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Promise Consulting [Luxury Blog] - Page 73

  • #Promise intègre le cercle très fermé des experts d’Internal Consulting Group (#ICG)

    Promise, cabinet d’études et de conseil en stratégie de marque, devient l’un des 300 membres hautement qualifiés d’International Consulting Group (ICG).

    Ce réseau, qui rassemble de manière transnationale les meilleurs experts dans différents domaines (marketing, finance, gouvernance, gestion des risques etc…) a pour vocation de proposer aux entreprises des prestations de conseil de très haut niveau.

    VOIR LA PRESENTATION EN INFOGRAPHIE

    valerie jourdan, ceo, promise, etude, conseil, marque, marketing"Nous sommes ainsi très fier moins de 3 ans après la réunion des compétences de Panel On The Web et de Promise Consulting au sein d'une société unique Promise, dédiée aux prestations d'études et de conseil marketing de rejoindre un réseau de prestataires de très haut niveau. C'est l'assurance de démultiplier nos compétences tant en France qu'à l'International autour de notre savoir-faire : aider au développement des belles marques de nos clients." [Valérie Jourdan, CEO Promise]

    Internal Consulting Group : une approche inédite du conseil

    Depuis sa création en 2011, ICG rassemble des consultants en stratégie et management à haute valeur ajoutée, ayant chacun des compétences complémentaires et couvrant un très large spectre de secteurs d’activité et de métiers. Première plateforme globale de conseil aux entreprises (grands groupes ou PME), ICG propose une approche totalement novatrice du conseil : des missions menées par les meilleurs experts internationaux dans leur domaine, dotés d’une vision innovante de leur secteur et la constitution d’équipes dédiées, agiles, flexibles et réactives.

    Promise, membre actif du réseau ICG

    marketing, icg, conseil, etude, marquePromise, acteur de référence en étude et stratégie de marques, intègre la practice marketing de l’ICG. Philippe Jourdan, co-fondateur de l’entreprise, compte désormais parmi les experts d’ICG issus d’horizons divers, cabinets constitués ou consultants indépendants, partageant les mêmes valeurs d’ouverture, d’innovation, avec un fort esprit entrepreneurial.

    A propos d'ICG - Internal Consulting Group

    ICG a été créé en 2011 à Sydney par David Moloney, un consultant en stratégie spécialisé dans le secteur financier, associé à d’autres consultants. ICG fournit à ses clients, grands groupes ou PME, des prestations de conseil de très haut niveau. Les consultants en stratégie et management ainsi que les cabinets du réseau ICG peuvent y référencer leurs compétences, leurs capitaux intellectuels ainsi que leurs modules de formation. Les membres peuvent ensuite accréditer d’autres membres pour leur permettre de déployer leurs méthodes dans d’autres pays : pour intégrer le réseau ICG, chacun doit faire preuve d’une solide expérience de conseil, acquise dans de grands cabinets, et apporter de la valeur au réseau par son expertise ou son réseau professionnel. ICG compte actuellement plus de 300 membres, dont 40 en France. Le réseau est présent à ce jour dans 10 pays : Australie, Nouvelle Zélande, Singapour, Hong Kong, Etats-Unis (New York et San Francisco), Canada, France, Belgique, Royaume-Uni et Suède. L’objectif actuel est d’ouvrir des bureaux dans de nouveaux pays, notamment en Asie, Europe de l’Ouest ou Amérique du Sud.

    Site : http://internalconsulting.fr

    Twitter : @ICGrp

  • Les produits cosmétiques français superstars à l'international ! [#2015 #export #cosmetique]

    Les produits cosmétiques français superstars à l'international ! Les exportations de cosmétiques ont en effet atteint un un niveau record en 2015, portées par les effets de changes positifs liés à la hausse du dollar face à l'euro et par une forte dynamique à destination du Moyen Orient, indiquent les chiffres publiés ce mercredi 16 mars par la Fédération des entreprises de la beauté (Febea) sur la base des données douanières.

    Dans le détail, les ventes à l'export des crèmes de soin, parfums et maquillage fabriqués en France ont atteint 11,8 milliards d'euros l'an dernier, contre 11,3 milliards en 2014. Une performance qui permet à la balance commerciale du secteur d'atteindre un niveau record de plus de 9 milliards d'euros.

    Les crèmes de soin sont restées, de loin, les produits les plus exportés (42,5%) en 2015, devant les parfums (33%) et le maquillage (24,5%) qui a connu cependant les plus forts taux de croissance. Portées par le tout visuel et la mise en scène de soi véhiculés par les réseaux sociaux, les exportations de rouges à lèvres ont grimpé de 17%, celle des fards à yeux de 10% et celles des poudres de 12%.

    Les ventes du secteur réalisées en France étaient quant à elles estimées, en 2015, aux environs de 12 milliards d'euros.

    LVMH, L'ORÉAL ET CHANEL, LE TRIO GAGNANT

    Tiré par les grandes marques des groupes LVMH (Dior), L'Oréal (Lancôme) ou Chanel, la cosmétique française conforte sa position de troisième poste excédentaire de la balance commerciale française, derrière l'aéronautique et les vins et spiritueux.

