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4.c- Beauté - Page 20

  • [#LUXURYLAB] [INNOVATION] | #Philippe #Thuvien, L’#Oréal : « L’#année de l’#innovation #packaging ! » | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE JEAN-YVES BOUGEOIS | PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2DRD6aR

    #Philippe #Thuvien, L’#Oréal : « L’#année de l’#innovation #packaging ! »

    À nouveau une année 2017 très riche pour le métier du Packaging chez L’Oréal avec plus de 600 moules développés et 90 brevets déposés. C’est l’année de l’Innovation avec de nombreuses innovations qui sont éco-conçues car l’environnement est un enjeu majeur dans la stratégie du Groupe L’Oréal. Et toujours, bien sûr, un packaging qui garantit les fondamentaux, à savoir la qualité et la sécurité pour les consommateurs. Le point avec Philippe Thuvien, Directeur Packaging & Développement du Groupe L’Oréal.

    Premium Beauty News - Merci de donner quelques exemples d’Innovation Packaging marquantes ? 

    Philippe Thuvien - Il est clair que l’innovation Packaging est stratégique pour booster la performance produit et protéger la formule. Et le packaging a un rôle clé pour augmenter la valeur perçue du produit et aussi, pour apporter un service supplémentaire au consommateur.

    Citons parmi les grandes innovations 2017 :

    • Les Mascaras Lash Paradisede L’Oréal Paris et Mister Bigde Lancôme avec des brosses fibres offrant à la fois volume et séparation.
    • L’Armani to Go avec un boitier qui permet une étanchéité extrême pour protéger les formules les plus sensibles.
    • Tatouage couture d’YSL, un nouveau Rouge à lèvres liquide avec un applicateur haute précision laissant apparaitre le logo YSL lors de l’utilisation.
    • Pour le soin, le Généfique Sensitive qui permet à la première utilisation, en une pression, de libérer un booster ; les deux formules offrant ainsi un double concentré alliant activateur de jeunesse et propriétés apaisantes.
    • Également le premier pot rechargeable L’Oréal Paris avec une recharge dont l’extérieure a un aspect texturisé « billes » en cohérence avec la formule pour augmenter la valeur perçue.
    • Enfin pour le Capillaire, le Power Mix dans la franchise Serie Expert de L’Oréal Professionnel qui permet au coiffeur d’offrir à sa cliente un soin personnalisé mélangé sous ses yeux ; le coiffeur utilise ainsi la juste dose avec les 2 liquides qui se transforment en crème avec un impact environnemental très positif comparé à un kit de monodoses.

    Philippe Thuvien, L'Oréal, l'année, innovation, packaging

    Premium Beauty News - Justement ou en êtes-vous dans l’innovation durable ?

    Philippe Thuvien - Chez L’Oréal le Développement durable est une réalité depuis plus de 10 ans. En matière d’emballage, c’est une vision et un engagement clair qui s’appuie sur 3 principes : Respecter, Réduire, Remplacer.

    Respecter nos consommateurs, l’environnement et la biodiversité avec par exemple des matériaux en contact avec le contenu de qualité alimentaire, des cartons issus à 100% de forêts gérées durablement et certifiés ou l’éradication totale du PVC. 

    Réduire le poids et le volume de nos emballages, partie intégrante de la conception ; c’est un levier majeur de l’amélioration du profil environnemental des produits

    Remplacer les matériaux issus de ressources non renouvelables par des matériaux issus du recyclage ou de la biomasse ; en 2017, 7294 tonnes de matériaux recyclés (soit +33% pour le Plastique) ont permis d’économiser la quantité équivalente de matériaux vierges.

    Premium Beauty News - Et votre programme Sharing Beauty With All ?

    Philippe Thuvien - Pour l’innovation responsable, notre engagement pour 2020 est très clair : 100% de nos nouveaux produits doivent avoir un impact environnemental ou social amélioré par rapport aux produits qu’ils remplacent. C’est pourquoi le Groupe a développé un outil d’évaluation SPOT (Sustainable Product Optimization Tool) pour permettre de mesurer la performance de ces nouveaux produits en les comparant à ceux qu’ils remplacent. En 2017, cet outil a été déployé sur l’ensemble des marques du Groupe.

    Premium Beauty News - Le digital est-il un enjeu pour le Packaging ?

    Philippe Thuvien - Le Packaging a accéléré en 2017 sa transformation digitale en déployant dans ses processus de développement toutes les technologies 4.0 dont notamment la généralisation et l’internalisation de l’impression 3D (un laboratoire 3D à New York, l’autre à Paris) pour plus de 8000 prototypes réalisés et la mise en place d’outils de simulation pour prédire le comportement mécanique de nos nouveaux emballages. Ces outils ont déjà permis de générer des gains conséquents sur nos délais de développement.

