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4.e- Distribution - Page 12

  • La marque de montres de luxe Tag Heuer va se lancer dans le commerce en ligne [#tagheuer #luxury #watch]

    (AFP) - Tag Heuer, la marque phare du groupe de luxe français LVMH sur le segment de l'horlogerie, veut se lancer dans le commerce en ligne, a indiqué jeudi son patron, Jean-Claude Biver, lors d'un entretien avec l'AFP.


    "Les ventes en ligne sont en train d'entrer dans les habitudes de consommation et si le consommateur change, il faut le suivre et aller là où il va", a-t-il expliqué.

    En prenant ce tournant, la marque, dont les montres se vendent généralement entre 1.000 et 7.000 francs suisses (922 à 6.470 euros), entend notamment séduire la prochaine génération d'acheteurs.

    "Si les gens qui ont actuellement 15 à 20 ans achètent aujourd'hui leurs livres, leurs vêtements, leurs baskets en ligne, ils trouveront normal d'acheter une montre de luxe sur internet quand ils auront 25 ou 30 ans", a-t-il ajouté.

    Il entend également répondre aux attentes des consommateurs dans des grands pays où les achats de produits de luxe par internet sont désormais considérés comme naturels.

    "Je reçois régulièrement des courriels de clients aux États-Unis qui me disent que leur magasin le plus proche se trouve à 400 kilomètres et qui ne comprennent pas pourquoi ils ne peuvent pas l'acheter en ligne", a-t-il poursuivi.

    "A Monaco ou au Luxembourg, on peut toujours trouver un magasin à proximité, mais dans un grand pays comme les États-Unis ou le Canada, cela a beaucoup plus de sens", a-t-il argumenté.

    Aux États-Unis, Tag Heuer a déjà fait un premier pas sur internet où il distribue sa nouvelle montre connectée conçue avec Google et Intel.

    "La montre connectée est le produit idéal à vendre sur internet", a-t-il fait valoir.

    Si les sites de ventes en ligne  se sont multipliés pour la mode haut de gamme ou la maroquinerie, les horlogers suisses se sont jusqu'à présent montrés très réservés sur la distribution par internet, les clients aimant généralement voir le produit en boutique avant d'acheter un produit onéreux.

    De plus, la distribution s'appuie sur des contrats sélectifs ou d'exclusivité avec les magasins qui devront arriver à échéance avant de pouvoir envisager de basculer pleinement dans la distribution en ligne, a nuancé Jean-Claude Biver.

    Il faudra aussi trouver un modus operandi avec les conseillers en boutique "afin que chacun y trouve son compte", a précisé ce vétéran de l'industrie horlogère.

    Dans l'immédiat, il n'envisage pas encore de mettre en ligne toute la gamme, mais de commencer progressivement, "plutôt aux alentours de 2018-2019".

    [READ THE AFP PRESS RELEASE]

  • Hard luxury dominates duty-free retail with revenue shares exceeding 32pc [#retail #dutyfree #luxury]

    A combination of increased demand for high-end brands and low-cost tourism is expected to drive the global duty-free retail market until 2019, according to a new report by Technavio.

    Due to high consumer demand and affordable travel rates, the duty-free retail sector is expected to reach approximately $98 billion in revenue by 2019. As such, Technavio’s “Global Duty-Free Retailing Market 2015-2019” examines market growth by revenue and tracks emerging trends for the sector to illustrate why having a duty-free strategy can be profitable for global luxury brands.

    “The global duty-free retailing market has been growing significantly because of rising consumption by the growing middle class who are traveling abroad,” said Arushi Thakur, analyst at Technavio. “The fast growth in adoption of luxury goods among developing countries such as China and Brazil increased the global duty-free retailing market to $64.83 billion in 2014 from $60 billion in the previous year.

    “Among all the countries, South Korea’s Incheon Airport reported a record sales of $2 billion in 2014,” she said. “The global duty-free retailing market is expected to grow at a CAGR of 8.57 percent for the period 2015-2019.”

    (...)

    The duty-free market has five distinctive retailers accounting for 49.7 percent of the total revenue. LVMH-owned DFS is the largest duty-free retailer, offering more than 700 of the world’s leading brands, and had a 13.1 percent revenue share of the industry in 2014.

    Categories available at duty-free shops such as DFS include fashion accessories and hard luxury, fragrance and cosmetics, wine and spirits, tobacco and confectionery and fine foods. The fashion accessories and hard luxury category offers the most products, at 32.10 percent of total offerings, while perfume and cosmetics accounts for 29.21 percent of duty-free retail items.

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  • Peut-on lancer de nouvelles marques "pépites" en France ? [#cosmetique #distribution #indies]

    Paru dans Cosmetiquemag, Mars 2016, Angélique Vallez d'Erceville

    Alors que des pépites américaines ou britanniques font le buzz et s'invitent dans les rayons, les petites nouvelles sont rarement françaises. Avec ses marques patrimoniales et la maturité de son marché, l'Hexagone s'apparente à une montagne difficile à franchir.

