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Promise Consulting [Luxury Blog] - Page 71

  • A vos agendas ! 3 rendez-vous incontournables lors du Printemps des Etudes [#promiseconsulting #printempsdesetudes @adetem @syntec_etudes]

    [TELECHARGER LE COMMUNIQUE]

    COMMUNIQUE DE PRESSE

    Paris, le 04  avril 2016

    Promise Consulting partagera son expertise sur le luxe en Chine et présentera son ouvrage « Le Marketing de la Grenouille » lors du Salon du Printemps des Etudes

    Rendez-vous le 14 avril 2016 de 8h30 à 10h au Palais Brongniart à Paris

    Promise Consulting, société d’études et de conseil en marketing, experte dans l’optimisation des stratégies de marques, annonce une triple participation à l’évènement phare du mois d’Avril : le Printemps des études (#PrintempsDesEtudes), grand rendez-vous des professionnels du secteur des sondages et des études marketing et d’opinion.

    Le Printemps des Etudes se tiendra les 14 et 15 avril au Palais Brongniart à Paris. L’occasion d’assister à des conférences et des ateliers clés pour suivre et comprendre les évolutions et innovations d’un secteur en ébullition.

    1ER RENDEZ-VOUS : Conférence « Luxe et Chine : enjeux et perspectives pour les marques de luxe », Parole d’experts, par Pr Philippe Jourdan et Chunyan Li.

    printemps des etudes, marketing, chine, luxe

    Promise Consulting ouvrira le bal des conférences « Paroles d’Experts » du Printemps des Etudes le jeudi 14 avril à 8h30 sur le thème du Luxe en Chine. Philippe Jourdan, associé de Promise Consulting, expert en études marketing et conseiller des grandes marques de luxe, ainsi que Chunyan Li, sinologue et auteur de « Réussir sur le Marché Chinois », partageront leur expertise sur l’état du marché du luxe en Chine.

    La Chine reste-t-elle un eldorado pour les marques de luxe françaises ? Quels sont les enseignements à retirer de la crise actuelle pour le repositionner sa stratégie, sa communication, sa distribution et son offre ? La lutte contre la corruption affecte-t-elle durablement le secteur du luxe en Chine ? Comment séduire la 3ème génération d’acheteurs de luxe en Chine ?  Quelles sont les marques les plus exclusives et désirables aujourd’hui en Grande Chine (source : baromètre Promise Consulting – Exane BNP, 2015) ?

    Pour en savoir plus sur cette conférence et vous y inscrire, rendez-vous sur le site dédié ou n’hésitez pas à nous contacter directement.

    2EME RENDEZ-VOUS : Le livre « Le Marketing de la Grenouille » présenté sur Le Coin des Auteurs

    Le marketing de la grenouille(1).jpg

    L’équipe dirigeante de Promise Consulting sera également présente le 14 avril dans la zone Le Coin des Auteurs du Printemps des Etudes pour présenter leur livre disponible depuis peu : « Le Marketing de la Grenouille, nouvelles stratégies de marques pour nouveau consommateurs ».

    Philippe Jourdan, Valérie Jourdan et Jean-Claude Pacitto, co-auteurs, y décryptent les tendances et les nouveaux enjeux des marques en 2016. L’ouvrage présente un état des lieux sans concession : les consommateurs, devenus des conso-battants, ont changé plus vite que les marques et le marketing peut mourir demain du syndrome de la grenouille !

    Truffé d’exemples, appuyé sur des études de référence, cet ouvrage est un plaidoyer pour une redéfinition des stratégies et des outils marketing, afin de reconquérir un consommateur décliné en 5 portraits robots. En effet, face à un nouveau consommateur, mobile, zappeur, insaisissable et qui assume ses contradictions, reconduire les approches classiques du marketing (segmentation, positionnement, ciblage, marketing-mix, information qualifiante, etc.) sans les faire évoluer est aussi vain que de « manger de la soupe avec un couteau » affirment les auteurs.