    Mais la révolution digitale ne s’arrête pas là pour le Packaging ; les capteurs dans les moules, le digital printing, la réalité augmentée et les big data vont transformer notre Métier !

    Premium Beauty News - Quelles perspectives pour l’année 2018 ?

    Philippe Thuvien - L’année 2018 s’annonce encore passionnante pour notre métier dans un monde qui change très vite. Nous venons de regrouper les équipes Design au sein des équipes Packagings permettant ainsi d’illustrer et de traduire en volume notre démarche « consumer centric », au service de la valeur perçue, de l’ergonomie d’usage et de la cohérence avec les codes de Marques ; ce sont ainsi plus de 700 projets qui pourront être traités en design de produit en 2018. L’innovation au service des consommateurs, la diminution des impacts environnementaux de nos packagings sans diminuer la valeur perçue de nos produits et en répondant aux exigences du e-commerce seront des challenges très excitants pour nos équipes ; avec toujours les fondamentaux du métier : un packaging responsable avec une parfaite qualité d’exécution et garantissant la sécurité de nos consommateurs !

  • [#LUXURYLAB] [BEAUTE] | On n'est jamais assez #narcissique | @ELLE

    DE DOROTHEE WERNER | ELLE N°3760 | 12 JANVIER 

    On est jamais assez #narcissique

    Vous ne pensez qu'à vous, vous vous regardez trop ? Tant mieux ! Répond Fabrice Midal. Explications d'un philosophe iconoclaste.

    C'est l'insulte suprême. Etre narcissique, s'aimer, se trouver canon, passer du temps à prendre soin de soi, se chérir et se chouchouter, c'est mal. L'attitude noble, valorisée entre toutes, l'altruisme, c'est bien. Surtout pour les filles nées, c'est bien connu, pour s'occuper des autres, se dévouer, se sacrifier, s'excuser de mal faire et baisser les yeux. On exagère ? A peine ! Et voilà qu'un psychologue met le doigt pile sur cette question loin d'être anecdotique. Déjà auteur de "Foutez-vous la paix ! et commencez à vivre" (best seller 2017 vendu à plus de 100 000 exemplaires), ce fin connaisseur de la philosophie antique, fou d'art et de poésie, lance un pavé dans la marre, un plaidoyer vibrant, iconoclaste et presque punk pour réhabiliter d'urgence l'amour de soi-même, "Sauvez votre peau ! devenez narcissique" (éd. Flammarion). Conférencier brillant, jamais avare en anecdotes personnelles, il explique comment, à force de nous dévouer aux autres, de nous suradapter aux sollicitations extérieurs toujours plus grandes et de répondre "présent" sur tous les fronts, nous nous sommes perdus de vue. Une errance, un genre d'exil de nous-même qui nous mène sur les rives de l'épuisement et du burn-out. Sauve qui peut ! Il y a urgence à devenir narcissique, voici pourquoi et comment.

    Narcissique

    Elle : On se trompe sur le narcissisme ?

    Fabrice Midal : Oui, puisqu'on le considère comme une faute morale. Pourtant, de nos jours, nous souffrons d'un défaut de narcissisme majeur : on ne s'autorise plus à ressentir ce que l'on ressent, à penser ce que l'on pense, à être ce que l'on est. Partout je rencontre des gens qui acceptent d'être maltraités, et qui se maltraitent eux-mêmes, parfois jusqu'au burn-out. Combien aujourd'hui acceptent d'être pris pour des serpillières, de se laisser marcher sur les pieds en silence ? Au travail, c'est manifeste. Et du côté de la vie intime ou familiale, où règne le dogme du sacrifice, c'est la même chose. Cette pression pèse notamment sur les femmes, sommées d'être en permanence de bons petits soldats dans tous les domaines, tout le temps, et avec tout le monde.

    Elle : Pourtant on entend partout que le lien social se défait sous le poids de l'hyper-individualisme ...

    FM : Les analystes qui font ce constat doivent sortir de leur bureau et observer la réalité en face. Ils verront que les gens ne se regardent pas le nombril toute la journée. Au contraire, il se sacrifient pour leur travail, leu entreprise, leur famille, leur entourage. Et ils ne savent plus s'écouter. La mode des selfies en est la preuve : c'est une manière d'avoir besoin de la validation permanente des autres dans une image idéalisée de soi.

    Elle : Le bon narcissisme c'est quoi ? 