    Les exportations à destination de l'Union européenne, premier débouché (49%) du secteur, ont augmenté de 5,8% l'an dernier et ont grimpé de 15% à destination des Etats-Unis, deuxième marché des cosmétiques français, pour atteindre 1,1 milliard d'euros, grâce à la hausse du dollar. Elles ont également décollé à destination des Emirats arabes unis, avec une hausse de 15% à 420 millions d'euros.

    La tendance a en revanche ralenti vers l'Asie (16,2% des exportations), où les ventes à destination de la Chine ont limité leur hausse à 8%, après une augmentation de 16,5% en 2014, pour cause de ralentissement économique et de moindre consommation locale.

    LES IMPORTATIONS DE PRODUITS ASIATIQUES EN FORTE HAUSSE

    Dans le sens inverse, à noter que les importations françaises de produits cosmétiques en provenance de Chine, du Japon ou de Corée du Sud ont nettement augmenté. Des marques chinoises comme Herborist, qui mettent en avant la pharmacopée traditionnelle, ou la coréenne Erborian séduisent les consommatrices avec un marketing très ciblé.

    "De nouvelles marques arrivent en France. Elles sont très qualitatives, avec un packaging haut de gamme, et rencontrent un certain succès", déclare à Reuters Virginie d'Enfert, directrice des affaires économiques de la Febea. Si la balance commerciale avec la Chine reste largement positive (420 millions d'exportations pour 86 millions d'importations), "il y là une tendance et ces marques peuvent devenir, demain, des acteurs importants du marché", ajoute-t-elle.

    [LIRE L'ARTICLE]

  • 30 ans, le pire #âge pour la #peau [#beaute #cosmetique #age #glamour]

     

    Par Alice Elia18 MAR. 2016

    En savoir plus sur http://www.glamourparis.com/beaute/le-bon-geste/articles/30-ans-le-pire-age-pour-la-peau/26823#Drf8Vdw1IoKowYoS.99

     

    A 30 ans, il paraît qu’on est plus sûre de soi, plus épanouie et finalement plus belle qu’à 20 ans. Franchement, pas sûr. Pourquoi ? D’abord parce que, physiologiquement, c’est à la trentaine qu’apparaissent les premiers signes de vieillissement qui font douter. Ensuite parce qu’en général c’est à ce moment-là qu’on construit sa vie personnelle (ou pas) et qu’on accède à des responsabilités professionnelles (ou pas), ce qui suppose une énergie considérable (ou, à défaut, un sentiment de ratage pesant). Mais surtout l’époque semble imposer aux trentenaires une série de contraintes inédites.

    "Les transformations de la société et les progrès du féminisme ont élargi le champ des possibles à l’infini, explique Nathalie Rozborski, directrice conseil international mode et beauté chez Nelly Rodi. Ce qui représente à la fois une immense victoire et… une somme d’exigences épuisantes. Les trentenaires veulent avoir toutes les casquettes : celle de la super-pro, de la jeune maman, de la meilleure copine, de la housewife accomplie, de l’amante, de la socialite… ".

    Résultat : en multi-entreprise permanente, chacune court après un fantasme de perfection démultiplié qui ne lui laisse aucun répit. Sans compter les nouvelles normes de réactivité et de performance qui régissent l’univers professionnel. Conséquence : des niveaux de stress sur-élevés, un sentiment de fatigue abyssal, un manque chronique de sommeil, et, à force, une sensation de vieillissement accéléré.

    "Il n’est pas dit qu’elles vieillissent plus vite, tempère la dermatologue Nadine Pomarède. En revanche, ce qui est sûr, c’est qu’elles se préoccupent du vieillissement de plus en plus tôt, dès 25 ans. Carrière, enfants, soirées… Elles veulent tout, mais il ne faut surtout pas que leur visage accuse le coup. Leur investissement sur la peau (dans tous les sens du terme) est énorme. C’est devenu à leurs yeux une condition de réussite professionnelle et sociale." Evidemment, le fait que l’époque soit dominée par des modèles de réussite précoce n’incite pas à la patience. D’où, peut-être, une intolérance accrue à tout signe de faiblesse cutanée. Au premier rang des inculpés : le stress (53 %), la fatigue (59 %) et la pollution (35 %)*, mais aussi une persistance désespérante de l’acné.

    [EN SAVOIR PLUS]

     

  • Charlotte Olympia #Dellal se lance dans les #cosmétiques avec #M.A.C

    La créatrice de chaussures britannique Charlotte Olympia Dellal collabore avec la marque de maquillage M.A.C Cosmetics, le temps d'une collection, rapporte Fashionmag.com.

    Disponible depuis le 17 et jusqu'au 24 mars dans toutes les boutiques et points de vente M.A.C et Charlotte Olympia, la gamme s'inspire sans surprise des années 1950, un univers cher à la jeune femme.

