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4.e- Distribution - Page 9

  • #Pharmacies : Rester dans une logique de diagnostic pour la #cosmétique - Un #libre-service comme en grande distribution ? [#grandedistribution #formation #expertise #conseil]

    "Un libre-service comme en grande distribution ?"

    By Fabienne Colin, 2016-10-01+, Pharmacien Manager N°161, News : Face à Face

    Le marché du soin en officine se porte bien, au détriment de la parfumerie. Une opportunité que le pharmacien a intérêt à exploiter pour fidéliser. Conseils de Philippe Jourdan, expert en Marketing, diplômé d’HEC et fondateur de Promise Consulting, un groupe spécialisé dans l’accompagnement stratégique des marques cosmétiques.

    Philippe Jourdan explique que dans l’univers du soin, même si la notion du libre-service et du « try and test » possède une position prépondérante, le besoin de conseil et de prise en charge reste non négligeable, ce qui se rajoute au besoin du sentiment de liberté en tant que driver clé en matière de fréquentation et d’achat.

    Par conséquent, les pharmaciens doivent profiter de leur savoir-faire et connaissances et oser d’aller au rencontre du client. Certes, leur spécialisation est un point fort, mais la maitrise de se rendre en contact direct avec le client demande de la formation et de l’expertise.

    En outre, «le discours n’est plus centré sur la vente d’un produit, mais sur la détection vraie du besoin du client à qui ensuite on va proposer la routine de soin adaptée», comme Philippe Jourdan, fondateur de Promise Consulting explique.

    Mais dans ce contexte de proposition de routines, quelles marques sortent du lot ?

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  • #Pharmacies : Rester dans une logique de diagnostic pour la #cosmétique - Présentation d’une offre resserrée [#conseils #confiance #hydratation #soin #prévention #sélection #promotion]

    By Fabienne Colin, 2016-10-01+, Pharmacien Manager N°161, News : Face à Face

    Le marché du soin en officine se porte bien, au détriment de la parfumerie. Une opportunité que le pharmacien a intérêt à exploiter pour fidéliser. Conseils de Philippe Jourdan, expert en Marketing, diplômé d’HEC et fondateur de Promise Consulting, un groupe spécialisé dans l’accompagnement stratégique des marques cosmétiques.

    Tout d’abord, Philippe Jourdan explique que les pharmaciens doivent rester dans la logique suivante :

    Les consommateurs vont traditionnellement en pharmacie suite aux conseils de leurs médecins afin d’effectuer leurs achats de médicaments à l’issue d’un diagnostic. L’achat est donc basé sur une logique de confiance, que Philippe Jourdan encourage à garder tout en présentant des offres adaptés aux besoins de la clientèle. 

    Face à un besoin de prévention de la ride, de comblement, d’hydratation, le pharmacien ne doit pas aborder le client par la promotion du moment ou par une marque, mais par un diagnostic. La deuxième étape est de s’orienter vers le produit adéquat qui fait partie d’une sélection faite en amont.

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  • #Pharmacies : rester dans une logique de diagnostic pour la #cosmétique

    PHARMACIES MANAGERS - FABIENNE COLIN - 01 OCTOBRE 2016

    Le Marché du Soin en Officine se porte bien au détriment de la parfumerie. Une opportunité que le pharmacien a intérêt à exploiter pour fidéliser. Conseils de Philippe Jourdan, expert en Marketing.

    (...)

    PM : Les officines ont-elles changé assez rapidement ?

    PJ : Nous observons cela à travers la parapharmacie. Menant nos études à l'international, nous ne sommes pas réellement surpris du poids que prend la pharmacie sur les marchés du soin de la peau en France. C'est déjà le signe du rattrapage d'un certain retard. On remarque aussi que le consommateur se tourne de plus en plus vers la pharmacie pour le soin et notamment sur l'hydratation et la prévention des effets de l'âge. Et ce pour trois bonnes raisons : la recherche de produits naturels, le questionnement sur l'efficacité et une certaine méfiance face à des marques qui ne présenteraient pas toutes les garanties à propos des effets secondaires. Enfin, on sent une montée de la réglementation, notamment européenne, sur les composants. On adopte de plus en plus un discours de transparence scientifique et le consommateur semble y être favorable. Cela correspond assez bien au discours blouse blanche de la pharmacie. 

    (...)

    PM : dans ce contexte quelles sont les marques qui sortent du lot ?

    PJ : Pour certaines catégories de produits et certains cas, le consommateur est dérouté par la surabondance de marques et d'offres. Il perd ses repères, il zappe et du coup il est moins consciencieux dans le suivi d'une routine. Or on sait que l'efficacité du soin est lié au produit et à la régularité de son application pendant un temps suffisamment long. Le nombre de marques et le rythme d'innovations sont parfois de nature à perturber le consommateur. De son côté, la pharmacie a le grand avantage d'avoir une offre resserrée autour de marques fortes, souvent clairement identifiées par un bénéfice majeur. Le repérage est plus facile. La Roche-Posay a fait un bel effort pour s'assurer une visibilité en pharmacie autour de bénéfices peu nombreux mais clairement identifiés.

