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4.g- Joaillerie / Horlogerie - Page 12

  • Quelles sont les #marques les plus mentionnées sur les réseaux sociaux ? [#réseauxsociaux #socialmedia #digital #études #Amazon #Louis Vuitton #Chanel #Tiffany&Co. #Burberry #Prada]

    Quelles sont les marques les plus mentionnées sur les réseaux sociaux ?

    By Abc-Luxe, 2016-09-19


    Si l’on sait que les réseaux sociaux sont devenus ces dernières années un moyen privilégié pour les marques de faire parler d’elles, de recruter de nouveaux clients et d’interagir avec leurs communautés, Netbase s’intéresse aux enseignes les plus appréciées et les plus mentionnées sur Twitter, Facebook, Instagram et autres consorts.
     
    Pour réaliser son rapport, Netbase a étudié le nombre d’occurrences de 60 marques réparties selon 11 catégories, sur quelque 430 millions de posts sur les réseaux sociaux. Il apparaît ainsi que si tous secteurs confondus c’est Amazon qui occupe la tête du classement des marques les plus mentionnées, c’est Tiffany & Co. (14e place du classement général) qui se distingue comme la griffe ayant engendré le plus d’échanges "positifs et passionnés".
     
    Louis Vuitton se classe 1er de la catégorie Luxe et 4e du classement général, talonné par Chanel et Burberry, qui a multiplié les initiatives et actions digitales ces derniers mois. Prada se place en 5e position des marques Luxe et 16e position du classement général.

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    [LIRE L’ARTICLE EN ENTIER]

  • «Le #luxe subit un profond changement de modèle» via @Lopinion

    Associé fondateur du groupe de conseil et d’études Promise Consulting, Philippe Jourdan décrypte la crise que traverse le secteur
    «Le #luxe subit un profond changement de modèle»

    By Muriel Motte, 19-09-2016+, L’Opinion

    [LIRE L’ARTICLE EN ENTIER DANS L'OPINION.FR]

    La baisse de la livre a fait flamber de 36 % les ventes de produits de luxe au Royaume-Uni le mois dernier. Les variations des taux de change ne sont pas le seul élément perturbateur pour les groupes du secteur : digitalisation, ralentissement de la demande chinoise, attentats, les défis s’enchaînent et provoquent parfois des accidents industriels. Spécialiste des marques, Philippe Jourdan anticipe une croissance annuelle de 2 % du marché des produits de luxe dans les prochaines années.

    Quelle est la nature de la crise que traverse le secteur du luxe ?

    Il s’agit d’un profond changement de modèle dont l’effet est amplifié par une conjoncture économique difficile. Jusqu’à la crise financière, le marché des biens de luxe était tiré par une forte demande à laquelle répondait l’offre des grandes maisons qui se voulaient exclusives, et qui contrôlaient les prix et la distribution via le rachat des licences et la création de boutiques en nom propre. Tout cela évolue très rapidement.

    Les groupes de luxe fonctionnaient principalement sur une logique monocanale : la boutique. Ils ont aujourd’hui encore du mal à se positionner sur le schéma de l’omnicanal qui se développe avec Internet. Le ralentissement de la croissance mondiale, puis les attentats, ajoutent à ces perturbations car le marché du luxe est très fortement « drivé » par l’activité touristique (...)

    Cette crise est donc aussi imputable à la forte dépendance du luxe à la Chine ?

    Les Etats-Unis restent dominants et représentent un tiers du marché mondial du luxe. Mais 70 % de la croissance de ce marché au cours des dix dernières années a été le fait de la Chine. Et ce sont les Chinois qui réalisent hors de chez eux l’essentiel (70 %) des achats de produits de luxe.

    Dès que la demande chinoise ralentit - c’est l’une des conséquences de la politique anticorruption et du ralentissement économique du pays entre autres - ou qu’une menace pèse sur le tourisme mondial, le luxe en ressent les effets. C’est le cas aujourd’hui. Les géants du secteur doivent être vigilants sur un autre point : Pékin aura tôt ou tard le souci de rapatrier en Chine continentale un marché qui lui échappe largement, car les taxes imposées sur les biens de luxe rapportent aux caisses de l’Etat. (...)