    Au programme, vernis à ongles, rouges à lèvres, ombres à paupières etc. Le tout conditionné dans des boîtiers transparents en plexiglas avec des touches dorées. A l'intérieur de ces derniers, on trouve des motifs de bouches, d'yeux, mais aussi de lèvres et de mains.

    Des motifs à retrouver sur les pièces de la collection capsule de Charlotte Olympia "All Dolled Up" dont l'escarpin à plate-forme Dolly, la ballerine Kiss Me Darcy ainsi que sur quelques pièces de maroquinerie de la collection Feline précise Fashionmag.com.

    Ce n'est pas la première fois que la créatrice s'offre des collaborations. Elle a déjà officié pour la marque de lingerie Agent Ptovocateur et celle de chaussures Havaianas.

    [RETR0UVER L'ARTICLE]

  • #Volkswagen arrête la production de son modèle de luxe #Phaeton

    Le constructeur automobile allemand Volkswagen a arrêté la production de son modèle de luxe Phaeton après des années de chute des ventes. La dernière Phaeton a été assemblée à l'usine de Dresde (est de l'Allemagne) ce vendredi, 14 ans après sa mise sur le marché, a indiqué Volkswagen. Cette dernière voiture partira pour la Chine.

    Aucun licenciement prévu

    En tout, 84000 Phaetons ont été produites. La fin du modèle ne signifie pas pour autant la fin de l'usine de Dresde. Le site sera transformé en grande vitrine de la mobilité électrique et de la numérisation. Les visiteurs pourront vivre "l'avenir de la mobilité de manière ludique, interactive et informative", indique Volkswagen.

    Sur 500 travailleurs, 100 pourront rester à Dresde. Les autres seront replacés dans d'autres usines en Allemagne. Aucun licenciement n'est prévu.

  • Comment les #montres connectées accélèrent la #crise dans l’horlogerie de #luxe

    Thiébault Dromard, Journaliste

    INTERVIEW L’éditeur de Business Montres, Grégory Pons, décrypte les enjeux du salon international de l’horlogerie, le plus grand du monde, ouvert depuis hier pour une semaine.

    Quelle est la situation de l’horlogerie Suisse alors que s’ouvre le salon de Bâle?

    Plus personne n’ose nier que l’horlogerie Suisse est en crise. Les exportations horlogères Suisse ont chuté de 8% en janvier. Il faut remonter à la crise financière de 2009 pour retrouver des chiffres équivalents. Une tendance qui a démarré l’été dernier et qui devrait être encore confirmée mardi avec la publication des chiffres pour le mois de février. Tous les groupes sont touchés ou presque. Regardez Swatch Group, le leader mondial a vu ses stocks passer l’an dernier de 14 à 18 mois.

    Quelles sont les raisons de cette crise?

    Nous payons aujourd’hui une conjonction de catastrophes. Il y a d’abord un entêtement de l’horlogerie suisse à trop produire. Ensuite les prix sont bien trop élevés. L’industrie a abusé d’augmentations régulières ces dix dernières années et il est évidemment très difficile de revenir maintenant en arrière, sans compter que la fluctuation du franc suisse a plutôt renchéri les produits made in Suisse depuis un an. Les marques horlogères n’ont pas su anticiper le freinage chinois. Pourtant on savait qu’à l’arrivée de Xi Jinping la lutte anti-corruption serait efficace. Or les horlogers ont continué à livrer dans des proportions déraisonnables et semblent à peine tenir compte du ralentissement économique chinois.

    Il y a aussi des raisons plus structurelles...

    Oui, plus personne ne veut porter de gros modèles, tape à l’œil. Depuis 18 mois environ la tendance est davantage à la montre épurée, légère et plus simple. Là encore certaines marques tardent à l’intégrer.

    Y-a-t-il déjà des incidences sociales à cette crise ?

    La marque Cartier s’apprête à annoncer un plan social dans ses manufactures. Il devrait aussi y avoir un réajustement des effectifs chez Vacheron Constantin. Mais au-delà de plans sociaux inévitables c’est même le paysage de l’horlogerie de luxe qui pourrait bouger. Il n’est pas impossible que la prochaine assemblée générale du Swatch Group soit agitée car des actionnaires minoritaires trouvent que la famille Hayek n’a pas pris les mesures qui s’imposent pour développer une riposte efficace à la montre connectée qui attaque tous les jours les ventes de deux marques phares de ce groupe Tissot et Longines.

    Les montres connectées font-elles vraiment de l’ombre aux montres de luxe?

    Evidemment. En janvier, le segment de montres vendues à prix identiques à celui des montres connectées (500 à 1.000 euros en prix public) a chuté de 15%. Rares sont les groupes à avoir compris qu’il fallait réagir et vite sur ce sujet. Tag Heuer (LVMH) est l’une des rares marques à avoir réagi en commercialisant sa première montre connectée l’automne dernier. Le groupe LVMH a compris qu’il fallait sur ce sujet investir massivement. Il prépare déjà la deuxième version de cette montre pour la fin 2016.