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Promise Consulting [Luxury Blog] - Page 74

  • Les #marques de #luxe peinent encore à conjuguer magasins et #e-commerce [#ContactLab]

    Spécialiste de l'engagement client, ContactLab révèle que la majorité des marques de luxe sont à la traîne pour offrir un service qui gère l'activité à la fois en ligne et en boutique. Et pourtant, les consommateurs qui achètent des produits de luxe à la fois sur internet et en boutique dépensent environ 50% de plus par an que ceux qui ne vont qu’en boutique.

    L’étude “The Digital and Physical Integration : Luxury Retail’s Holy Grail » conçue par ContactLab en collaboration avec Exane BNP Paribas révèle que les clients ayant un engagement digital avec une marque, dépensent finalement plus en boutique. Fournir une intégration transparente entre la boutique en ligne et le magasin ouvre donc de vraies opportunités de ventes croisées (commande en ligne et échange ou retour / échange en boutique et vice versa) et permet d'augmenter le taux de conversion et, donc, les ventes. « Il est surprenant de voir que peu de marques de luxe optimisent les relations qu'elles peuvent avoir avec leurs clients, indique Massimo Fubini, le PDG de ContactLab. Les marques de luxe font face à la concurrence avec les détaillants en ligne et ainsi doivent relever leur niveau afin de tirer profit de la sphère en ligne ».

    Burberry par exemple a réussi à mêler les deux avec l'arrivée du « click & collect », déjà utilisé pour 15% des ventes en ligne. Quant aux marques qui assurent la promotion de leur activité e-commerce grâce à des promotions en boutique, elles sont encore rares. 30% le font comme Bergdorf Goodman et Saks, mais 70% restent à la traîne.

    Parmi les marques les plus innovantes, figure Ralph Lauren qui a importé différentes technologies en boutiques, notamment des miroirs interactifs installés dans les cabines d’essayage, reliant les mondes en ligne et hors ligne. En revanche, quatorze marques n’ont toujours pas adopté le moindre outil digital, ni exploité les possibilités du Web. « Les consommateurs modernes ne peuvent pas être classés seulement comme "en ligne" ou "hors ligne" étant donné qu’ils exigent le multicanal pour communiquer avec une marque, ajoute Massimo Fubini. Les marques ne doivent pas gérer leur activité en ligne et en boutique séparément, elles ont besoin de combler le fossé et d'offrir une expérience d’achat homogène ».

    [RETROUVER L'ARTICLE EN LIGNE]

  • Pourquoi le #e-commerce transfrontalier avec la #Chine est prometteur mais difficile ? [#luxe]

    PAR CHUNYAN Li, AUTEUR DE L'OUVRAGE "REUSSIR SUR LE MARCHE CHINOIS", EDITION EYROLLES

    Interview donné à la Tribune.fr, le 27/10/2015.

    En 2014, le commerce en ligne transfrontalier avec la Chine a connu une hausse de 33% en valeur, et les perspectives s'annoncent bonnes. Un marché sur lequel les entreprises françaises peuvent gagner des parts à condition d'en connaître les spécificités. Par Chunyan Li, fondatrice de FEIDA Consulting, et auteure du livre « Réussir sur le marché chinois » (éditions Eyrolles).

    Une nouvelle opportunité prometteuse...
    Le e-commerce transfrontalier avec la Chine devient un sujet très « à la mode » cette année, et représente certainement une forte et nouvelle opportunité pour développer un courant d'affaires avec la Chine, notamment pour les ETI et PME françaises.

    En 2014, le e-commerce transfrontalier (B2B & B2C) de la Chine a atteint 690 milliards de dollars (15 % à l'importation et 85 % à l'exportation), soit une croissance de 33 % sur un an, d'après le Centre de recherche sur le e-commerce de Chine. Les consommateurs chinois sont particulièrement intéressés par des produits occidentaux dans les secteurs des soins maternels et infantiles, des soins de santé, de l'habillement, de la cosmétique, etc.

    Ce faisant, ils ont notamment montré leur fort intérêt pour la France et les produits français. Les marques françaises de moyen et de haut de gamme - qui sont encore peu connues en Chine mais qui possèdent une bonne qualité, un aspect différenciant et une « histoire à raconter » - ont certainement un marché à explorer en Chine.

    La plateforme du e-commerce transfrontalier permet également de réduire les étapes intermédiaires entre les producteurs et les consommateurs finaux, abaissant ainsi le coût des produits et améliorant leur rapport qualité-prix.

