Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

5.1- Culture - Page 7

  • [LUXURY LAB][ECONOMY] | Build a #brand for #Millennials | @CITYA.M.

    FROM JEZ FRAMPTON | CITYA.M. | http://bit.ly/2vR6bLF

    #Build a brand for #millennials : The new challenge

     A brand is the most important asset a business can have. It is the only true, long term differentiator of a company, and without doubt it helps businesses change and grow. But although business owners know this is true, most are still neglecting the one thing that makes a successful brand: people. Brands start and finish with people. They begin on the inside, with humans, and are ultimately delivered on the outside, to humans. People are the pillars of a company that breathe life into businesses.

    Brands are not a tangible product – they are a human construct brought together by opinions, perspectives and experiences. These experiences are made up of interactions with the product, a company’s culture, its impact on the wider environment, and how it communicates. Each of these factors makes up a brand. And every touchpoint for a consumer or employee matters. It is only when these experiences are fully aligned with clear values and purpose that a brand can live to its full potential.

    People form opinions of companies in the same way that they form opinions of other people: it is an informed, emotional choice as to whether they like and trust you. Your company needs to have clear values and a meaningful purpose to allow people to make these decisions.

    This is even more crucial when aiming to get millennials engaged with your brand. Some might be tired of hearing about millennials’ needs, and the fact that they are more concerned with a business’ ethos and vision than their parents were. But this is the generation that companies must aspire to.

    This unique generation has found its voice and is not scared to use it. Look at the recent General Election, for example. Theresa May thought she was safe, but the millennials roared and swayed the result. They weren’t prepared to stand for something they didn’t believe in.

    Millennials want purpose, clarity and authenticity, and these are the qualities that must be instilled into a brand’s ethos if you want this and future generations to consider buying into your products. Millennials are the people that will champion your brand’s purpose – if you give them one.

    [LIRE LA SUITE]

  • [LUXURY] | #Luxury #Brands Are In Danger Of Losing American #Millennials | @Forbes

    FROM PAMELA N. DANZIGER | FORBES | http://bit.ly/2gZkH16

  • #Chtchoukine à la Fondation #Vuitton : les coulisses de l'expo de tous les records

    ARTICLE BFM BUSINESS | INTERVIEW DONNE LE 11-03-2017 | NINA GODART

    Interview de Philippe Jourdan, CEO, Promise Consulting

    LIRE L'ARTICLE EN LIGNE : http://bit.ly/2q0dErL

    Obtenir le prêt par la Russie de 130 œuvres de la collection Chtchoukine a réclamé une débauche de moyens humains et matériel pour LVMH et Bernard Arnault. Pour un retour sur investissement qui ne se compte pas en euros.

    Objectif atteint pour la Fondation Vuitton, qui visait 1 million de visiteurs. 200.000 de plus se sont même pressés à l'exposition "Icônes de l'Art Moderne - La Collection Chtchoukine", qui vient de s'achever. Autant que le record historique détenu jusque-là par le Petit Palais, avec "Toutankhamon et son temps" en 1967. Et encore, la Fondation privée du numéro 1 mondial du luxe a atteint ce total en un temps bien plus court: un peu plus de 4 mois contre 7 mois et demi pour les trésors du Pharaon.

    paris, lvmh, louis vuitton, Chtchoukine

    Un succès à mettre au crédit notamment de Jean-Paul Claverie, proche conseiller de Bernard Arnault depuis 1991. C'est lui, l'homme qui conçoit le projet fou de cette exposition il y a presque trente ans. Dans les années 80, alors qu'il officie au cabinet de Jack Lang, il rencontre le petit-fils de Chtchoukine, André-Marc Delocque-Fourcaud, lui-même fonctionnaire au ministère russe de la Culture.

