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4.g- Joaillerie / Horlogerie - Page 5

  • #Promiseconsulting Recherchons pour accompagner notre développement CE Juniors

    POSTE DE CHARGE(E) D’ETUDES DE MARCHE JUNIOR

    TYPES DE CANDIDATURE

    • Stagiaire pour une durée souhaitée de 3 mois minimum (universités ou écoles de commerce)
    • CDD ou CDI envisageables selon profil
    • Alternance ou année de césure également possibles
    • Licence ou Master 1 | Diplômé IUT
    • Localisation de la mission : 76-78 rue Saint Lazare – 75009 PARIS – M° Trinité ou Saint Lazare

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  • [#LUXURYLAB] [VIVATECH] | Le groupe de #luxe #Richemont explore la #3D et la #réalité #augmentée pour vendre ses #montres en magasin | @LUSINEDIGITALE

    DE JULIETTE RAYNAL | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2KP9cmH

    Le groupe de #luxe #Richemont explore la #3D et la #réalité #augmentée pour vendre ses #montres en magasin

    Le groupe de luxe Richemont a récemment lancé une nouvelle marque de montre baptisée Baume. Les produits, disponibles en ligne, seront aussi commercialisés dans certains points de vente physiques. La marque entend se distinguer avec des expériences personnalisées grâce à la 3D et à la réalité augmentée.

    Comment une marque de luxe présente exclusivement sur Internet peut-elle réussir son lancement dans le commerce physique ? Baume, la nouvelle marque de montres du groupe Richemont, fait le pari des expériences digitales...en magasin. Sur le salon Viva Technology, qui se tient du 24 au 26 mai à Paris, l'horloger présente deux expériences d'achat, développées en partenariat avec deux start-up tricolores.

    La première, présentée par la jeune pousse Hapticmedia, propose au client de configurer sa propre montre à partir d'un grand écran tactile. L'intéressé peut choisir la taille du cadran, sa couleur, le type de cadre, la matière du bracelet, sa couleur, celle des aiguilles, etc. "Plusieurs milliers de combinaisons sont possibles", assure Henri Foucaud, fondateur et CEO de la start-up. Pour proposer cette personnalisation avancée, environ une année de collaboration a été nécessaire avec les équipes de Baume. "Notre travail a consisté à recréer une bibliothèque de matières puis à modéliser en 3D toutes les briques élémentaires des montres", précise Lionel Liebe d'Hapticmedia.

     UNE MONTRE EN RÉALITÉ AUGMENTÉE AU POIGNET

    L'expérience imaginée par la start-up ne s'arrête pas là. Une fois le modèle du client configuré sur grand écran, il a la possibilité de le visualiser en réalité augmentée et en taille réelle sur son poignet en utilisant son smartphone et une bandelette en papier. Un moyen de vérifier ses choix de personnalisation ou bien de les modifier. "Une fois sortie du magasin et en attendant la livraison de sa commande, le client pourra continuer à visualiser son modèle personnalisé en réalité augmentée et le montrer à son entourage", ajoute Henri Foucaud.

    Le second scénario a été développé avec la start-up Smartpixel. Ici, le client a la possibilité de configurer sa montre sur-mesure à partir d'un objet physique et non depuis un simple écran. L'expérience repose sur des montres en cire blanche sur lesquelles sont projetés les différents éléments. Pour mettre au point ce dispositif, la start-up a scanné les montres de Baume en 3D pour ensuite modéliser tous les éléments et leurs effets (métal, liège, etc). SmartPixel s'appuie ensuite sur le moteur de jeu 3D Unity pour permettre au client de configurer la montre de son choix.

    DES DIZAINES DE POINTS DE VENTE

    Dans un premier temps, Baume entend tester ces différents scénarios à travers quatre ou cinq points de vente qui verront le jour dans des concept-stores afin de viser un public relativement jeune et friand de nouvelles technologies. La marque ne précise pas, en revanche, si les deux start-up tricolores deviendront bien ses partenaires commerciaux. Baume espère ouvrir plusieurs dizaines de points de vente d'ici la fin de l'année.

