acquis une part de 30% du capital de Jean Paul Gaultier en 2003. Une part vendue à Puig en 2011 après la fin de la collaboration entre les deux entités. La société est également devenue propriétaire du cordonnier britannique John Lobb.

    Le fruit de 25 ans de collaboration

    L’investissement de Hermès dans le capital de Pierre Hardy intervient après plusieurs années de collaboration entre les deux entités.

    Hermès affiche ainsi son ambition de contribuer au plan de croissance de Pierre Hardy et de consolider une relation étroite avec le concepteur de chaussures haut de gamme. La Maison Pierre Hardy enregistre actuellement une croissance importante du fait de la hausse de la demande de chaussures.

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  • Immigration et Marketing au Sommaire du num 255 de la #RFM / #ADETEM

    Par Philippe Jourdan et Jean-Claude Pacitto, membres du Comité de Rédaction

    adetem, rfm, marketingLe Marketing doit-il être en prise avec l’actualité de son temps au sens le plus large ? Le débat oppose la communauté des praticiens et des chercheurs. Il n’en reste pas moins que l’acte de consommation s’inscrit dans une démarche citoyenne, parfois militante et toujours sociologique. Or notre période est marquée par une forte poussée migratoire, qui, en dehors même des débats politiques qu’elle alimente, a également un impact sur les modes de consommation ainsi impactés. Dans les nouveaux rapports à la consommation esquissés, se pose bien évidemment le problème de l’acculturation du nouveau (ou futur) consommateur que constitue le migrant.

    Parler pour mieux consommer ? (…)

    immigration, langue, frontière, consommation, markatingOn sait que la non maîtrise de la langue constitue un frein à la consommation. La question qui se pose est donc celle de savoir comment lever ce ou ces freins ? C’est précisément à cette question que se propose de répondre l’auteur de l’article « Parler pour consommer ? Enquête ethnographique autour d’un parcours d’intégration pour adultes migrants ». C’est à travers l’observation fine d’un parcours d’intégration en Allemagne que l’auteur, Virginie Silhouette-Dercourt, maître de conférences à Paris XIII, révèle les nombreux freins à la consommation que soulève la non maîtrise de la langue du pays d’accueil dans différents registres (lexicaux, de repérage, culturels, d’interactions, etc.). Comme le souligne justement l’auteure, les modèles théoriques de l’acculturation sont ici de peu d’utilité, car les situations sont multiples et relèvent de problématiques qui le sont tout autant. D’où la nécessité de bien appréhender, en fonction des situations rencontrées, les freins à la consommation. C’est le préalable indispensable avant de faire du migrant un consommateur averti sachant repérer, évaluer et en dernier lieu consommer. Cet article, exploratoire, a le mérite de « défricher » un chantier qui ne manquera pas, dans les années qui viennent, d’occuper nombre de marketers, pour apporter une solution qui soit pertinente pour la consommation, durable pour l’économie et juste socialement. Sa principale contribution théorique et pratique nous semble ici résider dans l’éclairage qu’il apporte aux freins que constitue l’importance de la non-maîtrise du langage dans les modèles d’acculturation.

    L’arrêt d’un parrainage sportif à l’initiative du parrain (…)

    parrainage, sport, marketing, tennisDans un tout autre registre, le développement du parrainage sportif sous toutes ses formes (d’un sportif, d’un événement, d’un lieu, d’un bateau, etc.) n’est-il pas assorti de certains risques ? Plus particulièrement le parrainage d’un sportif n’est-il pas une « arme » à double tranchant ? En effet, comment gérer « l’après parrainage » quand la marque décide, quelle qu’en soit la raison, de se retirer ? Quel impact pour la marque ? C’est précisément la question qu’adresse l’article « L’arrêt d’un parrainage sportif à l’initiative du parrain : quel impact sur l’attitude des individus à son égard ? » proposé par trois chercheurs de la région de Grenoble, Laurence Carsana, Sandrine Falcy et Sabine Reydet. Après avoir distingué fort à propos deux types de motifs, d’ordre interne ou externe, les auteurs montrent toutefois que, dans les deux cas, la fin du contrat de parrainage à l’initiative du parrain ne semble avoir aucun impact négatif pour le parrain, contrairement à ce que l’on pourrait penser de prime abord. Les auteurs restent toutefois prudents sur la généralisation des résultats ainsi rapportés, car tout semble dépendre des motifs à l’origine de la décision du parrain de cesser le parrainage. Les auteurs insistent ainsi sur la nécessité pour les annonceurs de soigner leur communication, s’agissant de l’explication des raisons qui ont conduit à l’arrêt du parrainage, car on ne peut souscrire qu’à l’hypothèse selon laquelle le caractère interne (propre au parrain) ou externe (en dehors du champ d’action du parrain) est modérateur de l’impact de la décision de rupture sur l’image de la marque du parrain.