    FM : Oser faire confiance à ce qui nous habite. Se rencontrer. Sentir ce que l'on sent. Etre en paix avec soi, en acceptant ses émotions sans les juger et ses limites sans se sentir disqualifié. Arrêter de s'excuser toutes les cinq minutes. 

    ELLE: Votre réflexion part de votre enfance vécue tel "un vilain petit canard" ?

    FM : Je souffrais beaucoup car j'étais très maladroit, mal latéralisé et hypersensible. C'était extrêmement dur, je me sentais comme un martien. Pendant longtemps j'ai espéré trouver des parades pour devenir plus adapté. Plus je me martyrisais, moins j'arrivais à changer, et plus je me trouvais nul. Aujourd'hui j'accepte ce que je suis. J'essaie de travailler avec la situation, et c'est un soulagement de ne plus me mettre la pression en permanence avec l'idée qu'il faut être différent, devenir ceci ou cela ... Je suis hypersensible, j'ai 50 ans, c'est comme ça.

    ELLE : En quoi est-ce narcissique ?

    FM : Parce que je commence par écouter mes besoins et mes limites, au lieu de partir d'emblée avec l'idée que ce que je suis ne va pas. Cela change complètement la perspective. On peut ainsi tout faire une force de ses propres limites, au lieu de vouloir correspondre à) un idéal publicitaire inhumain, fabriqué et écrasant.

    ELLE : C'est l'idée de renforcer l'estime de soi ?

    FM : Non, cette mode de l'estime de soi me fait sortir de mes gonds. Je ne vais pas me sentir mieux en me répétant toute la journée "je suis génial" devant le miroir ! C'est absurde et cela ne marche pas. Le nombrilisme ne mène nulle part. La confiance, je vais la retrouver en me confrontant au réel, pour rencontrer ce qui m'habite, prendre conscience de ce que je sais faire ... Pas en m'identifiant à une espèce d'identité méta je-ne-sais-quoi soi-disant géniale et qu'il faudrait que j'aime !

    [...]

     

  • [#LUXURYLAB] [SALES] | #Sales of #prestige #beauty #products up #4% in the #UK | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | http://bit.ly/2DK0KpU

    #Sales of #prestige #beauty #products up #4% in the #UK 

    Despite economic and political uncertainties, the UK prestige beauty market has grown by a steady 4% in 2017, according to The NPD Group. Makeup was the most dynamic category, followed by skincare and fragrance. Purchases from overseas visitors might explain a large part of the growth.

    Sales of luxury beauty products in the UK reported an increase of 4% in 2017, hitting the £3 billion mark (EUR 3.4 billion), unveiled The NPD Group. According to the market research firm, the growth was largely driven by strong performance in fragrance, make-up and skincare and by the interest from overseas shoppers.

    “The growth we have seen in the UK prestige beauty market is impressive, given the uncertainty with Brexit and the weak pound. British customers continue to purchase prestige beauty with great passion, and we also believe that an increase in global shoppers is a contributing factor to this growth, especially in super premium skincare and fragrance,” commented Helen Duxbury, Senior Account Manager, NPD UK Beauty.

    Healthy fragrance sales

    The prestige fragrance market was valued at £1 billion in 2017. Fragrance ended the year with a solid performance, increasing 3%, with both classic and new launches contributing to this growth. Consumers continue to choose juices over gift sets with the sale of gift sets remaining flat in 2017, with juices growing 4%.

    Skincare and makeup

    Skincare grew 6% in 2017 and this growth has been driven by classic and super premium brands. Although small at present, natural and vegan brands are demonstrating their importance to the skincare market’s growth.

    As far as make-up are concerned, sales increased by 6% compared to last year, but this slowed from the double-digit growth of 10% reported in 2016. Within the make-up sector, foundation and lip colour remain the star performing categories reporting healthy growth throughout 2017.

    “From the figures we have seen in 2017 there is a definite boom in the prestige beauty market. Make-up and super premium skincare are a real attraction for overseas visitors as they include many designer brands. Retailers confirm they have seen an increase in global shoppers in store. Whilst the weak pound confirms our thoughts that the global shopper is boosting the prestige beauty market, UK shoppers continue their love affair with prestige beauty in all categories,” concluded Helen Duxbury.


     

  • [#LUXURYLAB] [TENDANCE] | Les #selfies, un « #game #changer » pour le #marché de la #beauté | @LESECHOS

    DE EMMANUEL GRASLAND | LES ECHOS | http://bit.ly/2CFt5gn

    Les #selfies, un « #game #changer » pour le #marché de la #beauté

    Le phénomène a favorisé l'apparition de nouveaux produits de maquillage et de soin. Mais les parfums n'ont plus autant la cote auprès des Millennials.