     

     

  • [#LUXURYLAB] [VENTES] | Les #Millennials représentent plus de #40 % des #ventes de #Cartier | @LESECHOS

    DE OLIVIER TOSSERI | LES ECHOS | http://bit.ly/2HPLPZe

    Les #Millennials représentent plus de #40 % des #ventes de #Cartier

    Cyrille Vigneron, président de Cartier International, se confie aux « Echos » sur la stratégie adoptée par le groupe horloger.

    Vous avez pris vos fonctions à la tête de Cartier il y a deux ans, quelle situation avez-vous trouvée ?

    A l'époque, le marché comme la maison étaient dans une mauvaise passe. L'horlogerie a été malmenée par deux phénomènes survenus coup sur coup en Chine. Car ce pays a été le moteur de la croissance, en faisant pratiquement doubler le marché. Ce qui a créé des besoins de capacité très forts et d'importants investissements de l'industrie pour éviter les pénuries, sur des produits de plus en plus chers.

    Le premier coup d'arrêt a été la campagne anti-corruption lancée par le gouvernement chinois. Une grande partie de la demande horlogère, en particulier masculine, a pratiquement disparu du jour au lendemain. Le deuxième choc a été la dévaluation de 25 % du renminbi en 2015-2016. Cela a entraîné une surabondance d'offre.

    Comment avez-vous réagi ?

    Il a fallu prendre des mesures structurelles très fortes. Cartier a été la première maison à le faire, avec une grande ampleur, en rachetant des stocks aux détaillants et en en détruisant une partie. Nous avons ensuite repositionné notre offre, en fonction de la demande, et ajusté notre production et notre politique de prix.

    L'autre grand chantier a été de faire le point sur le positionnement de la maison, son ADN. Que fallait-il arrêter, remettre en lumière, comment retrouver la force de nos icônes, en les adaptant ou pas. On a ainsi relancé notre montre bijou Panthère telle quelle. Notre autre modèle culte, la Santos, a été retravaillé. Au bout de deux ans, je constate que Cartier s'est redressé et que son territoire s'est redéfini. C'est une marque plus féminine que masculine ; bien qu'elle soit synonyme d'élégance pour les hommes, elle évoque la simplicité et l'exubérance.

    Comptez-vous ouvrir de nouvelles boutiques ?

    Non, nous allons conserver notre réseau à environ 300 boutiques. Elles sont bien réparties, notamment sur des marchés très dynamiques comme l'Asie et les Etats-Unis. Il n'y a pas d'ouvertures prévues dans les cinq années qui viennent, sauf si l'Inde s'ouvrait vraiment au luxe international. En revanche nous lançons un programme de rénovation très important, car nous avions besoin de moderniser nos magasins.

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    Qu'en est-il de la génération Millennials, qui est le coeur de cible du secteur du luxe ?

    Les Millennials [la génération née entre le début des années 1980 et le milieu des années 1990, NDLR] représentent 43 % de nos ventes. Donc Cartier séduit très bien la jeune génération. En Chine, ce taux atteint plus de 50 %. C'est surtout une question de répartition de la richesse, possédée par des générations plus matures en Europe, aux Etats-Unis et au Japon. En Chine, c'est l'inverse, avec une première génération d'entrepreneurs. La maison n'a pas de problèmes à séduire les Millennials car nos produits sont transgénérationnels.

    Il faut prendre garde à ne pas créer une catégorie particulière, et faire des « produits jeunes », avec une communication jeune pour les jeunes. Il faut une interaction appropriée avec cette cible, mais qui peut porter sur les mêmes collections qu'auparavant. Les jeunes Chinoises aujourd'hui achètent ainsi les mêmes produits que les jeunes Japonaises il y a vingt ans. La question est de rester pertinent pour toutes les générations.

    Quels sont donc les défis auxquels vous devrez faire face ?

    Pour l'ensemble de la profession, le défi est celui du recalage des maisons, tant pour leur distribution que pour leur outil industriel. Ca n'a pas encore été totalement fait. Même si la demande repart, il y a un risque de commettre les mêmes erreurs que par le passé. C'est une profession qui passe très vite de l'euphorie à la déprime et réciproquement.