    (...)

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  • #Luxe : Comment attirer les #touristes #chinois grâce au #numérique ?

    Luxe : Comment attirer les touristes chinois grâce au numérique ?

    By Romain, 2016-09-19, Business


    C’est un fait, les chinois voyagent de moins en moins vers l’Europe. Il est donc primordial pour les marques de luxe de les solliciter au maximum lorsqu’ils envisagent de s’aventurer sur le Vieux Continent. Mode d’emploi pour séduire les touristes chinois grâce au numérique.

    Susciter l’intérêt du touriste avant son voyage

    L’emploi du temps des chinois est souvent plus chargé que les français. De ce fait, ils ont tendance à planifier leur voyage à l’avance. Ils identifient précisément les lieux qu’ils visiteront, où ils mangeront et où ils achèteront !

    Il est donc important pour une marque de luxe de se faire connaître en Chine. Pour ce faire, Internet est aujourd’hui la solution la plus efficace.

    Privilégier la publicité sur Baidu

    Si en France, Google est le moteur de recherche par excellence pour se faire connaître, en Chine Baidu est le roi. Le moteur de recherche chinois détient 70% des parts de marché dans son secteur.

    > Baidu détient sa propre encyclopédie sur le web à l’instar de Wikipédia, il se nomme Baidu Baike.
    > Baidu Tieba permet quant à lui de cibler une communauté très spécifique, orientée vers un thème bien défini.
    > Enfin Baidu Shidao détient une communauté très influente sur le web. Une communauté animée par une plateforme de questions-réponses et donc d’avis clients.

    Vous l’aurez compris, la première chose à faire pour se faire connaître en Chine est de se référencer sur Baidu. À la différence de Google, ce moteur de recherche ne limite pas les annonces payantes sur ses pages. Il est donc conseillé de lancer une campagne de référencement payant pour promouvoir vos produits et services. (…)

    Interpeller le touriste chinois pendant son voyage avec WeChat

    Durant leur voyage, les chinois restent connectés. Cela se confirme davantage avec la génération des Millennials.

    L’application WeChat se présente comme l’outil idéal pour vous faire connaître auprès de potentiels prospects chinois. WeChat est le premier service de messagerie en Chine avec 762 millions d’utilisateurs actifs par mois. (…)

    Un service de géolocalisation vous permettra également de signaler votre magasin à proximité. Sur WeChat, l’utilisateur a la possibilité de commander un taxi pour se rendre en magasin ou de prendre rendez-vous avec un vendeur.            

    Faire l’impasse sur la barrière de la langue

    WeChat permet également de pallier tout problème de communication. Dispatcher des QR Code au sein de votre magasin ou sur des catalogues permettra aux touristes chinois de se renseigner sur vos produits via leur smartphone.

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  • Quelles sont les #marques les plus mentionnées sur les réseaux sociaux ? [#réseauxsociaux #socialmedia #digital #études #Amazon #Louis Vuitton #Chanel #Tiffany&Co. #Burberry #Prada]

    Quelles sont les marques les plus mentionnées sur les réseaux sociaux ?

    By Abc-Luxe, 2016-09-19


    Si l’on sait que les réseaux sociaux sont devenus ces dernières années un moyen privilégié pour les marques de faire parler d’elles, de recruter de nouveaux clients et d’interagir avec leurs communautés, Netbase s’intéresse aux enseignes les plus appréciées et les plus mentionnées sur Twitter, Facebook, Instagram et autres consorts.
     
    Pour réaliser son rapport, Netbase a étudié le nombre d’occurrences de 60 marques réparties selon 11 catégories, sur quelque 430 millions de posts sur les réseaux sociaux. Il apparaît ainsi que si tous secteurs confondus c’est Amazon qui occupe la tête du classement des marques les plus mentionnées, c’est Tiffany & Co. (14e place du classement général) qui se distingue comme la griffe ayant engendré le plus d’échanges "positifs et passionnés".
     
    Louis Vuitton se classe 1er de la catégorie Luxe et 4e du classement général, talonné par Chanel et Burberry, qui a multiplié les initiatives et actions digitales ces derniers mois. Prada se place en 5e position des marques Luxe et 16e position du classement général.

    réseaux sociaux, classement, social media 2016, Amazon, Louis Vuitton, Prada, Tiffany, Chanel, Burberry
     
    [LIRE L’ARTICLE EN ENTIER]

  • «Le #luxe subit un profond changement de modèle» via @Lopinion

    Associé fondateur du groupe de conseil et d’études Promise Consulting, Philippe Jourdan décrypte la crise que traverse le secteur
    «Le #luxe subit un profond changement de modèle»

    By Muriel Motte, 19-09-2016+, L’Opinion

    [LIRE L’ARTICLE EN ENTIER DANS L'OPINION.FR]

    La baisse de la livre a fait flamber de 36 % les ventes de produits de luxe au Royaume-Uni le mois dernier. Les variations des taux de change ne sont pas le seul élément perturbateur pour les groupes du secteur : digitalisation, ralentissement de la demande chinoise, attentats, les défis s’enchaînent et provoquent parfois des accidents industriels. Spécialiste des marques, Philippe Jourdan anticipe une croissance annuelle de 2 % du marché des produits de luxe dans les prochaines années.