    Ce dernier rêve d'exposer à Paris la collection de son grand-père, l'homme d'affaires russe Sergueï Chtchoukine. Un rêve partagé par Jean-Paul Claverie. La collection en question comprend des centaines de chefs d'œuvres de l'art moderne, des Gauguin, Matisse, Picasso, Manet, Monet, Van Ghogh. Ce trésor valorisé à plus de 6 milliards d'euros a dû être abandonné en Russie par l'amateur d'art avant-gardiste qui a fuit le pays après la révolution de 1917. Il ne remettra jamais la main dessus. Ses héritiers non plus. La collection est confisquée par l'administration russe, remisée sous Staline qui y voit un art bourgeois honni, puis dispersée en 1948. Ce qu'il en reste a été réparti entre deux musées: celui de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg, et le musée Pouchkine de Moscou. Jamais, depuis, les tableaux n'avaient été réunis, et encore moins dévoilés ensemble hors de Russie.

    paris, lvmh, louis vuitton, Chtchoukine

    Monter une telle exposition a donc relevé de l'exploit. Y compris sur le plan financier? La Fondation a-t-elle par exemple dû payer pour présenter les 130 oeuvres exposées à la Fondation Vuitton, parmi lesquels 29 Picasso, 22 Matisse, 12 Gauguin? Selon plusieurs porte-paroles de musées, les "fees" (droits à payer pour exposer des oeuvres) sont une pratique courante pour les fondations privées. Mais Jean-Paul Claverie assure que Bernard Arnault s'étant engagé à prêter, en échange, des œuvres de sa collection personnelle, aucun contrepartie financière n'a été versée. Reste que la Fondation a dû consentir à d'autres investissements très coûteux, que n'aurait sans doute pas pu se permettre un musée public.

    Comme pour chaque prêt de musée, l'emprunteur a dû assurer les œuvres inestimables qu'il a exposées. Là encore, impossible de connaître le coût de cette protection. Un représentant d'Axa Art admet juste que "même l'État français n'aurait pas les moyens d'assurer la Joconde ou l'Origine du Monde". Il a aussi fallu garantir la sécurité des œuvres, durant leur transport, et pendant l'exposition. Avec notamment "plusieurs gardes par salle, 24 heures sur 24", souligne notre source.

    Le groupe a dû prendre à son compte d'onéreux contrats de restauration, sur place en Russie, avant d'obtenir de transférer les œuvres. Comme pour "L'atelier Rose" de Matisse, dont les grands aplats de couleur menacent de se détacher, et qu'il fallait réencadrer (ci-dessous).

    Le groupe n'a pas lésiné non plus sur les moyens humains. Bernard Arnault s'est impliqué personnellement. Le dirigeant français se reconnaît dans le parcours de Chtchoukine, un homme d'affaire qui doit sa fortune au textile et qui achète des œuvres pour participer au rayonnement culturel de la France. Il a fait sien le rêve de son conseiller et déployé toutes les ressources à sa disposition.

    "Les experts du groupe, toutes les connaissances des différentes maisons de LVMH en Russie ont été mobilisées. Bernard Arnault a parlé à Vladimir Poutine à maintes reprises depuis une dizaine d'années", explique une source. C'est encore l'homme le plus riche de France qui a négocié personnellement la prolongation de deux semaines de l'exposition.

    Le patron du numéro un mondial du luxe est aussi parvenu à faire signer la préface du catalogue de l'exposition à Vladimir Poutine au moment où la situation géopolitique lui faisait renoncer à un voyage en France. Il a obtenu que les héritiers de Chtchoukine renoncent contractuellement à tout recours sur la succession, condition sine qua non de la tenue de l'exposition à Paris. Et du gouvernement français la publication d'un arrêté qui garantit aux musées russes l'insaisissabilité de toutes les œuvres prêtées.

    paris, lvmh, louis vuitton, Chtchoukine

    Le succès de l'exposition a-t-il permis de rentabiliser l'évènement? Pas sûr. Les organisateurs ne donnent aucun chiffre. Mais à 14 euros l'entrée à plein tarif et 5 euros le tarif réduit, on obtient une estimation grossière de 12 millions d'euros tirés de la vente de tickets. Soit juste de quoi rentrer dans des frais estimés entre 10 et 13 millions d'euros selon Le Monde. Jean-Paul Claverie, affirme, lui, que "c'est beaucoup moins"