    Avec ce redémarrage, la profession estime qu'elle est sortie de la crise mais il y aura certainement une nouvelle crise économique ou financière. C'est comme les tremblements de terre, plus le temps passe, plus la probabilité est grande. Il n'est pas certain que les enseignements de la crise passée aient été tirés. Il faut intégrer les attentes des clients par rapport à l'horlogerie. Elles ont évolué.

    Ils sont plus exigeants. Il faut à la fois clarifier et améliorer notre offre. Cela nécessite un outil industriel flexible, pour continuer à innover. Une des tendances de l'horlogerie a été de se penser comme un marché de nouveautés, alors que tout le monde faisait la même chose, d'où sa banalisation. Il faut que les maisons retrouvent une identité claire, sans quoi les nouvelles générations préféreront acheter une montre connectée. C'est un défi collectif, mais Cartier est bien armé pour le relever.

  • [PRESS RELEASE] [DESIRABILITY & EXCLUSIVITY] [#PROMISECONSULTING| The wealthiest #English women #desire the #European #brands but purchase most often the #American ones

    FROM PROMISE CONSULTING IN PARTNERSHIP WITH EXANE BNP PARIBAS 

    The wealthiest #English women #desire the #European #brands but purchase most often the #American ones

    THE « DESIRABILITY & EXCLUSIVITY » BAROMETER OF PROMISE CONSULTING ON LUXURY BRANDS  PUBLISHES ITS RESULTS FOR THE UNITED KINGDOM. THIS MEASURE IS INCLUDED IN THE « BRAND HEALTH » INDEX OF THE FINANCIAL ANALYSIS COMPANY EXANE BNP PARIBAS.

    The results of the 4th edition of the « «Desirability &Exclusivity » barometer for the United Kingdom show that European and especially French high-end brands in fashion are considered more exclusive than the US ones and equally desirable. But the American brands are more known and more often purchased. Consequently, 4 US brands rank in the top 4 places while only Chanel integrates the top 5. Burberry on the other hand falls behind in its domestic market.

    As well-known as their European counterparts, American brands certainly benefit from a less high-end (and therefore more premium and accessible) positioning to take the leadership on sales. But they also seduce by a more trendy and sporty style, more in line with the dominant values of the “bourgeois” aristocracy of the US East coast. An evidence of the better fit of the transatlantic fashion brands with the dominant lifestyle values in the United Kingdom. Certainly but not only!

    However, European brands, essentially French and Italian ones, remain very desirable and even more exclusive (perhaps too much?). Chanel is by far the most desired brand in the UK while high-end brands occupy the top of the ranking with three brands neck and neck (Ralph Lauren, Louis Vuitton and Christian Dior). Finally, the high-end brands in fashion continue to widen the gap in exclusivity (Chanel, Louis Vuitton, Hermès, Prada), while Dior and more surprisingly Burberry lie behind.

    There is indeed, as Brexit is going on, an irreducible specificity of the English market of the luxury fashion that we invite you to discover!

    PRESS FULL SURVEY REPORT (10 PAGES INCLUDING GRAPHICS AND ANALYSES) ON DEMAND

    Leave us your contact details : http://bit.ly/2GBhOvL

     

    ABOUT PROMISE CONSULTING

    Promise Consulting is a market research and consulting firm issued from the merge of the French company Panel On The Web and the American company Promise Consulting. 

    Promise Consulting delivers market research and consulting services of upmost added value. The company created an innovative methodology and modeling for measuring the performance and the ROI of marketing strategies and brand-focused investments (Monitoring Brand Assets©.  This methodology has been deployed in nearly 50 countries to date, fully investigates 250 brands in the most diverse sectors and totalizes more than 1,500,000 administered questionnaires worldwide. 

    Promise consulting has an established reputation for its innovative methods and models and has been awarded with Prizes 7 times in 10 years by the profession at the national and international levels. The company works with the main brands in luxury, cosmetics and retailing helping them to grow in their national market or at the international level. It is also active in many other business sectors, whenever the brand managers want to have an informed growth strategy, to better understand their market, or to better reach out and retain their customers.  