    D'ailleurs, dans certains secteurs comme la cosmétique, le processus d'enregistrement d'une marque étrangère en Chine peut s'avérer long et coûteux. Entrer sur le marché chinois via le e-commerce en suivant le processus d'enregistrement de marque en parallèle, permet de gagner du temps pour commercialiser ses produits en Chine.

    Enfin, depuis 2014, le gouvernement chinois a mis en place une politique d'appui favorisant le e-commerce transfrontalier, réduisant les taxes sur la plupart des catégories de produits importés.

    ... mais une opportunité nécessitant une préparation conséquente
    Par rapport à l'importation traditionnelle en Chine, le e-commerce transfrontalier facilite le démarrage : les procédures administratives et les coûts à engager sont réduits, dans la phase initiale. En revanche, plusieurs défis sont à prendre en compte.

    Premièrement, la visibilité. Pour concurrencer les nombreuses sociétés étrangères ou chinoises, et attirer des consommateurs chinois très attachés aux grandes marques, et de plus en plus à la recherche de qualité et d'originalité, il est nécessaire d'investir sur la construction de la marque dès le début à travers des campagnes de marketing ou de communication, via les canaux traditionnels et/ou les médias sociaux comme WeChat ou Weibo.

    Deuxièmement, la logistique. En Chine, les services de livraison express sont très bien développés, peu coûteux voire souvent gratuits, et les consommateurs sont habitués à recevoir un produit deux à trois jours après la commande sur le marché intérieur. Pour une commande transfrontalière, il serait idéal de ne pas dépasser un délai de deux semaines de livraison. Pour y arriver, il faudra que les entreprises expédient à l'avance leurs produits et en conservent un stock dans des « entrepôts sous douane » basés en Chine, souvent à travers des partenaires de logistique ou des sites de e-commerce fournissant ce service comme JD.com.

    Troisièmement, la propriété intellectuelle. Une entreprise encore absente de Chine pourra se faire connaître assez rapidement à travers le e-commerce, et devra donc démarrer en parallèle la procédure d'enregistrement de ses marques, afin d'éviter - ou tout du moins, de réduire - le risque de violation de ses droits.

    Enfin, les éléments culturels. Toute relation d'affaires se ramène finalement à une relation humaine. Il faudra donc prendre en compte les spécificités et les attentes des consommateurs chinois tout en gardant sa « French Touch ». Par exemple, il existe une forte culture du rabais en Chine : les consommateurs y comparent souvent plusieurs sites proposant le même produit avant d'effectuer un achat, raison pour laquelle il y a en permanence des promotions sur Internet. Il est donc important que le rapport qualité-prix reste compétitif ou de savoir mettre en avant sa valeur ajoutée si son positionnement de prix reste élevé.

    Saisir les opportunités du e-commerce transfrontalier avec la Chine, nécessite donc à la fois une bonne préparation, une forte réactivité et une grande capacité d'adaptation. C'est à cette condition que cet outil prometteur constituera un levier de succès pour les entreprises françaises !

    [LIRE L'ARTICLE DANS TRIBUNE.FR]

     

  • #Horlogerie : le #luxe "made in France" dans la course [#BRM #bernardrichards]

    DECOUVREZ DANS CETTE VIDEO LA MANUFACTURE DE MONTRES FRANCAISES B.R.M CHRONOGRAPHES

    horlogerie, luxe, montre, brm, chronographe

    La manufacture BRM du nom de son fondateur Bernard Richards est une maison horlogère française renommée, mais dans l’ombre des géants du luxe qui font parfois appel à l’expertise de la maison horlogère en toute discrétion pour usiner les pièces les plus complexes… L’horloger a fait le choix de se détourner de la production massive en fabriquant chaque année 2000 montres. L’esprit BRM est marqué par le Racing Spirit insufflé par son fondateur passionné de compétitions mécaniques. Ce Racing Spirit se retrouve dans les montres proposées par l’horloger français.

     

  • Will the #luxury market’s #exclusivity always rail against the inclusivity of #digital?

    THE DRUM, 18 MARCH 2016 - 8:45AM UPDATED | POSTED BY SEB JOSEPH

    There’s a philosophical shift in what luxury products mean to people that’s causing brands to grapple with whether they can remain exclusive in a world where they are expected to be more accessible.

    Luxury is becoming democratised, as it becomes less about product and more about experiences. While some brands are recalibrating their businesses to exploit that shift there are others still assessing whether they should balance exclusivity with inclusivity in order to survive.  

    Lire la suite

  • Diverse #Miami #Retail Scene Continues to Attract #Luxury #Brands

    Everybody wants a piece of the Miami luxury market.