    Pour en savoir plus sur l’ouvrage : site dédié et sur Twitter #marketingdelagrenouille

    3EME RENDEZ-VOUS : Promise Consulting postule aux Trophées Etudes & Innovations 2016

    trophee des etudes, printemps des etudes

    Le Printemps des Etudes proposera également le 15 avril les résultats et la remise des Trophées Etudes et Innovations organisés par Offremedia, soutenus par le Syntec Etudes et sponsorisés par Bilendi.

    Promise Consulting postule pour ces trophées par l’intermédiaire de son étude de référence « Front Row » sur l’exclusivité et la désirabilité des marques de luxe haut de gamme en Chine, réalisée en septembre 2015 en partenariat avec Exane BNP Paribas.

    Les résultats de ce baromètre apportent aux investisseurs une évaluation quantitative, fondée sur une mesure factuelle, réalisée auprès des clients du luxe les plus fortunées, des deux dimensions fondamentales d’exclusivité et de désirabilité perçues des marques. L’étude repose en outre sur deux angles d’expertise différents, marketing et financier, fournissant une valeur ajoutée unique aux dirigeants et aux décideurs dans le secteur du luxe.

    Ce baromètre axé sur la Chine fait suite à la publication d’une première édition sur la France, démontrant l’expertise et le savoir-faire de Promise Consulting dans la prestation d’études et de conseils, à l’aide d’une méthodologie innovante de mesure de performance de marque : Monitoring Brand Assets©.

    Pour toute demande d’interview des experts de Promise Consulting, merci de contacter l’agence LEWIS afin que nous organisions un entretien au Printemps des Etudes ou à votre convenance à une autre date.

    A PROPOS DE PROMISE CONSULTING

    Depuis 2000, Promise Consulting permet aux décideurs de prendre les bonnes décisions.

    Grâce à un accompagnement et des études scientifiques ad hoc, Promise Consulting renforce le lien entre les belles marques et les clients tout en maximisant leur retour sur investissement marketing. Grâce à ses équipes du Conso Lab et du Luxury Lab, Promise Consulting délivre une expertise pointue en études de marché et d’optimisation des marques dans les univers de la consommation, de la distribution, du luxe et de la beauté.

    La société est établie à Paris et à New-York. Elle dispose de panels onlines dans plus de 35 pays en Europe, Amérique, en Asie et en Afrique.

    Elle a créé une méthodologie innovante de mesure de la performance de marque et du ROI des investissements centrés sur la marque : Monitoring Brand Assets©. Cette méthodologie a été déployée dans près de 50 pays à date, porte sur l’étude de 250 marques dans les secteurs les plus divers et totalise plus de 1.000.000 questionnaires administrés en ligne dans le monde.

    Récompensée 8 fois en 12 ans, par la profession au plan national et international pour ces méthodologies innovantes, Promise Consulting accompagne les plus grandes marques de luxe, de cosmétiques et de distribution dans leur développement sur le marché national et les marchés étrangers. Il intervient également dans de nombreux secteurs d'activité, chaque fois que les marques souhaitent disposer d'une stratégie de croissance éclairée pour mieux comprendre leur marché, s'adresser à leurs consommateurs, séduire et fidéliser leurs clients.

    Le CEO de Promise Consulting, Philippe Jourdan, est rédacteur en chef de la revue de l’Adetem, la Revue Française de Marketing (RFM), depuis 2011. Il publie dans des revues académiques de niveau international sur les problématiques de valorisation des marques dans les secteurs de la consommation, du luxe, de la beauté et de la distribution sélective. Il publie également dans la presse économique et d’actualités (Le Monde, Les Echos, Le Figaro, l’Opinion, La Revue des Marques, etc.). Il est également professeur des universités, chercheur à l’IRG (CNRS) et lauréat du Meilleur Article de Recherche AFM 2000. Il a enfin une certification Social Media.