    Des musées à selfies qui font un malheur aux Etats-Unis. Un spécialiste de l'orthodontie qui s'envole en Bourse parce qu'il est capable de redonner le plus beau des sourires. Et l'apparition de produits de maquillage dédiés aux selfies. Depuis le premier #selfie apparu le 26 janvier 2011 sur Instagram, puis popularisé par Justin Bieber et surtout Kim Kardashian, le phénomène a pris une ampleur mondiale avec de l'ordre de 1 millions de selfies pris chaque jour. 

    Semblable à l'arrivée de la photographie ou du miroir moderne à Venise au 15e siècle, cette révolution sociologique a eu un impact conséquent sur le marché de la beauté. « Le smartphone est devenu un nouveau miroir avec une certaine théâtralité », explique Leila Rochet, fondatrice du cabinet Cosmetics Inspiration & Création.

    Il a renforcé l'intérêt des Millenials pour les produits de maquillage et forcé les groupes du secteur à adopter une sémantique « Selfie ».  Des marques américaines comme JayManuel Beauty, CoverGirl ou NYX ont lancé des produits estampillés #Nofilter. En 2015, Too Faced a par exemple créé trois fonds de teint sous le label «Selfie powders ». 

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    Les produits de « contouring », corrigeant les imperfections de volume du visage, ont aussi connu un bel essor. Selon le cabinet IRI, ces produits ont enregistré en Grande-Bretagne la plus forte croissance du secteur entre mars 2016 et mars 2017. Même tendance pour les bronzers dont les ventes ont doublé sur la période.

    Dans l'ensemble, les produits de maquillage de coloration pour les cheveux sont aussi devenus plus audacieux. Une façon d'essayer de se distinguer dans la masse énorme des selfies déversés sur Instagram, Snapchat ou WhatsApp... D'autres secteurs comme les parfums ont moins de chance. Le segment n'a plus la cote auprès des Millennials, qui misent plutôt sur les codes visuels. Sur Instagram, un jus n'a pas d'impact.

    Le marché du soin a aussi cherché à prendre la vague du selfie. « Les masques sont devenus colorés et ont intégré des imprimés », explique Leila Rochet. Une tendance initiée par les grandes marques coréennes et soutenue par la diffusion de selfies de stars. On est passé d'une culture du soin un peu culpabisante, à une valorisation de la pratique devenue publique via les réseaux sociaux.

    Les dents et le sourire ont aussi encore gagné en importance aux Etats-Unis.  En témoigne la hausse de 136 % du cours d'Align, un fabricant californien de goutières transparentes permettant aux adolescents de redresser leurs dents, sans d'inconfortables bagues métalliques. Ou le succès à San Francisco, du « Museum of Ice Cream » et de la « Color Factory », des espaces d'exposition conçus pour réussir son selfie. Les visiteurs sont prêts à payer 38 dollars pour tenter l'expérience.

    L'impact des selfies est-il le même dans tous les pays ? Pas de différence entre la France, l'Allemagne ou les Etats-Unis. En Occident, la beauté est un moyen d'augmenter sa confiance en soi, de se sentir bien et de réussir sa vie amoureuse, indiquent 80% des personnes interrogées par Ipsos. Mais en Chine, le poids de la beauté est encore plus fort. L'apparence physique y est même perçue comme un levier absolument essentiel pour se faire des amis. D'où elur attention à la gestion de leur image. « Les jeunes se comportent désormais comme une marque. Ils font sur les réseaux sociaux le marketing d'eux-mêmes », explique Leila Rochet.

  • [#LUXURYLAB] [COSMETIQUES] | Les #marques de #cosmétiques qui ont bousculé le #marché en #2017 | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2CaQEwq

    Les #marques de #cosmétiques qui ont bousculé le #marché en #2017

    L’année 2017 a confirmé le dynamisme de la catégorie make-up. Si le succès de nombreux lancements en a fait une année florissante pour l’industrie des cosmétiques, l’arrivée de nouvelles marques continue de changer la donne dans un marché où tout va de plus en plus vite. Rapide sélection des marques et des lancements les plus significatifs.