    Quoi qu'il en soit, "le mot rentabilité n'a pas sa place dans ce type d'opération", analyse Philippe Jourdan, directeur de Promise Consulting et expert du secteur du luxe. Même si des évènements d'une telle ampleur "valorisent la fondation Louis Vuitton, le bâtiment de Frank Gehry en soi", reconnaît le spécialiste, le bénéfice qu'en retire le groupe ne se compte pas en euros. Ce coup magistral sert surtout à "associer le beau et le luxe à un moment où son image pâtit de consumérisme, de mercantilisme". Et à renforcer le statut d'un Bernard Arnault mécène "qui redistribue sa richesse en donnant accès à la culture".

  • #Skincare | #Chanel uncovers powerful plants in global tour | @cosmetics @Chanel

    FROM LUXURY DAILY | FROM SATRAH JONES | JANUARY 5, 2017

    France’s Chanel is exploring the anti-aging secrets of three far-flung populations with a shared claim.

    The beauty brand’s newly released Blue Serum took inspiration from Blue Zones around the world, places where the locals live remarkably longer lives. In an effort to prove the claims of its product, Chanel is inviting consumers to journey to these locales in a series of short films.

    Chanel was reached for comment.

    FEELING BLUE

    Chanel’s Blue Serum is being touted by the brand as “a new horizon for skincare.”Explaining the inspiration and ingredient sourcing for this serum, Chanel filmed travel diaries to the Blue Zones that contributed to the product.

    Against footage taken in Costa Rica, a female narrator says, “You can feel the life force in everything and everywhere.” Portraying this energy are images of waterfalls amid greenery.

    chanel, blue serum, skincare, costa rica

    Still from Chanel's Blue Serum film

    The voiceover explains how Costa Rica’s green coffee can only be found in the country, which may contribute to the locals’ long lives.

    In Italy, the Mediterranean locale is said to be the home of centuries’ old olive trees.

    Chanel turns its attention to the sun in Greece, which it says is in everything. This includes soil, plants and the lentisk tree.

    chanel, blue serum, skincare, costa rica

    Discover the Power of Blue Serum - Chanel

    All videos include the statement, “It’s something special. Some call it a mystery. It’s just life.”

    These ingredients—sourced from Nicoya, Costa Rica; Sardinia, Italy and Ikaria, Greece, all hold antioxidant properties. According to the brand, a trial found the serum to reduce wrinkles, even skin tone and firm skin.

    [LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]

  • Tiffany procures retail solutions for Trump Tower-related security measures | @tiffanyandco @cotyincpr

    FROM LUXURY DAILY | DECEMBER 2016, 19

    [LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]

    Tiffany & Co.’s Fifth Avenue flagship’s proximity to Trump Towers has resulted in an unlikely branding effort for the U.S. jeweler.

    The jeweler’s iconic flagship, known for its cameos in Hollywood films and its annual holiday windows, finds itself on the same block as Trump Towers, the Midtown Manhattan home of U.S. President-elect Donald Trump. Since the election results were announced Nov. 8, protesters have been picketing outside the building, causing the Secret Service and New York Police Department to heighten security along Fifth Avenue, just in time for the holiday season.

    "The truth is that politics and business do not mix, and when those worlds collide, good things rarely happen," said Rob Frankel, branding strategist & expert at Frankel & Anderson, Los Angeles. "'Cause marketing' is a huge myth, often alienating as many (or more) prospects than it might attract. "Overall, I see this less as a political statement and more along the lines of the signs you see posted when a store is remodeling, which proclaim 'Pardon our dust! We're open for business!'" he said. "Nobody really notices and business doesn't improve until the signs are removed and foot traffic returns to normal."

