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4.z - Autres - Page 7

  • « Promise Consulting se penche sur les #répercussions de l’affaire Kim #Kardashian pour le #tourisme » publié par @Luxeattitude [@PromiseConsulting #enquêtes #études #hôtellerie #FashionWeek #Paris #2016]

    Article publié par NYCOS de Luxury Attitude, basé sur l’article d’ABC-Luxe dans lequel Philippe Jourdan, associé de Promise Consulting, s’exprime sur l’affaire Kardashian et la question si cet événement aura des impacts sur le tourisme à Paris.

     « Promise Consulting se penche sur les répercussions de l’affaire Kim Kardashian pour le tourisme »

    Publié par NYCOS à 5:33, 2016-10-11+, Luxe Attitude Worldwide, sur la base de l’article d’abc-luxe.com/actus

    [LIRE LA PUBLICATION EN ENTIER SUR LUXURY ATTITUDE]

    Le cabinet de conseil et d’études marketing Promise Consulting a réalisé une étude sur les événements du 2 octobre dernier à Paris au cours duquel plus de 10 M€ de bijoux ont été dérobés. « Selon vous, l’affaire des bijoux de Kim Kardashian va-t-elle faire chuter l’activité touristique à Paris ? »

    Réalisée auprès de 1 050 répondants, l'étude met en évidence l'inquiétude des Français qui sont tout de même 30% à penser que ce fait divers aura des retombées sur l'activité touristique de Paris, 36% lorsqu'il s'agit de détenteurs de produits de luxe.

    Philippe Jourdan, associé de Promise Consulting, s’est exprimé quant aux résultats de cette enquête.

    D’après lui, les facteurs psychologiques déterminent non seulement les destinations de vacances, mais également l’usage et l’envie d’acheter des biens de consommation de luxe. (…)

    « L'achat de produits de luxe est fragile car il n'est nullement nécessaire mais tout juste désiré. C'est à maintenir ce désir qu'il faut s'attacher » (Philippe Jourdan, Promise Consulting).

  • Le #succès du #sac Lady #Dior sur #WeChat [#Chine #Commercialisation #LadyDior #ventes #luxe]

    Le succès du sac Lady Dior sur WeChat

    By Romain, 2016-10-10, Le Journal du Luxe, Business

    Dior a testé les ventes du sac Lady Dior sur le service de messagerie chinois WeChat. La Maison de luxe a été agréablement surprise par le succès de cette opération.

    Dior a pris une bonne décision : Investir WeChat en août 2016 et lancer une campagne inédite sur l’application chinoise pour faire face au ralentissement des achats de luxe effectués par les Chinois en Europe en 2015. Grâce à l’ouverture d’une boutique officielle sur WeChat, Dior a commercialisé avec succès son sac « Lady Dior Small China Valentine ».

    La question qui se pose : WeChat – la clé de vente pour les marques de luxe en Chine ?

    [LIRE L’ARTICLE ENTIER]

  • #L’eau minérale : produit de #luxe en plein essor [#luxe #premium #niche #commercialisation #design #Voss #Ogo #BlingH2O]

    L’eau minérale : produit de luxe en plein essor

    By Romain, 2016-09-20, Journal du Luxe, Business

    Depuis plusieurs années, de nouvelles marques se lancent dans la commercialisation d’eau minérale premium. Bling H2O, Voss, Ogo et bien d’autres, ces bouteilles envahissent de plus en plus les épiceries fines parisiennes de luxe à l’instar de la Grande épicerie ou du magasin Colette.

    Des eaux minérales de plus en plus chères

    Le marché des eaux premium est un marché de niche qui rencontre de plus en plus d’adeptes. Les marques se multiplient et rencontrent un franc succès notamment dans les épiceries fines.

    L’eau minérale est aujourd’hui déclinée en grands crus ou en édition limitée. Les entreprises, de plus en plus nombreuses à faire leur entrée sur le marché, commercialisent leur « denrée rare » à des prix bien plus importants que ceux affichés dans les supermarchés.

    Si certaines bouteilles d’eau minérale sont vendues à 10 euros le litre, d’autres sociétés à l’instar de Bling H2O commercialisent leur bouteille d’eau en verre givrée à plus de 100 euros ! Une bouteille sertie de cristaux Swarovski incrustés à la main.

    Des eaux de luxe portées par une stratégie marketing

    « Provenance exotique », « Saveur d’exception », « Zéro nitrate », « Naturellement gazeux », tels sont les slogans utilisés par les marques d’eau minérale de luxe. Certaines mettront l’accent sur la provenance du produit à l’instar de Voss, d’autres sur la consistance en oxygène comme Ogo.

    En revanche il existe un point sur lequel les marques d’eau minérale premium s’appuient pour promouvoir leurs produits. Un critère qui les différencie des distributeurs d’eau minérale plus « classique ». Ce critère concerne le design de la bouteille.

    Pour promouvoir leur image, certaines marques n’hésitent pas à faire appel à de grandes maisons de luxe à l’instar de Ralph Lauren ou Calvin Klein. Des créateurs de mode haut de gamme qui connaissent bien les codes du luxe et les retranscrivent sur les bouteilles d’eau minérale premium.