    Enfin, les auteurs reconnaissent une des limites de leur étude : la sollicitation d’une cible grand public dont l’engagement (au-delà de la connaissance) vis-à-vis du sportif parrainé n’est pas nécessairement démontré. Cet article a toutefois le mérite d’investiguer un champ peu exploré : l’effet de rétroaction d’une décision de cessation de parrainage sur l’image de la marque, alors que l’impact du parrainage sur l’image de la marque elle-même a, lui, été abondamment étudié. La question ainsi posée est d’une actualité brûlante, car l’on sait que beaucoup de « parrains » se sont posés la question de savoir si leur sponsoring de certains joueurs de football devait être maintenu, à la suite de leurs frasques judiciaires, causes externes s’il en est. Toute la question est de savoir comment annoncer ce retrait : de manière discrète ou la plus neutre possible ou bien en choisissant d’en exposer publiquement les motifs ? Un dilemme pour tous les sponsors, qui révèle que la notoriété et l’image partagées sont toujours, au fond, à double tranchant !

    Le placement de produits dans les jeux vidéo (…)

    jeux, videos, marketingLa cible des adolescents ne manque pas de « dérouter » nombre d’agences et d’annonceurs, lorsqu’il s’agit de communiquer efficacement avec eux. Comment, en effet, non pas uniquement les « toucher » mais davantage les « convaincre » ? Car si tout le monde s’accorde sur l’importance de cette cible sur le plan de consommation, et donc sur son intérêt d’un point de vue marketing, choisir le bon mix média pour les convaincre est loin d’être évident. On peut considérer, à cet égard, que les jeux vidéo constitue un support de placement incontournable, mais comment optimiser ce placement et installer une communication efficace, du point de vue de l’annonceur, entre la marque et l’adolescent ? Dans le troisième article, « Le placement de produits dans les jeux vidéo : un moyen pour revisiter la relation marque-adolescent », Marina Ferreira Da Silva et Pascale Ezan se penchent de façon approfondie sur le sujet, afin de répondre à la question : « pourquoi et comment les annonceurs doivent-ils mobiliser le placement de produits dans les jeux vidéo pour communiquer auprès des adolescents ? ». Plusieurs facteurs sont ainsi étudiés : en premier lieu, la familiarité des marques, ainsi mises en avant qui interagissent d’autant plus avec le public des adolescents qu’elles sont proches de leur univers de consommation ; en second lieu, une personnalisation étudiée du placement, gage d’une relation plus étroite et d’une immersion plus profonde. Au final, ce qui domine, c’est évidemment la congruence entre, d’une part, la marque et, d’autre part, les jeux, que le placement soit hautement intégré (ce qui suppose une interaction du jeu avec le produit) ou plus périphérique (affiche, panneau publicitaire, etc.). La conclusion est sans appel : les marques doivent avant tout résister à la tentation d’envahir les écrans du jeu, ce qui peut s’avérer contre-productif, et se focaliser sur un objectif important : celui d’accroître leur capital sympathie au travers d’expériences partagées. Bref, les marques doivent avant tout s’attacher à ne pas confondre « placement » et « exposition ».

    Performance et satisfaction, une relation bien moins simple qu’il n’y paraît (…)

    performance, satisfaction, marketing, organisationsPoser la question de savoir s’il existe un lien entre l’efficacité opérationnelle des organisations et la satisfaction des clients peut sembler « hérétique », tant la réponse semble relever du bon sens. Elle doit cependant se poser, tant la relation entre la performance organisationnelle et la satisfaction des clients dans l’univers des services est loin d’être évidente. Se focalisant sur l’expérience hôtelière, c’est plus précisément à ce lien que s’intéressent Laurent Botti, Aurélie Corne, Olga Goncalves et Elisabeth