    Branded barricades
    As a result of the extra security measures, storefronts near Trump Tower’s, including Tiffany and Gucci, which has its New York flagship within the tower, have seen decreased foot traffic as barricades deter shoppers and worsen congestion on the already busy thoroughfare in Midtown Manhattan.

    Barricades along the street caused Tiffany to cancel its holiday window reveal. While the store remains in business with normal hours, its sales are expected to take a hit this year, according to CNBC.

    In addition to the imposing presence of the metal blockades, security personnel have also been on heightened alert. Individuals headed to the luxury stores around the tower are the only ones getting through to the sidewalk, but this means potential shoppers enduring questioning by police before they are allowed to pass (Trump’s midtown Manhattan base causes problems for luxury retail).

    Tiffany, for one, has partnered with the New York City Police Department to make the most of the security presence by designing branded covers for the police barricades.

    The barricades, dressed in Tiffany blue slipcovers, have been positioned from 57th Street around to the jeweler’s entrance on Fifth Avenue, thus creating a Tiffany “safe zone.”

    Doing so provides a pathway for passersby to view Tiffany’s annual holiday windows. While this solution ensures some consumers get to experience its windows, Tiffany likely missed out on the attention and crowds that make it a point to see its display this year.

    The placement of the branded barricades also allows consumers to enter the flagship through its main entrance. Prior to the barricades being set up, consumers were encouraged to use the jeweler’s side entrance facing 57th Street.

    In a statement the jeweler said: “Tiffany is in frequent communication with the New York Police Department and U.S. Secret Service regarding safety and security along the perimeter of our Fifth Avenue flagship. We remain open for business with regular hours and welcome customers to enter the store via our 57th Street entrance while any barricades along Fifth Avenue are in place.

     “Our iconic flagship store windows, which feature sparkling scenes of New York City at the holidays, are now on display for all to see. Our façade has also been illuminated as planned.”

    Alternate viewings
    A digital solution has also been implemented to ensure that consumers who would rather not visit in person due to the barricades and upped police presence can still experience the windows

    Tiffany, Louis Vuitton and Cartier are among the 18 New York storefronts getting a digital audience this holiday season with help from Google. Google’s “Window Wonderland” recreates the feeling of strolling outside iconic retailers on a consumers’ desktop computer, mobile phone or tablet.

    While about 5 million tourists descend on New York this time of year, many located in other cities, states or countries will not be able to get to see these in person, making this Google experience the next best thing.

    (...)

  • Les blogueuses beauté se cachent pour mourir | @Leblogdelaura

    Après la presse féminine, les marques de cosmétiques ont tout misé sur les blogs de beauté, puis sont passées à autre chose. C’est moche.

    blog, beute, cosmetique, maquillage, publicite

    19 décembre 2016

    Il y a dix-huit mois à peine, la situation était sous contrôle. Délaissant une presse papier vieillissante, les industriels de la cosmétique misaient tout sur les blogueuses et les youtubeuses. Des dizaines de sites et de chaînes beauté en ligne ouvraient chaque jour. Les postulantes à la gloire se bousculaient au portillon. Dans une ambiance de casting permanent, il suffisait aux marques de choisir les plus prometteuses, puis de les couvrir de cadeaux : échantillons gratuits, invitations au festival de Cannes, voyages à Hollywood et places de concert VIP.


    Les professionnels avaient tiré les leçons de quelques bides spectaculaires, comme celui du blog « Claire, le journal de ma peau », ouvert en 2005 par Vichy pour vanter un exfoliant. Pendant les trois semaines que durait le traitement, une pseudo-blogueuse contait le quotidien de son épiderme. Huées des internautes, discrédit, retraite piteuse. Trop léché et terriblement artificiel, le blog de Claire était, de surcroît, superflu. Pourquoi dépenser de l’argent pour créer une fausse « influenceuse », alors que les vraies se bousculent pour collaborer et qu’elles sont crédibles aux yeux du public ?

    [LIRE LA SUITE SUR LE SITE]