    FENTY BEAUTY 

    Alors même que Fenty Beauty n’a été commercialisé qu’en septembre, la marque de cosmétiques pensée par Rihanna est sans conteste la marque de make-up de l’année. Les 91 premiers produits dévoilés à la rentrée des classes ont rapidement ravi l’industrie et les utilisatrices grâce à leur approche inclusive, notamment grâce à la gamme de fond de teint comprenant 40 teintes pour répondre à toutes les carnations. La chanteuse n’a pas tardé à ajouter une gamme colorée « Galaxy Collection » pour les fêtes, un rouge à lèvres liquide « Stunna » et une nouvelle collection pour les lèvres commercialisée le 26 décembre. Rihanna a vu tellement juste avec Fenty Beauty que sa marque figure dans la liste des « 25 Inventions de l’année » de Time Magazine.

    marques, cosmétiques, marché 2017

    ASOS

    L’enseigne de mode britannique a aussi choisi le mois de septembre pour dévoiler sa toute première ligne de make-up estampillée « Asos ». Sa gamme comprenant 46 références vise clairement un public entre 20 et 30 ans, pour que ces dernières puissent s’amuser avec les textures et les couleurs à un prix très abordable.

    KKW BEAUTY

    L’autre star à avoir réussi son entrée dans le monde des cosmétiques cette année est Kim Kardashian, dont la marque KKW Beauty a immédiatement bénéficié de la renommée de la star de télé-réalité. Au mois de juin, ses kits de contouring « Contour and Highlight » ont été épuisés en à peine quelques heures. La collection a ensuite connu plusieurs ajouts, avec des rouges à lèvres liquides et une gamme d’highlighters « Ultralight Beam ». La star a aussi fait une entrée remarquée dans l’univers de la parfumerie avec le lancement de sa marque KKW Fragrance et trois parfums rapidement écoulés courant novembre.

    PAT MCGRATH

    L’emblématique maquilleuse Pat McGrath a commencé à construire son empire de la beauté avec sa marquePat McGrath Labs dès 2015, mais cette année l’entrepreneure star a ajouté des produits plus abordables distribués par Sephora et sur son site internet. La star a aussi fait parler d’elle en novembre lorsqu’elle s’est associée à la chanteuse Maggie Lindemann pour devenir la première entrepreneure à vendre des produits sur Spotify, le service de streaming musical.

    7-ELEVEN

    C’est l’une des marques de beauté les plus inattendues de l’année, celle lancée par la marque de supérettes américaines 7-Eleven cet automne. Sa collection comprend 40 produits estampillés « Simply Me Beauty » et vise un public jeune et actif en mettant l’accent sur des prix limités et une vision très mode.

  • [#LUXURYLAB] [TENDANCE] | Le #sur-mesure #gagne le #secteur de la #beauté | @FASHIONNETWORK

    DE SARAH AHSSEN | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2BHySgp

    Le #sur-mesure #gagne le #secteur de la #beauté

    Arrêter de catégoriser les consommateurs en fonction de leur âge, leur genre ou leur type de peau, c’est ce que préconise Mintel dans son étude prospective sur les tendances mondiales de la beauté en 2018. Le cabinet d’études de marché argue qu’en matière de cosmétiques les consommateurs imposent désormais leurs règles et sont à la recherche d’une offre personnalisée.

    Une montée en puissance de l’expression de l’individualité largement portée par les réseaux sociaux que le cabinet NellyRodi souligne également dans son étude "The new faces of beauty", révélant l'intérêt grandissant des consommateurs pour des marques plus alternatives, exprimant ainsi leur singularité.

    A l’avenir donc, en matière de beauté, les marques devront répondre aux préoccupations individuelles des consommateurs, indique Mintel. Une problématique que certaines ont d’ores et déjà embrassée. Fenty Beauty, la marque de maquillage lancée en septembre dernier par Rihanna et conçue avec Kendo, la filiale de LVMH, propose par exemple 40 nuances de fonds de teint. Lancôme a de son côté créé Le Teint Particulier Custom Made Foundation, une technologie qui détecte la carnation de la peau pour créer un fond de teint sur-mesure.

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    Côté maquillage toujours, Eyeko, spécialiste du maquillage des yeux, a lancé Bespoke Mascara Service qui permet de choisir, entre treize brosses et cinq formules, le mascara le plus adapté à ses cils. Un service disponible en France dans le magasin Sephora des Champs-Elysées. Tout juste lancée sur le segment des lèvres, la griffe française La Bouche Rouge proposera pour sa part dès janvier 2018 une application permettant de créer un rouge à lèvres sur-mesure à partir de la photographie d'une couleur.

    Les spécialistes du soin ne sont pas en reste, à l’image de Romy qui a mis au point une application ciblant les besoins de la peau et conseillant une "recette" sur-mesure, ou encore de Laboté qui propose de réaliser un bilan clinique à partir d’un questionnaire élaboré par des dermatologues, et de composer un soin en fonction des résultats.