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    La croissance du marché ne dépend plus de ceux qui ont énormément d’argent, mais de ceux qui en gagnent de plus en plus. Ce n’est pas du tout la même clientèle.

    Les marques doivent s’adresser à de nouveaux profils, des consommateurs plus jeunes, plus cosmopolites, mieux éduqués en matière de luxe mais plus critiques. Et habitués à comparer les prix et les produits puisqu’ils sont évidemment de plus en plus « digital natives ». Il s’agit d’une mutation très profonde, qui génère beaucoup d’interrogations sur la stratégie à mener.

     

    La stratégie digitale est-elle une source de différenciation entre les grands groupes mondiaux ?

    promise consulting, luxe, changement, mutation, digitalisation, chine, USA, croissance, conjoncture, tourism, omnicanal, France, transformation profil, relation-client, différenciation C’est un secteur parfois conservateur qui a du mal à accepter de perdre le contrôle de la distribution, mais tous sont aujourd’hui très actifs. Un des premiers bouleversements est venu de la comparaison mondiale des prix par des clients connectés et globe-trotteurs.
    Face à cela, Chanel a annoncé l’an dernier sa volonté d’établir progressivement un meilleur équilibre des prix de ses produits dans les grandes zones géographiques, Chine, Europe, Etats-Unis. Tous y viendront sans doute mais c’est très complexe en raison des coûts d’approche et des taxes différents, sans oublier les variations de taux de change ! (...)

    [SE RENSEIGNER SUR LE DEUXIÈME BOULEVERSEMENT]

    Google ou Apple débauchent des talents dans les groupes de luxe et veulent investir ce secteur. Menacent-ils les acteurs traditionnels ?

    La dernière génération des acheteurs de luxe, notamment Chinois, est particulièrement adeptes d’objets high tech au détriment des produits plus classiques. Dans ce sens, ces géants peuvent être une menace. (…)

    Le marché mondial du luxe croissait à deux chiffres au début du siècle, un taux tombé autour de 2 % aujourd’hui. Quelle est la « nouvelle normalité » pour les années à venir ?

    La projection moyenne pour les prochaines années est de l’ordre de 2 % à taux de change constants, ce n’est pas si mal pour un marché qui pèse déjà 240 milliards d’euros.

    Nous sommes face à des consommateurs plus exigeants, des marchés plus mûrs, peut-être allons-nous commencer à faire du marketing et à revenir à des fondamentaux de la relation-client, de la qualité de l’offre et du service. (…)

     

     

  • @Hublot et @Ferrari présentent une nouvelle #montre en #saphir [#Hublot #Ferrari #luxe #Horlogerie #nouvelleedition #LaFerrariSapphire]

    Hublot et Ferrari présentent une nouvelle montre en saphir

    By Romain, 2016-09-20, Journal du Luxe, Joaillerie & Horlogerie


    Hublot vient tout juste de présenter la nouvelle édition de la montre MP-05 LaFerrari Sapphire.
    Conçue à l’image de la célèbre marque automobile italienne, cette montre de luxe est le fruit de prouesses techniques d’exception.  Découvrons ensemble ses caractéristiques.

    Le mouvement le plus complexe conçu par Hublot

    Hublot et Ferrari entretiennent leur partenariat depuis 2012. En 2016, les eux entités présentent la montre MP-05 La Ferrari Sapphire.

    Une montre de luxe qui se démarque par la complexité de son mécanisme. Son « moteur » est composé de 637 éléments. Il alimente une réserve de marche de 50 jours !
    Le fruit d’un travail fastidieux qui aura nécessité 600 heures de travail aux fabricants de Hublot et un usinage 3D. La montre MP-05 La Ferrari Sapphire est produite en édition limitée à hauteur de 20 exemplaires.

    Un design tout en transparence pour la MP-05 La Ferrari Sapphire

    Ferrari, Hublot, SapphireLe design de la montre MP-05 La Ferrari Sapphire est axé sur la transparence. Hublot laisse entrevoir toute la complexité du mouvement de son petit bijou mécanique semblant flotter dans les airs. Il est ainsi possible de l’observer à 360°.

    Un mouvement complexe mais aussi très solide. Il est en effet conçu en saphir, deuxième matériau le plus résistant du monde.