    Robinot, dans leur article « Performance et satisfaction, une relation bien moins simple qu’il n’y paraît : le cas de l’hôtellerie ». En vérité, ce lien, qui paraît intuitivement évident, l’est beaucoup moins lorsqu’on « creuse » la question. Les auteurs adressent donc ici une question essentielle dans les services : existe-t-il un lien entre la performance opérationnelle (côté production du service) et la satisfaction du client (côté consommation du service) ? Il convient, dans un premier temps, de bien distinguer le caractère transactionnel de la satisfaction (qui peut être lié à une seule expérience de consommation) de son caractère relationnel (qui suppose la réédition de l’expérience) ou d’opposer encore la satisfaction partielle et la satisfaction globale, à l’instar de ce que propose la littérature sur le sujet. À cet égard, les auteurs soulignent fort justement que « l’expérience hôtelière – le séjour – peut être identifiée à un parcours compris comme une succession d’événements dont l’agrégation sera constitutive de l’expérience elle-même ». Pour mesurer l’efficience, les auteurs font d’abord référence à trois modèles de mesure, respectivement connus sous les noms de DEA, CCR et BCC, les deux derniers définissant l’efficience comme le relevé des meilleures pratiques relevées au sein d’un échantillon. Soulignons l’intérêt opérationnel de cette démarche : elle permet aux managers de révéler les leviers d’amélioration de la performance hôtelière, en leur permettant de se comparer aux autres et d’utiliser l’information disponible pour ajuster leur stratégie. Les auteurs mobilisent également une autre méthode, connue sous le nom d’Electre III : elle consiste à s’appuyer sur les ressources d’une analyse multicritères, et en respectant l’hypothèse du caractère noncompensatoire des critères, de postuler qu’une alternative est plus satisfaisante qu’une autre, si elle lui est supérieure sur un nombre suffisamment grand de critères. C’est ainsi que sont relevées, puis mises en relation, les dimensions d’efficience et de satisfaction, avec une parcimonie de moyens qui évite la dilution du concept de satisfaction du client. Au final, si le lien entre efficience opérationnelle et satisfaction du client n’est pas nécessairement démontré - ceci pouvant en partie s’expliquer par le grand nombre d’hôtels « efficients » au sens de la définition adoptée - l’article met en œuvre une démarche rigoureuse et très analytique, permettant aux professionnels de l’hôtellerie de mieux comprendre les mécanismes en œuvre dans l’efficience de service.

    Rubrique « Fenêtre sur » : un regard sur les équipements culturels dans l’aménagement des territoires et sur les conditions de succès dans l’exécution d’une stratégie Pour clore ce numéro particulièrement dense, nous avons choisi de mettre en avant deux articles dans notre rubrique « Fenêtre sur ». Le premier porte sur le rôle de l’équipement culturel amiral dans le repositionnement d’une ville et exploite les résultats d’une étude menée sur deux villes françaises, Lens et Bordeaux, et s’inspire de l’exemple du repositionnement poursuivi par la ville de Bilbao. Les auteurs, Julien Cusin et Juliette Passebois Ducros, concluent, au terme de leur démarche, que les projets amiraux renforcent, sous certaines conditions, l’identité culturelle des territoires. Mais les auteurs précisent également que si ces projets renforcent une identité préexistante, ils ne la changent pas, permettant seulement - et ce n’est déjà pas si mal - de faire le pont entre tradition et modernité.

    Enfin, notre dernier éclairage porte sur les clés de succès dans la mise en œuvre d’une stratégie. L’article est issu de la Cambridge Marketing Review, dans le cadre d’un accord d’échange de visibilité entre nos deux publications. Plusieurs principes sont énoncés pour garantir le succès opérationnel dans la mise en œuvre d’une stratégie. On formule le souhait que ces principes, énoncés aussi clairement par le Dr Andrew MacLennan, soient davantage mis en application, car on sait bien, selon l’adage d’un homme célèbre, que le succès d’une stratégie réside à 95% dans son exécution, ce que trop de décideurs, « intoxiqués » au trop célèbre modèle SWOT, semblent oublier parfois.

    Nous vous souhaitons une bonne lecture du numéro 255 de notre revue. Que vous en retiriez autant de profit dans vos activités respectives que le plaisir que nous avons eu à collaborer avec l’ensemble des auteurs et des équipes éditoriales qui ont assuré sa publication.

    [COMMENT SE PROCURER UN ARTICLE / S'ABONNER A LA REVUE ?]

    Philippe JOURDAN
    (philippe.jourdan@promiseconsultinginc.com)
    Jean-Claude PACITTO
    (jean-claude.pacitto@orange.fr)
    Comité de rédaction
    RFM : revue française du marketing

  • 1st Research Award #RFM / @ADETEM under the patronage of #American Express confirms the excellence of French Research in #Marketing

    Night of Adetem (Nuit de l’Adetem) – Tuesday 07/05/2016

    Picture: Award-winner Jean-Louis Moulins, professor at the University of Aix-Marseille, surrounded by two of the Jury members, its President Philippe Jourdan and Karine Cervoz-Goyat.