    Pour en savoir plus

    Site : http://promiseconsultinginc.com

    Blog: http://promiseconsulting-blog.com

    Facebook: http://facebook.com/promiseinc

    Twitter: @pjourdan1967

     Relations Presse - Agence LEWIS

    Mathieu Micout – Hugo Falque-Vert

    mathieu.micout@teamlewis.com / hugo.falque@teamlewis.com

    01 83 94 04 95 / 01 55 31 75 60

     

  • [Figure You Should Know] - $253 Billions [#luxury #expenditures #world #promiseconsulting @BainAlerts]

    This is the amount associated to the worldwide personal luxury goods market for the last year and estimated by Bain & Co. It was expected to grow – from 2014 to 2015 – only at 1 to 2 % at constant exchange rates and 13% at current exchange rates. This market should weigh for 24% of the total amount accounted of 1 044 billions €.

    Personal luxury goods includes fashion, cosmetics and jewellery amongst others.

    Slowing down little by little over the years even though they are still among the top in this segment, China seems to suffer from this impact on its economy.

    Chinese’s preferences now went to a less materialistic way of living and are favoring traveling or spas, purchases that influences their well-being. Also, Chinese prefer to shop abroad, as the consumption tax and import tariff impede their spending and since they are willing to buy original and authentic goods that they are most likely to find outside their country.

    Source : Bain & Co, Global Luxury Report, 2015

    You would like to attend the Conference in Paris, 04/14, 8:30-10h30 AM : [CLICK HERE]

    You would like to know more about Promise Consulting? Blog Promise Consulting

  • How the Korean Innisfree Became the Most Popular #Beauty #Brand on #Baidu in China [#cosmetics #Korea #China]

    FROM L2 / THE DAILY THURSDAY / MARCH,31, 2016

    beauty, brand, cosmetics, korea, china, baidu, digital

    Innisfree is one of the most popular Korean beauty brands in China, as evidenced by its high search volume on Baidu, Taobao, and Youku. (Innisfree was the top Beauty brand according to both the Taobao and Baidu Indexes.) L2 research finds the success of Innisfree to be a result of robust digital properties on the brand site, mobile, in-store and on social media.

    Innisfree maintains a sophisticated brand site designed for consumers to spend time on; a gamified cross-channel loyalty program, user-generated content syndicated from multiple social platforms, and video libraries are among the features offered. Furthermore, the brand site ensures product research and purchases are seamless with grid pages that include quick-view and product pages featuring reviews and recently-viewed products. The brand’s site is also mobile optimized with swipeable carousels and mobile-specific offers.

    Social media also plays an important role in Innisfree’s success. Consumers can create a customer profile by logging in with their Weibo, QQ, or Alipay accounts. These accounts allow Innisfree to create an omnichannel loyalty program that tracks online and offline purchases. Users can also gain points by engaging on social media or checking into a brand site.

    Innisfree’s Spring 2015 social campaign “Summer Love”, featuring Korean influencers Lee Minho and Yoona, became one of the most successful campaigns among Korea Beauty peers. The campaign promoted the Innisfree Summer Foundation Cushion with five videos on Youku with the storyline of a young couple. The two most viewed videos from the campaigned averaged 181,000 views, more than four times the brand’s average video view count. The Youku campaign was supported by desktop and mobile advertising, as well as WeChat and Sina Weibo promotions. The most successful WeChat post was viewed 10,600 times while the campaign’s Sina Weibo post remains the brand’s most engaging post with 2,000 interactions. But much of the success is evident in the sheer number of users who spread the word; the campaign hashtag #innisfree received 17.7 million impressions and 36,000 mentions on Weibo. Yet, Innisfree expanded the campaign beyond just promotions, and connected the buzz to shopping. The popular couple remains featured on the Innisfree Tmall site to promote products and maintain brand buzz.

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  • Après avoir longtemps résisté, le #luxe essaye de rattraper son retard dans le #commerce en ligne

    ACTUS REUTERS

    Après avoir longtemps résisté, le secteur du luxe essaye de rattraper son retard dans le commerce en ligne, canal devenu crucial pour capter davantage de croissance et appréhender une clientèle de plus en plus jeune, volatile et connectée.