    La montre de Hublot en elle-même a été construite à partir de 7 blocs de saphir. Son bracelet en silicone comporte lui aussi un fermoir en saphir.

    On notera également un boîtier transparent d’environ 53,5 grammes ainsi que le lettrage apparent de la marque Hublot. Contrairement à l’édition précédente, la petite seconde est cette fois visible. Elle paraît sur un cylindre lui aussi transparent, fixé à la cage du tourbillon suspendu.

    À droite des barillets sont disposées les aiguilles des heures et des minutes. Le prix de la montre Hublot MP-05 LaFerrari Sapphire n’a pas ouvertement été dévoilé. Cependant, certaines rumeurs laissent penser que cette montre de luxe pourrait être commercialisée aux alentours de 500 000 dollars.

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  • @Tiffany & Co. dévoile sa #collection #Masterpieces #2016 [#créativité #innovation #design #Prism #Ribbons #l’élégance #AudreyHepburn #Luxe #Joaillerie #diamants #platine]

    Tiffany & Co. dévoile sa collection Masterpieces 2016

    By Romain+, 8 août 2016, Journal du Luxe, Joaillerie & Horlogerie

    Le célèbre joaillier Tiffany présente la collection Masterpieces 2016. Une collection confectionnée par la directrice du design de la Maison Francesca Amfitheatrof. Une collection qui représente une créativité libérée des convenances et où les limites sont repoussées.

    En 2016 la directrice du design de Tiffany, Francesca Amfitheatrof, a créé des chefs-d’œuvre plein d’imagination et conçus de manière artisanale. Cette collection exprime le riche héritage de la Maison en termes de design, elle célèbre l’innovation et des créations pleines d’entrain. Francesca Amfitheatrof a construit cette collection en deux thèmes : Tiffany Prism et Tiffany Ribbons.

    « J’ai pris comme inspiration notre héritage de sourcer des pierres précieuses et j’ai créé des designs modernes qui sont incroyablement glamours, espiègles et qui sont destinés à être portés de jour comme de nuit. », raconte Francesca Amfitheatrof.

    La collection Masterpieces 2016 inspirée de l’élégance d’Audrey Hepburn

    Inspirée par l’élégance intemporelle d’Audrey Hepburn, la collection Tiffany Ribbons est composée de pièces drapées d’une grande légèreté, elle est à la fois classique et spectaculaire. Un époustouflant collier en platine avec sept niveaux de diamants qui épousent délicatement les courbes du corps est l’un des exemples de pièce iconique et glamour qui compose cette collection.

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  • The Latest Facts and Figures about the #Chinese #Luxury Market [#Luxury #Travel #China #Economy #IncomeGap #GrowthStrategy]

    By Fflur Roberts, 18-08-2016+,Senatus, Luxury Society

    There is much discussion about what a slowing economy in China means for the luxury industry. Euromonitor highlights the latest numbers and what it means for the industry.

    Over the past decade, China and moreover the Chinese have led the world in luxury shopping. As a By 2015 China offered more luxury retail selling space than Japan and was fast catching up on the US, and the Chinese accounted for over a third of all global luxury spending.

    According to Euromonitor International’s latest travel data, the Chinese made almost 3 million trips to the US in 2015, an increase of almost 8% on 2014 and a massive 206% increase in the last five years since 2010. During the same year they made 2 million trips to France, 5 million trips to Japan and 285 thousand trips to the UK.

    Overview of the Economy

    However in 2014 and 2015, mainland China posted its lowest growth in sales of luxury goods since our records began (a real decline of -3% and +1% respectively). Therefore, Beijing faces some serious challenges. The government wants to change strategy by reducing its reliance on debt-fuelled investment in construction and heavy industry and boosting consumption.

    Individuals aged 45-49 are the largest group amongst top earners

    Although individuals aged 30-34 commanded the highest average gross income in 2015, the age segment 45-49 represented the largest proportion amongst Chinese in the top income band (ie individuals with an annual gross income over US$150,000) in the same year. By 2030, the age group 40-44 will have become the most prominent amongst the country’s top income earners, representing opportunities for luxury services and high-end family orientated goods (especially given the relaxation of China’s one-child policy).

    Between 2015 and 2030, China is expected to add in excess of 3.4 million additional individuals to this wealthy population, making it the fifth largest market in the world in terms of HNWI’s.