    The first recipient of the Research Award RFM 2016 is Professor Jean-Louis Moulins, University of Aix-Marseille, and his co-author, Dr. Tarek Abid, with their article: "A scale for the social responsibility of brands: the application for consumers of organic food brands." (Original title: « une échelle de la responsabilité sociétale des marques : application aux consommateurs de marques alimentaires biologiques »).

    This award was presented by Pierre-François Brézès, VP & General Manager, American Express Global Commercial Payments, France and Philippe Jourdan, head editor of the French magazine of Marketing, University Professor and founder of Promise Consulting Inc / Panel On the Web. The presentation of awards took place at the Night of Adetem (Nuit de l’Adetem), on July 5th 2016 and was held at the Pavillon Elysée, rue Marbeuf, 75008 Paris.

    The aim of awarding this prize in the framework of the prestigious “Night of Marketing” is primarily the following: “To create a connection between the academic approach and the expressed need of marketers to find a source of knowledge, inspiration and innovation for renewed practices", says Philippe Jourdan, chef editor of the French Journal of Marketing since 2011. It also reinforces the magazine’s FNEGE / AERES ranking among the best French journals in Management Science.

    Philippe Jourdan, president of the jury of this first edition, sincerely thanks the multidisciplinary jury of nine members, consisting of academics and professionals, French and Francophone (2 Swiss, 1 resident in Switzerland and one resident in San Francisco), for their adopted scientific assessment process based on the following criteria: originality of the subject, mastery of literature, rigor of the scientific and methodological approach, coherence of the argumentation and finally, the paper’s managerial contributions and its usefulness for Marketing professionals.

    [MORE ABOUT THE JURY MEMBERS]

    A FEW WORDS ON THE FRENCH JOURNAL OF MARKETING

    The French Journal of Marketing aims to present the most innovative marketing techniques and practices to the academic community, to the students and to the professionals in the French speaking countries It thus pursues two major purposes: a scientific quality regarding the selection of the published articles and a selection based on relevance, interest as well as impact on all marketing professionals (teachers and practitioners) of the best articles.

    As first French journal in the field of education and marketing strategy, the French Journal of Marketing distributes 4 numbers per year in France, as well as in 38 countries.

    [DISCOVER THE JOURNAL OF MARKETING]
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    MORE ABOUT PROMISE CONSULTING

    Pr Philippe Jourdan, CEO of Promise Consulting, is the editor-in-chief of Adetem’s journal, the French Journal of Marketing (Revue Française de Marketing, RFM), since 2011. He publishes in academic journals internationally on the problems of the valuation of the brands in luxury, beauty and selective distribution. He also publishes in the economic press and news media (such as Le Monde, les Echos, le Figaro, l’Opinion, la Revue des Marques, etc.). Philippe is a university professor, researcher at the IRG (CNRS) and laureate of the Best Article of Research AFM 2000. He holds a certification in social media and is member of ESOMAR.

    Promise Consulting is a company specialized in marketing studies and consultancy, issued from the merge of Promise Consulting Inc., JPL Consulting and Panel on the Web. Promise Consulting integrates services of market research and marketing consultancy delivered with a high added value. We created an innovative measuring methodology of a brand’s performance and its return on investments (ROI): “Monitoring Brand Assets©”. This methodology, deployed in nearly 50 countries, has surveyed 250 brands in multiple sectors, totaling over 1.5 million questionnaires.

    Established in Paris, New-York and Casablanca, Promise Consulting conducts studies and services of consultancy in the whole world. Promise Consulting is mostly known for its expertise in measuring a brand’s value from the clients’ perspective. Promise Consulting has developed innovative techniques and models, was awarded 7 times in 10 years, by its Peers nationally and internationally. It provides insights and recommendations to the most notorious brands in luxury, cosmetics and retailing sectors, helping them develop on national and foreign markets. It is also active in several sectors of the industry, every time the brands are looking for an effective growth strategy in order to better understand the market, to reach their customers, attract them and, finally, keep them.

    Promise Consulting is one of the 300 highly qualified members of the ICG (Internal Consulting Group): A network which brings experts from different areas of competencies (marketing, finance, governance, risk management, ect.) together, aiming to offer companies high-level consulting services on a transnational basis.

    To cope with the growth of its business, Promise Consulting has established two departments to specialize its strong sector expertise: 

    > LUXURY LAB: dedicated to the luxury sector in the world of Fashion, Beauty and selective distribution, Luxury Lab follows nearly 250 luxury brands in over 35 countries for over 10 years.
    More: promiseconsulting-blog.com

    > CONSO LAB: dedicated to the sectors of FMCG, automotive, finance and retail, Consumer Lab accompanies the announcer from the concept testing to the tracking of the market performance.
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