    Promise’s CEO, Philippe Jourdan, is the chief-editor of the Adetem’s review, the French Marketing Review (RFM) since 2011. He publishes in academic international magazines on issues related to brand equity in the universes of luxury, beauty and selective retailing. He also publishes in the economic and news press (Le Monde, Les Echos, Le Figaro, l’Opinion, La Revue des Marques, etc.). Philippe is also an associate professor, researcher at the IRG (CNRS) and was awarded for the best Research Paper, AFM in 2000. He has also a certification in Social Media. http://www.promiseconsultinginc.com/  

     

    ABOUT EXANE BNP PARIBAS

    Founded in 1990, Exane BNP Paribas is an investment company specializing in three businesses:

    • Cash equities: under the brand name Exane BNP Paribas, Exane provides institutional investors with a range of services, such as research, sale and execution on European equities.
    • Derivatives: Exane Derivatives has built a robust structured products franchise, based on its longstanding leadership in European convertible bonds and options.
    • Asset management: the asset management arm of the Exane Group is embodied by its 2 asset management companies, Exane asset management and Ellipsis AM, based respectively on the equity and fixed-income universes.

    Exane BNP Paribas works primarily with institutional clients around the world (pension funds, fund managers for banks or insurers, etc.) and markets its derivatives to a broad spectrum of clients, including private fund managers and investment counselors. Exane employs more than 800 people worldwide, in offices in Paris, London, Frankfurt, Geneva, Madrid, Milan, New York, Stockholm and Singapore. Exane BNP Paribas’ research teams cover more than 600 major companies around the world and are regularly awarded with prizes for the high quality of their sector analyses. In the luxury sector, Luca Solca has been elected Best Financial Analyst by its pairs and clients during the years 2011, 2014 and 2015.

     

    Download the press release : PRESS RELEASE BAROMETER UK.pdf

  • [COMMUNIQUÉ DE PRESSE] [EXCLUSIVITÉ & DÉSIRABILITÉ] [#PROMISECONSULTING]| Les #Anglaises fortunées #désirent les #marques #Européennes mais #achètent le plus souvent les #marques #Américaines

    PROMISE CONSULTING EN COLLABORATION AVEC EXANE BNP PARIBAS

    Les #Anglaises fortunées #désirent les #marques #Européennes mais #achètent le plus souvent les #marques #Américaines

    LE BAROMETRE « DESIRABILITE & EXCLUSIVITE » DES MARQUES DE LUXE DE PROMISE CONSULTING PUBLIE SES RESULTATS POUR LE ROYAUME-UNI. CETTE MESURE EST INTEGREE DANS LE « BRAND HEALTH INDEX » DE LA SOCIETE D’ANALYSE FINANCIERE EXANE BNP PARIBAS[1].

    Les résultats de la 4ème édition du Baromètre « Exclusivité & Désirabilité » pour le Royaume- Uni montrent que les marques européennes et surtout françaises sont jugées plus exclusives et également désirables mais que les marques américaines sont davantage connues et achetées. Ce sont donc quatre marques américaines qui trustent les 4 premières places tandis que seule Chanel intègre le top 5. Burberry en revanche s’inscrit en retrait sur son marché national.

    Aussi connues que leurs homologues européennes, les marques américaines bénéficient certes d’un positionnement plus premium luxe pour s’imposer en achat, mais elles séduisent également par un style plus branché, plus sportif, plus en phase avec les valeurs dominantes de « l’aristocratie » bourgeoise de la côte Est américaine. Reflet d’une plus forte congruence des marques d’outre-Atlantique avec les styles de vie sociologiquement dominants au Royaume-Uni ? Certainement.