    Quelle est la nature de la crise que traverse le secteur du luxe ?

    Il s’agit d’un profond changement de modèle dont l’effet est amplifié par une conjoncture économique difficile. Jusqu’à la crise financière, le marché des biens de luxe était tiré par une forte demande à laquelle répondait l’offre des grandes maisons qui se voulaient exclusives, et qui contrôlaient les prix et la distribution via le rachat des licences et la création de boutiques en nom propre. Tout cela évolue très rapidement.

    Les groupes de luxe fonctionnaient principalement sur une logique monocanale : la boutique. Ils ont aujourd’hui encore du mal à se positionner sur le schéma de l’omnicanal qui se développe avec Internet. Le ralentissement de la croissance mondiale, puis les attentats, ajoutent à ces perturbations car le marché du luxe est très fortement « drivé » par l’activité touristique (...)

    Cette crise est donc aussi imputable à la forte dépendance du luxe à la Chine ?

    Les Etats-Unis restent dominants et représentent un tiers du marché mondial du luxe. Mais 70 % de la croissance de ce marché au cours des dix dernières années a été le fait de la Chine. Et ce sont les Chinois qui réalisent hors de chez eux l’essentiel (70 %) des achats de produits de luxe.

    Dès que la demande chinoise ralentit - c’est l’une des conséquences de la politique anticorruption et du ralentissement économique du pays entre autres - ou qu’une menace pèse sur le tourisme mondial, le luxe en ressent les effets. C’est le cas aujourd’hui. Les géants du secteur doivent être vigilants sur un autre point : Pékin aura tôt ou tard le souci de rapatrier en Chine continentale un marché qui lui échappe largement, car les taxes imposées sur les biens de luxe rapportent aux caisses de l’Etat. (...)

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    La croissance du marché ne dépend plus de ceux qui ont énormément d’argent, mais de ceux qui en gagnent de plus en plus. Ce n’est pas du tout la même clientèle.

    Les marques doivent s’adresser à de nouveaux profils, des consommateurs plus jeunes, plus cosmopolites, mieux éduqués en matière de luxe mais plus critiques. Et habitués à comparer les prix et les produits puisqu’ils sont évidemment de plus en plus « digital natives ». Il s’agit d’une mutation très profonde, qui génère beaucoup d’interrogations sur la stratégie à mener.

     

    La stratégie digitale est-elle une source de différenciation entre les grands groupes mondiaux ?

    promise consulting, luxe, changement, mutation, digitalisation, chine, USA, croissance, conjoncture, tourism, omnicanal, France, transformation profil, relation-client, différenciation C’est un secteur parfois conservateur qui a du mal à accepter de perdre le contrôle de la distribution, mais tous sont aujourd’hui très actifs. Un des premiers bouleversements est venu de la comparaison mondiale des prix par des clients connectés et globe-trotteurs.
    Face à cela, Chanel a annoncé l’an dernier sa volonté d’établir progressivement un meilleur équilibre des prix de ses produits dans les grandes zones géographiques, Chine, Europe, Etats-Unis. Tous y viendront sans doute mais c’est très complexe en raison des coûts d’approche et des taxes différents, sans oublier les variations de taux de change ! (...)

    [SE RENSEIGNER SUR LE DEUXIÈME BOULEVERSEMENT]

    Google ou Apple débauchent des talents dans les groupes de luxe et veulent investir ce secteur. Menacent-ils les acteurs traditionnels ?

    La dernière génération des acheteurs de luxe, notamment Chinois, est particulièrement adeptes d’objets high tech au détriment des produits plus classiques. Dans ce sens, ces géants peuvent être une menace. (…)

    Le marché mondial du luxe croissait à deux chiffres au début du siècle, un taux tombé autour de 2 % aujourd’hui. Quelle est la « nouvelle normalité » pour les années à venir ?

    La projection moyenne pour les prochaines années est de l’ordre de 2 % à taux de change constants, ce n’est pas si mal pour un marché qui pèse déjà 240 milliards d’euros.

    Nous sommes face à des consommateurs plus exigeants, des marchés plus mûrs, peut-être allons-nous commencer à faire du marketing et à revenir à des fondamentaux de la relation-client, de la qualité de l’offre et du service. (…)