    Longtemps rétif, le secteur du luxe tente de rattraper son retard dans le commerce en ligne, canal devenu crucial pour capter davantage de croissance et appréhender une clientèle de plus en plus jeune, volatile et connectée. Pris de vitesse par la rapidité avec laquelle évoluent les nouveaux consommateurs du luxe, notamment asiatiques, les groupes comme LVMH, propriétaire de Louis Vuitton ou Céline, Dior, Kering (Gucci) ou Hermès n'ont d'autre choix que de s'engager de façon plus volontariste dans le digital, au prix d'importants changements dans leur culture d'entreprise.

    "Nous sommes à un tournant, avec une vraie prise de conscience de la nécessité du digital", estime Mélanie Flouquet, analyste de JP Morgan, pour qui le e-commerce constitue un "gros enjeu à moyen terme" pour le secteur. Pendant que la croissance du marché mondial du luxe a ralenti aux environs de 5% en 2014, celle des ventes en ligne a atteint 30%, après une hausse annuelle moyenne de 28% entre 2011 et 2013, selon le cabinet Bain & Co.

    NÉCESSITÉ DE DÉVELOPPER LE MULTICANAL

    Le "multicanal", qui efface les frontières entre e-commerce et magasins en dur, s'avère d'autant plus nécessaire qu'après une phase d'expansion massive, nombre de marques ont stabilisé leur réseau et ne peuvent compter sur des ouvertures de boutiques pour accroître leurs ventes.

    Grâce à une stratégie digitale très poussée lancée il y a cinq ans, Burberry a signé, avec Hermès, une des meilleures croissances organiques du secteur en 2014. "L'omnicanal est un levier de croissance et de présence absolument indispensable. Les groupes de luxe n'ont pas d'autre choix que d'être sur tous les canaux de distribution", note Marc-André Kamel, associé de Bain & Co, qui observe que chez les jeunes de 15 à 25 ans, "un produit qui n'existe pas sur un smartphone n'existe pas tout court".

    LVMH "EN TRAIN DE S'ADAPTER"

    Le succès du site ouvert par Cartier (groupe Richemont <cfr.vx)>aux Etats-Unisa fait prendre conscience au secteur que des produits pouvaient être vendus en ligne à des prix très élevés sans dégrader leur image. La conversion annoncée de Chanel - la marque qui ne vend que des cosmétiques en ligne a annoncé qu'elle serait prête pour le multicanal à la fin 2016 - et la flambée boursière de Yoox après son rapprochement avec le site Net-a-Porter, (Richemont), témoignent aussi de l'intérêt stratégique de ce canal de distribution.

    Bernard Arnault, PDG de LVMH, a reconnu devant les actionnaires du groupe que "de plus en plus de produits vont se vendre sur Internet" et déclaré que le groupe "était en train de s'adapter à cette évolution". Acheter un produit en ligne et pouvoir le faire livrer en magasin ou commander dans un magasin un produit indisponible pour le faire livrer à domicile font partie des services devenus incontournables. Et LVMH "entend les proposer à l'avenir pour la plupart de ses marques", aux dires de son directeur financier, Jean-Jacques Guiony.

    Chez Louis Vuitton, les ventes en ligne représentent environ 2% à 3% du chiffre d'affaires, selon les analystes. Mais le malletier reste, selon un gérant d'actifs, "encore loin d'une expérience omnicanal globale", même s'il est plus avancé que d'autres comme Prada, Dior ou Hermès qui ne vendent qu'une poignée de sacs en ligne, sans parler de Céline, autre marque de LVMH, qui ne dispose pas de site marchand. Estimant que "l'omnicanal doit faire partie des services proposés aux clients", Axel Dumas, gérant d'Hermès, a évoqué à l'occasion des résultats annuels du sellier "des investissements assez lourds en 2015-2016 dans les systèmes informatiques et le site".