    Pour autant, les marques européennes, essentiellement françaises puis italiennes, restent très désirables et plus encore exclusives (peut-être trop ?). Chanel est de loin la marque la plus désirée au Royaume-Uni tandis que les marques de luxe occupent le sommet du classement avec trois marques dans un mouchoir (Ralph Lauren, Louis  Vuitton et Christian Dior). Enfin, les marques de grand luxe continuent de creuser l’écart en termes d’exclusivité (Chanel, Louis Vuitton, Hermès, Prada), Dior et plus surprenant Burberry se situant en retrait.

    Il existe donc bien, à l’heure du Brexit, une spécificité irréductible du marché anglais de la mode de luxe que nous vous invitons à découvrir.

    DOSSIER DE PRESSE (10 PAGES AVEC GRAPHIQUES COMMENTÉS) SUR DEMANDE

    Laissez-nous vos coordonnés : http://bit.ly/2GBhOvL

     

    A PROPOS DE PROMISE CONSULTING

    Promise Consulting est une société d’études et de conseil marketing issu de la fusion des sociétés française Panel On The Web et américaine Promise Consulting Inc.

    Promise Consulting intègre des prestations de conseil et d’études à forte valeur ajoutée. Elle a créé une méthodologie innovante de mesure de la performance de marque et du ROI des investissements centrés sur la marque : Monitoring Brand Assets©. Cette méthodologie a été déployée dans près de 50 pays à date, porte sur l’étude de 250 marques dans les secteurs les plus divers et totalise plus de 1.500.000 questionnaires administrés en ligne dans le monde.

    Promise Consulting a su développer des méthodes et des modèles innovants, récompensés 7 fois en 10 ans, par la profession au plan national et international. Elle accompagne les plus grandes marques de luxe, de cosmétiques et de distribution dans leur développement sur le marché national et les marchés étrangers. Elle intervient également dans de nombreux secteurs d'activité, chaque fois que les marques souhaitent disposer d'une stratégie de croissance éclairée pour mieux comprendre leur marché, s'adresser à leurs consommateurs, séduire et fidéliser leurs clients.

    Le CEO de Promise Consulting, Pr Philippe Jourdan, est rédacteur en chef de la Revue Française de Marketing (RFM), depuis 2011. Il publie dans des revues académiques de niveau international sur les problématiques de valorisation des marques dans les secteurs du luxe, de la beauté et de la distribution sélective. Il publie également dans la presse économique et d’actualités (Le Monde, Les Echos, Le Figaro, l’Opinion, La Revue des Marques, etc.). Il est également professeur des universités, chercheur à l’IRG (CNRS) et lauréat du Meilleur Article de Recherche AFM 2000. Il a enfin une certification Social Media. 

    http://www.promiseconsultinginc.com/

     

    A PROPOS D’EXANE BNP PARIBAS

    Spécialisé dans les actions européennes, Exane BNP Paribas est présent dans trois métiers :

    • L'intermédiation en placement d'actions européennes.
    • Les dérivés actions appelés Exane Dérivatives.
    • La gestion d'actifs via la gestion de fonds d'investissement de moyen et long termes.

    Exane BNP Paribas travaille principalement avec des clients institutionnels dans le monde entier (fonds de pension, gestionnaires de fonds pour le compte de banques ou d'assureurs, etc.) et commercialise ses produits dérivés à un spectre étendu de clients, comprenant des gestionnaires de fonds privés et des conseillers en investissements. Exane emploie plus de 800 personnes dans le monde, dans ses bureaux de Paris, Londres, Francfort, Genève, Madrid, Milan, New-York, Stockholm et Singapour.

    Les équipes de recherche d’Exane BNP couvrent plus de 600 grandes sociétés, dans le Monde, et sont régulièrement récompensées par des Prix pour la grande qualité de leurs analyses sectorielles.  Pour plus d'informations : http://www.exane.com.

    Dans le secteur du luxe, Luca Solca a été élu Meilleur Analyste financier par les investisseurs du secteur au cours des années 2011, 2014 et 2015.