    Pour exemple, la bouteille d’eau minérale corse Saint-Georges a été imaginée par Philippe Stark. Depuis, le produit connaît un franc succès dans le monde entier.

    La rareté, une valeur clé pour les eaux minérales premium

    Le design d’une bouteille peut-elle justifier de l’appartenance d’une eau minérale à l’univers du luxe ? Qu’en est-il réellement de la qualité du produit ? Ces eaux minérales sont-elles meilleures pour la santé ?

    [LIRE L’ARTICLE EN ENTIER]

  • #Luxe : Comment attirer les #touristes #chinois grâce au #numérique ?

    Luxe : Comment attirer les touristes chinois grâce au numérique ?

    By Romain, 2016-09-19, Business


    C’est un fait, les chinois voyagent de moins en moins vers l’Europe. Il est donc primordial pour les marques de luxe de les solliciter au maximum lorsqu’ils envisagent de s’aventurer sur le Vieux Continent. Mode d’emploi pour séduire les touristes chinois grâce au numérique.

    Susciter l’intérêt du touriste avant son voyage

    L’emploi du temps des chinois est souvent plus chargé que les français. De ce fait, ils ont tendance à planifier leur voyage à l’avance. Ils identifient précisément les lieux qu’ils visiteront, où ils mangeront et où ils achèteront !

    Il est donc important pour une marque de luxe de se faire connaître en Chine. Pour ce faire, Internet est aujourd’hui la solution la plus efficace.

    Privilégier la publicité sur Baidu

    Si en France, Google est le moteur de recherche par excellence pour se faire connaître, en Chine Baidu est le roi. Le moteur de recherche chinois détient 70% des parts de marché dans son secteur.

    > Baidu détient sa propre encyclopédie sur le web à l’instar de Wikipédia, il se nomme Baidu Baike.
    > Baidu Tieba permet quant à lui de cibler une communauté très spécifique, orientée vers un thème bien défini.
    > Enfin Baidu Shidao détient une communauté très influente sur le web. Une communauté animée par une plateforme de questions-réponses et donc d’avis clients.

    Vous l’aurez compris, la première chose à faire pour se faire connaître en Chine est de se référencer sur Baidu. À la différence de Google, ce moteur de recherche ne limite pas les annonces payantes sur ses pages. Il est donc conseillé de lancer une campagne de référencement payant pour promouvoir vos produits et services. (…)

    Interpeller le touriste chinois pendant son voyage avec WeChat

    Durant leur voyage, les chinois restent connectés. Cela se confirme davantage avec la génération des Millennials.

    L’application WeChat se présente comme l’outil idéal pour vous faire connaître auprès de potentiels prospects chinois. WeChat est le premier service de messagerie en Chine avec 762 millions d’utilisateurs actifs par mois. (…)

    Un service de géolocalisation vous permettra également de signaler votre magasin à proximité. Sur WeChat, l’utilisateur a la possibilité de commander un taxi pour se rendre en magasin ou de prendre rendez-vous avec un vendeur.            

    Faire l’impasse sur la barrière de la langue

    WeChat permet également de pallier tout problème de communication. Dispatcher des QR Code au sein de votre magasin ou sur des catalogues permettra aux touristes chinois de se renseigner sur vos produits via leur smartphone.

    [LIRE L’ARTICLE EN ENTIER]

  • Quelles sont les #marques les plus mentionnées sur les réseaux sociaux ? [#réseauxsociaux #socialmedia #digital #études #Amazon #Louis Vuitton #Chanel #Tiffany&Co. #Burberry #Prada]

    Quelles sont les marques les plus mentionnées sur les réseaux sociaux ?

    By Abc-Luxe, 2016-09-19


    Si l’on sait que les réseaux sociaux sont devenus ces dernières années un moyen privilégié pour les marques de faire parler d’elles, de recruter de nouveaux clients et d’interagir avec leurs communautés, Netbase s’intéresse aux enseignes les plus appréciées et les plus mentionnées sur Twitter, Facebook, Instagram et autres consorts.
     
    Pour réaliser son rapport, Netbase a étudié le nombre d’occurrences de 60 marques réparties selon 11 catégories, sur quelque 430 millions de posts sur les réseaux sociaux. Il apparaît ainsi que si tous secteurs confondus c’est Amazon qui occupe la tête du classement des marques les plus mentionnées, c’est Tiffany & Co. (14e place du classement général) qui se distingue comme la griffe ayant engendré le plus d’échanges "positifs et passionnés".
     