    Income gap is expected to remain wide over the long term

    One of the main determinants of income inequality in the country is the condition of urban/rural households, which also affects migrant individuals working in the city, but whose household registration (or “hukou”) is in a rural area.

    Luxury brands need to re-think their growth strategies

    The impact of a weakening economy is unlikely to stop wealthy Chinese consumers from travelling to buy their luxury goods, but it might change their destination of choice as well as total in-destination spend.

    China’s grey luxury goods market

    The main players in the grey market are professional shoppers, known in Chinese as daigou, who travel abroad to buy luxury goods in bulk (in effect, by filling their suitcases). They return home to sell their wares either directly or online, and it has developed into a business worth billions of US dollars.

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  • Bright future for global #luxury #packaging market [@adetem @lLux_Top_Flash]

    SOURCE : SMITHERS PIRA - 2016

    An insight into the luxury packaging market that continues to grow globally, driven by exciting trends - the surge of personalised packaging, attention to sustainability issues, economic and demographic drivers.

    Data from the Smithers Pira report The Future of Global Packaging to 2020 estimates a total world market for all packaging in 2015 worth $839 billion. This will grow steadily at a rate of 3.3% year-on-year through to the end of the decade; with the market will be worth nearly $1 trillion in 2020.

    Luxury packaging is a lucrative, fast developing segment of this; Smithers Pira values it at $14.8 billion in 2015. It relative share belies its importance to the broader industry however. It is a segment where higher unit costs and the willingness of brands to invest in designs that directly enhance their products making it a cockpit for the entry and perfection of novel technologies. 

    LUXURY IN VARIETY

    Luxury packaging designers are increasingly gaining access to high-quality materials, finishes, decoration, innovative shapes, and caps and closures that enhance the consumer experience of the product. In its recent report The Future of Luxury Packaging to 2019 Smithers Pira identifies six key end-use applications:

    - Confectionery
    - Cosmetics & fragrances
    - Gourmet food & drinks
    - Premium alcoholic drinks – top-end spirits, wines and champagnes
    - Tobacco
    - Watches & jewellery

    Across these, cosmetics and fragrances is the largest, accounting for a projected 43.3% share of luxury packaging market by value in 2014. This is followed by premium alcoholic drinks and tobacco, which have market shares of 21.9% and 16.5% respectively. In terms of volume, premium alcoholic drinks accounts for the largest share at 46.0%, followed by cosmetics & fragrances, which has a share of 31.0%.

    Across the luxury markets under review, cosmetics & fragrances and watches & jewellery are forecast to be the fastest growing sectors for value and volume over the next 4 years. This growth in cosmetics & fragrances and watches & jewellery is driven by increased demand in emerging markets. Consumption of tobacco is set to grow only slowly by comparison over the next five years, with a decline in the developed regions of Western Europe and North America. Profits of luxury packaging suppliers in this area will also be seriously damaged if regulatory mandated plain tobacco packs – currently active in Australia and planned for the UIK – spread. 

    All of these applications are potentially profitable markets for packaging manufacturers. This is because luxury packaging margins are typically higher than in mass-market packaging due to the greater perception of value it can add to the product. This is also reflected in a willingness for more investment in design and development work and justifies a larger outlay on materials and converting processes.

    As the market expands, luxury applications will outstrip mean expansion in the packaging industry, growing at 4.4% in value terms year-on-year through to 2019 – culminating in a market Smithers Pira estimates at $17.6 billion in that year. Growth will be highest in Asia and the currently modest market of Latin America. The more mature regions of Western Europe and North America will see growth that, while still healthy, is below the global average.

    The volume of luxury packaging consumed will increase at 3.1% annually across the same period.

    GLOBAL BRANDS

    In the 21st century globalised economy, ongoing industry consolidation means there is a smaller number of worldwide luxury houses that own multiple brands across different high-value markets. Examples of such houses are Moët Hennessy Louis Vuitton (LVMH) – the most valuable luxury goods group in the world; Richemont, PPR; and Kering.

    Such companies are keen to maintain, and where possible burnish, brand identities on a global scale. They are investing to evolve several key technologies that will help shape and bolster the luxury packaging market over the next five years, including:

    - Anti-counterfeiting and brand protection
    - Digital printing
    - Enhanced embellishment and tactile effects
    - Connection to the online world via smart devices and Big Data stores.