     

    Télécharger le communiqué de presse : COMMUNIQUE PRESSE BAROMETRE UK.pdf

  • [#LUXURYLAB] [MARCHE] | Le #marché du #luxe #repart sur les chapeaux de roues en #Chine | @LESECHOS

    DE FREDERIC SCHAEFFER | LES ECHOS | http://bit.ly/2EX825s

    Le #marché du #luxe #repart sur les chapeaux de roues en #Chine

    Les ventes ont progressé de 20 % en 2017, soit leur rythme de progression le plus élevé depuis 2011. Le rebond est spectaculaire. Après cinq années passablement moroses, le marché chinois du luxe est reparti sur les chapeaux de roues l'an dernier, porté par un engouement croissant  des « Millennials » chinois, ces jeunes citadins ultra-connectés et au pouvoir d'achat élevé . Les ventes de produits de luxe en Chine ont progressé de 20 % en 2017, à 142 milliards de yuans (18 milliards d'euros), soit leur rythme de progression le plus élevé depuis 2011, indique une étude de Bain & co dévoilée ce mercredi à Shanghai.

    Après avoir beaucoup souffert de la campagne anti-corruption lancée par le président Xi Jinping, le marché a amorcé sa reprise à l'automne 2016. Le mouvement s'est ensuite amplifié en 2017, profitant en premier lieu aux cosmétiques et parfums (+28 %), à la joaillerie (+27 %) et au prêt-à-porter pour femme (+24 %). « C'est un nouveau départ pour le marché du luxe en Chine qui, dans le passé, était davantage tiré par la pratique des cadeaux d'affaires », indique Bruno Lannes, associé chez Bain à Shanghai.

    Les consommateurs chinois sont un enjeu crucial pour tous les géants du luxe (LVMH, Kering...). A eux seuls, ils ont effectué un tiers (32 %) des dépenses de luxe dans le monde l'an passé, contre 30 % en 2016. Et ils pèsent désormais autant que les consommateurs américains et japonais réunis !

    Mais alors que les consommateurs chinois ont pour habitude de massivement acheter les produits de luxe à l'étranger, les choses évoluent. « Désormais, un quart de leurs achats se fait en Chine continentale [hors Macao et Hong-Kong], troisième marché mondial du luxe, derrière les Etats-Unis et le Japon », poursuit Bruno Lannes.

    Plusieurs raisons expliquent ce regain de santé du marché chinois observé depuis plusieurs trimestres. Cherchant à développer la consommation intérieure, les autorités chinoises ont à la fois abaissé les droits de douanes sur un certain nombre de produits importés et engagé une lutte contre le marché parallèle des « daigous », ces acheteurs qui revendent moins cher qu'en Chine d'authentiques produits achetés en Europe, en renforçant les contrôles des bagages dans les aéroports et en infligeant de lourdes amendes.

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    A cela, s'est ajoutée une politique d'alignement des prix mondiaux opérés par de nombreux acteurs du luxe qui s'est traduite par une baisse des étiquettes en Chine. « Surtout, les marques ont fortement renouvelé et rajeuni leurs collections, rencontrant un écho très favorable auprès des Millennials chinois », poursuit Bruno Lannes. « Une nouvelle Chine émerge avec ces nouveaux consommateurs de 20 à 34 ans qui n'étaient pas là il y a cinq ans et qui ont des profils, des attentes et des goûts différents. »

    Issus de la politique de l'enfant unique, ces Millennials commencent à acheter des produits de luxe très tôt et fréquemment. « Dans ce secteur, l'âge moyen du consommateur chinois se situe entre 30 et 35 ans, ce qui est beaucoup plus jeune qu'aux Etats-Unis ou en Europe », poursuit l'expert. Les Millennials sont également ultra-connectés depuis leur smartphone, poussant les marques de luxe à renforcer leur présence sur Internet et le réseau social Wechat, utilisé par près d'un milliard de Chinois.

    L'objectif est alors principalement d'accroître la notoriété de la marque, de fidéliser le client et de le faire venir en boutique. Si les grandes marques sont moins réticentes à la vente sur Internet que par le passé, celle-ci reste encore très embryonnaire, comptant pour 9 % du marché global. Pour 2018, Bain ne voit pas de nuages à l'horizon, anticipant des achats de produits de luxe encore soutenus en Chine, avec une croissance entre 12 % et 15 %.