    Aventura Mall, the third-largest shopping center in the U.S. with 2.7 million square feet, has been adding luxury brands to its mix. Givenchy and Gucci will bow in the summer and fall, respectively. St. John and 120 percent Lino, an Italian brand of linen apparel for men, women and children, recently opened.

    Aventura in 2017 will add a new three-level, 315,000-square-foot wing. The Carlos Zapata-designed extension will have a rooftop garden and VIP concierge area.

    Due to its size, Aventura has a broad array of tenants, the majority of which are not high end. The center, which is anchored by Nordstrom, Macy’s and Bloomingdale’s features other luxury brands including Louis Vuitton, Cartier, Tiffany & Co., Burberry, Fendi, Bally and Emilio Pucci.

    The competition in Miami started heating up in 2012 when Louis Vuitton, Céline, Emilio Pucci and Christian Dior closed their stores at the Bal Harbour Shops and relocated either to Miami’s Design District or Aventura Mall. Hermès, which also defected, operated a temporary store in the Design District before unveiling its 10,000-square foot flagship there last year.

    While several luxury brands operate more than one unit in Miami, the city’s tourist trade has been dented by the strong U.S. dollar, Brazil’s economic downturn and Russia’s prolonged recession. Tourists from Brazil and Russia have been conspicuous consumers of luxury and contemporary goods.

    Jackie Soffer, co-chairman and ceo of Turnberry Associates, owner and manager of Aventura Mall, said the property attracts 28 million visitors a year. “We cater to a much larger audience,” she said, referring to other retail venues. “If you’re selling a $5 million ring, you may not need that. We have a lot of customers buying $10,000 or 20,000 handbags.

    “Tourism is down in Miami,” she added. “The Brazilian market hasn’t been as strong. We’re getting a lot more U.S. tourists. That’s made up for it a bit.”

    “It will be interesting to see what gets built and what works,” Craig Robins, the primary landlord in the Design District. “Some projects will succeed and some won’t do as well. Miami’s such a big, powerful market; there’s room for retailers to have more than one location.”

    The district is owned by Miami Design District Associates, a partnership between Dacra and L Real Estate, a global real estate development and investment fund, General Growth Properties and Ashkenazy Acquisition Corp.

    Bal Harbour Shops wants to expand with a new wing that would nearly double its size to 850,000 square feet. Whitman Family Development, which owns Bal Harbour Shops, needs voter approval for a land swap deal in order to go forward with the plan.

    New construction in Miami includes the 500,000-square-foot Brickell City  Centre, which will be anchored by Saks Fifth Avenue. It’s part of a $1.05 billion, 5.4 million-square-foot, mixed-use Brickell project that’s being developed by Swire Properties Inc., Whitman and Simon. Valentino, Chopard, Guiseppe Zanotti, Bally, Kiton, Vilebrequin and La Perla are among the retailers expected to bow in the fall.

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  • Le Luxe en Chine s'invite au Printemps des Etudes : Inscrivez-vous !

    Inscrivez-vous en avant-première à la Conférence d’ouverture Parole d’Expert

    « Luxe et Chine : enjeux et perspectives pour les marques françaises »

    Pr Philippe Jourdan, associé Promise, professeur des Universités

    Chunyan Li, auteur de « Réussir sur le Marché Chinois », éditions Eyrolles

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    Malgré une conjoncture difficile et une croissance ralentie depuis 2011, La Chine reste-t-elle un eldorado pour les marques de luxe françaises ? Quelles sont les enseignements à retirer de la crise actuelle pour le repositionner sa stratégie, sa communication, sa distribution et son offre ? La lutte contre la corruption affecte-t-elle durablement le secteur du luxe en Chine ? Comment séduire la 3ème génération d’acheteurs de luxe en Chine ?  Quelles sont les marques les plus exclusives et désirables aujourd’hui en Grande Chine ?

    Philippe Jourdan, expert en études marketing et accompagnateur de grandes marques de luxe, et Chunyan Li, sinologue et auteur de « Réussir sur le marché Chinois »,  répondront à ces questions et échangeront avec vous dans le cadre de la conférence d’ouverture du cycle Parole d’Expert, au Printemps des Etudes, Palais Brongniart,  Métro Bourse, Paris 75009,  le JEUDI 14 AVRIL 2016 entre 8h30-10H00.

     

    RESERVEZ DES MAINTENANT VOTRE PRESENCE AUPRES DE :

    valerie.jourdan@promiseconsultinginc.com

     

    En raison du nombre limité de places, une validation préalable de votre inscription vous sera envoyée par mail pour confirmation. Vous aurez également un accès VIP aux autres ressources du Salon Le Printemps des Etudes à l’aide du badge fourni.