    MUTATION

    Chez Gucci (Kering), aux prises avec une délicate relance, le multicanal "compte parmi les priorités", a fait savoir le directeur financier du groupe, Jean-Marc Duplaix. La griffe, qui réalise environ 3% à 4% de ses ventes en ligne, selon les estimations, entend lancer cette année une nouvelle plate-forme de e-commerce.

    Le digital est aussi synonyme d'une profonde mutation du "business model" du luxe car vendre en ligne n'est pas simple techniquement et difficile à mettre en place (répartition des produits entre les différents canaux de distribution, gestion des stocks, logistique de livraison), relève Marc-André Kamel.

    Les marques savent qu'elles ne peuvent y échapper mais "n'arrivent pas encore à maîtriser l'infrastructure leur permettant de proposer une boutique en ligne totalement optimisée", résume Uche Pézard, directrice exécutive du cabinet Luxe Corp. Soucieuses de pouvoir assurer un service sans défaut, conforme à l'image qu'elles véhiculent, certaines griffes préfèrent retirer des produits de leur site car elles n'arrivent pas encore à optimiser leurs systèmes et ne veulent pas décevoir les clients.

    DIFFICILE DE MODIFIER LA CULTURE D'ENTREPRISE

    Toutes n'en sont pas au même stade de réflexion (environ 35% des marques de luxe ne vendent pas en ligne) et le fossé culturel reste important avec le monde de la technologie. "Le plus difficile, c'est peut être de modifier la culture d'entreprise et les hommes. C'est de leur expliquer que c'est un bien et non un mal pour les magasins", note l'associé de Bain.

    L'Europe continentale est d'ailleurs plus rétive que le Royaume-Uni ou les Etats-Unis. La part du e-commerce dans les produits de luxe y est estimée entre 2% à 3%, contre 7%-8% au Royaume-Uni et 10% aux Etats-Unis. De l'avis général, si les perspectives sont prometteuses en Europe et aux Etats-Unis, elles semblent encore éloignées en Chine où les marques sont confrontées à l'explosion du marché gris qui représente, selon Bain, 15% des achats de produits de luxe effectués dans le monde par la clientèle chinoise.

    Tant que d'authentiques produits seront vendus sur des sites chinois 30% moins cher que dans les magasins, les marques ne voudront guère ouvrir leurs propres sites dans le pays. Le digital, qui est aussi une source d'amélioration de la rentabilité - il élève le taux de ventes au mètre carré et allège les dépenses publicitaires - pourrait compter pour 40% de la croissance du marché mondial du luxe attendue d'ici à 2020, soit environ 35 milliards sur les 88 milliards d'euros prévus, selon les estimations d'Exane BNP Paribas.

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  • The Changing Face of #Luxury #Retail

    Endri Hasanaj | Mar 25

    With the luxury ecommerce market set to reach $41.8 billion by 2019, navigating the online space is becoming increasingly crucial for high-end retailers. Whereas luxury brands have traditionally set themselves apart by creating an exclusive in-store experience, the significant shift to online over recent years has brought with it a new set of customer expectations. Luxury vendors now face the challenge of redefining their approach in order to stay relevant and ensure they continue to reach their target audience.

    Traditionally, luxury retail has thrived on brand loyalty; customers in the market for a high-end product would typically have a brand in mind and go directly to that particular store to make their purchase. A sale would be dependent not on price factors or product specs, but rather on a first-class in-store customer experience. However, the internet has made it easier than ever to run comprehensive product, price and vendor comparisons, meaning that today’s shoppers are not only extremely well-informed, but accustomed to choice.

    As highlighted by this Technavio report regarding the end of last year, this has led to a notable shift in luxury consumer patterns; high-end shoppers in the online sphere strongly favor a multi-brand environment over single-brand sites. Convenience is now a pivotal factor, and one that online marketplaces are evidently fulfilling more successfully than their uni-brand counterparts. Chrono24, for example, serves as a one-stop-shop for luxury watches, offering competitive pricing, convenient delivery and extensive brand diversity. A quick look at their range here – from Rolex to Cartier to Omega – shows that they are effectively eliminating the need to shop around for these brands individually.

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