    In addition to these technology developments, there are a number of other factors impacting the direction towards which luxury packaging is developing, including:

    - Active packaging that can affect the goods within is increasingly being used for luxury products, with for example, isothermal sleeves for champagne to keep the drink cool;
    - Luxury experience packaging where increased physical engagement with the branded pack enriches the consumer’s overall experience. This encompasses designs for novel opening and unwrapping mechanisms; infusing paper and packaging material with long-lasting fragrances; and fixtures, for example magnetic closures for colour cosmetics compact cases so that consumers are able to hear a sound confirming that the product has closed correctly;
    - Personalised packaging, where a packaging product is embellished to make it unique and personal to the consumer – a trend that is most prevalent in gift-giving and driven by the technical capability of inkjet printers;
    - Sustainability is a megatrend across packaging. Luxury brands too are aware that a greener profile is a worthwhile commitment for products like confectionary and cosmetics. 

    SUBSTRATES

    The main materials used in luxury packaging are paperboard, glass, metal, plastic, textiles, leather and wood. Paperboard is the most popular material used in luxury packaging, accounting for a projected 41.9% share of luxury packaging market value in 2014. The second most used material in value terms is glass, followed by plastic, with market shares of 30.1% and 15.4% respectively.

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    Source : Smithers Pira

    In terms of market volume, glass accounts for the largest share at 58.3%, followed by paperboard, which has a share of 25.9%. This discrepancy can be explained by the relatively lower cost of glass per tonne, compared to both luxury paperboard and plastic, as well as the higher unit weight and density of glass – particularly in the case of premium alcoholic drinks.

    Across luxury packaging materials, plastic and glass are forecast to show the highest growth rates in value terms through to 2019. Plastic is also set to be the fastest growing material in terms of volume.

    Demand for both glass and plastic is being driven by the recovery and stronger growth evident in the main luxury markets, particularly cosmetics and fragrances. Glass on the whole is losing share in packaging, but is proving much more resilient and hard to replace in luxury applications. Here it remains popular with brand owners and consumers, due in part to its strong sustainability associations, but more importantly for its high-quality appearance. Rising demand for plastic packaging meanwhile is being driven by its lower cost and lighter weight.

    MARKET LANDSCAPE

    The mass-market packaging industry is increasingly consolidated – especially in older material formats like glass and metal – but less so for newer rigid and flexible polymer types. The luxury packaging supply industry is also diverse – consisting of a large number of businesses with a broad range of sizes, scopes and product offerings.

    There are a number of multi-material companies that have a particular speciality in luxury packaging; for example, the Verpack Group is a leading European manufacturer, specialising in luxury packaging made from both cardboard and plastic. There are also a number of large international packaging groups that specialise in one particular material and supply to the luxury market – for example, Mayr-Melnhof is one of the leading paperboard manufacturers, Ardagh Glass is a top glass manufacturer and Crown Specialty Packaging is a prominent metal packaging supplier.

    BRAND PROTECTION

    Counterfeiting that leads to lost sales and damaged brand perception is among the top concerns for luxury brands. This is a problem to which luxury pack designs can provide an answer – principally because high-grade materials and embellishments are much harder for counterfeiters to copy convincingly – giving an indication to consumer before they buy.

    This opportunity is now coalescing around a number of key trends like enhanced decorative holograms and covert taggants and electronic platforms, where buyer can verify products themselves via smart device. The basic level for this is via QR codes. Such visual signs have a major drawback however in that their block monotone graphics are likely to seriously impinge on the overall appearance of the pack.

    Systems that rely on radio-frequency identification (RFID) and increasingly Near-Field Communication (NFC) protocols have the advantage of being discrete. Furthermore the higher margins in luxury packaging mean that cost considerations that inhibit roll-out in mass applications are less of a barrier.

    NFC, QR and RFID platforms have the added benefit that they can also allow the consumer and brand to interact – forging a deeper, more enduring relationship. For example, once a consumer has confirmed the authenticity of a purchased product using an internet connection to a secure online database, the same medium can be used to offer vouchers for repeat or complimentary purchases.

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