    «En France, l'espace est encombré avec une très forte concentration de la distribution . Le ticket d'entrée est très élevé.La percée de nouvelles marques est sans doute plus facile au Royaume-Uni ou aux États-Unis.» [Philippe Jourdan]

    «Trois conditions sont nécessaires pour réussir : avoir une histoire , un actif qui fait la différence et être appuyé par un groupe avec des moyens ,car il faut injecter des millions d'euro dans la machine.» [Laurent Pelletier, directeur général d'IXI]

    «Quand un marché est mature, les routines se figent. Les détourner devient plus compliqué et plus coûteux. les Françaises attendent certes de nouvelles franchises, mais plutôt de la part des marques existantes" [Philippe Jourdan]

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  • Catch me if you can: Marketing to the new Chinese luxury shopper from @slierre [#china #luxury #shopper]

    With Chinese consumers massively shopping for luxury abroad and online, traditional marketing formulas have limited impact. It is time for luxury brands to rethink their go-to-market approach, putting digital at the core.

    Wei proudly shows her latest catch: a colorful textured leather mini handbag she bought during her last business trip to Paris. Wei epitomizes the shopper the whole luxury industry seems to be after at the moment: a start up entrepreneur from Hangzhou and representative of China’s ‘Cultured Youth’, she is both very success driven and hungry for culture.

    In fact, she is part of the upcoming generation of Chinese shoppers who are redefining luxury marketing through a triple change: structural change in the market dynamic, change in consumers attitude towards luxury and change in how they navigate the world through digital.

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  • Next wave of store closings may hit luxury [NYC] [#CNBC #NYC #fifthavenue]

    CNBC, 17/02/2016.

    It isn't every day you see a sign boasting 40 percent off in the window of a luxury shop. But as real estate executive Andy Graiser walked past one of Prada's New York City boutiques a week before Christmas, that's exactly what he encountered.

    Though the design house is working through some internal issues (namely, products that have fallen flat with their target demographic), Graiser, founder of A&G Realty, said such deep discounting at a luxury shop is indicative of broader woes across the luxury space — troubles that could result in the segment being next in line to trim its store fleet.

    The problems that luxury firms are battling are twofold. For one, they're facing macroeconomic pressures including a sinking stock market, stalled global growth and a stronger dollar, all of which discourage the high-end consumer from spending. For another, they're trying to sell their wares to a group of shoppers who have become less focused on material goods, and are instead more interested in dining out or travel — a trend that could have long-term implications for the industry.

    Due to these factors and an overall glut of retail space in the U.S., Graiser predicts luxury retailers will be next in line to close some stores, as they try to compete in a country that has more than two times the retail space per capita than the United Kingdom, France, Brazil and Germany combined.

    "There are real issues with some of these luxury players," Graiser said. "There's going to be a lot more closures that are going to be occurring."

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  • Le prêt-à-porter de luxe de retour à Téhéran [#iran #luxury #asia-pacific]

    Mariam PIRZADEH , correspondante en Iran France 24

    Roberto Cavalli est parmi les premières enseignes de luxe occidentales à ouvrir une boutique à Téhéran depuis 1979. L’enseigne italienne a pris ses quartiers dans le nord très huppé de la capitale iranienne. France 24 était à l’inauguration.

    Vers 19 heures, ce mercredi 17 février, la foule arrive d’un coup, par petits groupes. Presque dans le silence tant leur surprise est palpable. Il y a d’abord eu les premières interrogations : est ce la vraie marque ? Difficile encore pour certains de croire que ce magasin Cavalli qui ouvre ce soir est le même qu’à Milan ou Paris tant depuis 37 ans, les fausses enseignes sont légion à Téhéran. À tel point, que les grands groupes internationaux de luxe qui affluent depuis un an pour prospecter  en République islamique en sont presque amusés.

    "Je vais pouvoir désormais acheter dans mon pays"
    Les serveurs distribuent petits fours et jus de fruits. Ils cherchent à se frayer un chemin dans cette foule triée sur le volet. Un petit groupe d’amies, très concentrées, s’attardent sur la collection de robes. "Cela montre que l’Iran s’ouvre. Avant, je ne faisais jamais de shopping ici. Maintenant, je vais pouvoir acheter dans mon pays" s’enthousiasme Nazanin, 34 ans. La jeune femme fait partie de cette nouvelle génération d’iraniens favorisés qui a l’habitude de voyager et apprécie de voir son pays s’ouvrir sur le monde.

    L’inauguration de la boutique Cavalli marque le retour du luxe à l’occidentale en Iran, après des années d’une campagne officielle de boycott visant à préserver "l’identité iranienne". Un filon que la marque italienne a voulu exploiter avec ces 360 mètres carrés, une des surfaces de vente les plus importantes du groupe. La marque a pourtant mis du temps à s’installer. Un long processus commencé un an avant l’accord sur le nucléaire iranien. Il aura fallu près de deux ans de pourparlers et de travaux pour permettre à cette tête de pont du luxe italien de s’installer ici.

    (...)

    Juste à côté de Cavalli, une autre boutique est encore en travaux. Versace, autre grand nom du prêt à porter italien, devrait ouvrir d’ici un mois, assure, confiant, l’un des partenaires italiens de cette aventure. L’arrivée d’autres grands groupes est annoncée pour les prochains mois. Le français LVMH, notamment, est encore en prospection. "Une boutique Dior en plein Téhéran, ce sera une réalité dans les cinq ans à venir", nous confiait il y a quelques mois le président de la chambre de commerce franco-iranienne.

    [LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]