    Louis Vuitton se classe 1er de la catégorie Luxe et 4e du classement général, talonné par Chanel et Burberry, qui a multiplié les initiatives et actions digitales ces derniers mois. Prada se place en 5e position des marques Luxe et 16e position du classement général.

    réseaux sociaux, classement, social media 2016, Amazon, Louis Vuitton, Prada, Tiffany, Chanel, Burberry
     
    [LIRE L’ARTICLE EN ENTIER]

  • «Le #luxe subit un profond changement de modèle» via @Lopinion

    Associé fondateur du groupe de conseil et d’études Promise Consulting, Philippe Jourdan décrypte la crise que traverse le secteur
    «Le #luxe subit un profond changement de modèle»

    By Muriel Motte, 19-09-2016+, L’Opinion

    [LIRE L’ARTICLE EN ENTIER DANS L'OPINION.FR]

    La baisse de la livre a fait flamber de 36 % les ventes de produits de luxe au Royaume-Uni le mois dernier. Les variations des taux de change ne sont pas le seul élément perturbateur pour les groupes du secteur : digitalisation, ralentissement de la demande chinoise, attentats, les défis s’enchaînent et provoquent parfois des accidents industriels. Spécialiste des marques, Philippe Jourdan anticipe une croissance annuelle de 2 % du marché des produits de luxe dans les prochaines années.

    Quelle est la nature de la crise que traverse le secteur du luxe ?

    Il s’agit d’un profond changement de modèle dont l’effet est amplifié par une conjoncture économique difficile. Jusqu’à la crise financière, le marché des biens de luxe était tiré par une forte demande à laquelle répondait l’offre des grandes maisons qui se voulaient exclusives, et qui contrôlaient les prix et la distribution via le rachat des licences et la création de boutiques en nom propre. Tout cela évolue très rapidement.

    Les groupes de luxe fonctionnaient principalement sur une logique monocanale : la boutique. Ils ont aujourd’hui encore du mal à se positionner sur le schéma de l’omnicanal qui se développe avec Internet. Le ralentissement de la croissance mondiale, puis les attentats, ajoutent à ces perturbations car le marché du luxe est très fortement « drivé » par l’activité touristique (...)

    Cette crise est donc aussi imputable à la forte dépendance du luxe à la Chine ?

    Les Etats-Unis restent dominants et représentent un tiers du marché mondial du luxe. Mais 70 % de la croissance de ce marché au cours des dix dernières années a été le fait de la Chine. Et ce sont les Chinois qui réalisent hors de chez eux l’essentiel (70 %) des achats de produits de luxe.

    Dès que la demande chinoise ralentit - c’est l’une des conséquences de la politique anticorruption et du ralentissement économique du pays entre autres - ou qu’une menace pèse sur le tourisme mondial, le luxe en ressent les effets. C’est le cas aujourd’hui. Les géants du secteur doivent être vigilants sur un autre point : Pékin aura tôt ou tard le souci de rapatrier en Chine continentale un marché qui lui échappe largement, car les taxes imposées sur les biens de luxe rapportent aux caisses de l’Etat. (...)

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    La croissance du marché ne dépend plus de ceux qui ont énormément d’argent, mais de ceux qui en gagnent de plus en plus. Ce n’est pas du tout la même clientèle.

    Les marques doivent s’adresser à de nouveaux profils, des consommateurs plus jeunes, plus cosmopolites, mieux éduqués en matière de luxe mais plus critiques. Et habitués à comparer les prix et les produits puisqu’ils sont évidemment de plus en plus « digital natives ». Il s’agit d’une mutation très profonde, qui génère beaucoup d’interrogations sur la stratégie à mener.

     

    La stratégie digitale est-elle une source de différenciation entre les grands groupes mondiaux ?

    promise consulting, luxe, changement, mutation, digitalisation, chine, USA, croissance, conjoncture, tourism, omnicanal, France, transformation profil, relation-client, différenciation C’est un secteur parfois conservateur qui a du mal à accepter de perdre le contrôle de la distribution, mais tous sont aujourd’hui très actifs. Un des premiers bouleversements est venu de la comparaison mondiale des prix par des clients connectés et globe-trotteurs.
    Face à cela, Chanel a annoncé l’an dernier sa volonté d’établir progressivement un meilleur équilibre des prix de ses produits dans les grandes zones géographiques, Chine, Europe, Etats-Unis. Tous y viendront sans doute mais c’est très complexe en raison des coûts d’approche et des taxes différents, sans oublier les variations de taux de change ! (...)

    [SE RENSEIGNER SUR LE DEUXIÈME BOULEVERSEMENT]

    Google ou Apple débauchent des talents dans les groupes de luxe et veulent investir ce secteur. Menacent-ils les acteurs traditionnels ?

    La dernière génération des acheteurs de luxe, notamment Chinois, est particulièrement adeptes d’objets high tech au détriment des produits plus classiques. Dans ce sens, ces géants peuvent être une menace. (…)

    Le marché mondial du luxe croissait à deux chiffres au début du siècle, un taux tombé autour de 2 % aujourd’hui. Quelle est la « nouvelle normalité » pour les années à venir ?

    La projection moyenne pour les prochaines années est de l’ordre de 2 % à taux de change constants, ce n’est pas si mal pour un marché qui pèse déjà 240 milliards d’euros.

    Nous sommes face à des consommateurs plus exigeants, des marchés plus mûrs, peut-être allons-nous commencer à faire du marketing et à revenir à des fondamentaux de la relation-client, de la qualité de l’offre et du service. (…)