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2.2- Marques - Page 47

  • Le prêt-à-porter de luxe de retour à Téhéran [#iran #luxury #asia-pacific]

    Mariam PIRZADEH , correspondante en Iran France 24

    Roberto Cavalli est parmi les premières enseignes de luxe occidentales à ouvrir une boutique à Téhéran depuis 1979. L’enseigne italienne a pris ses quartiers dans le nord très huppé de la capitale iranienne. France 24 était à l’inauguration.

    Vers 19 heures, ce mercredi 17 février, la foule arrive d’un coup, par petits groupes. Presque dans le silence tant leur surprise est palpable. Il y a d’abord eu les premières interrogations : est ce la vraie marque ? Difficile encore pour certains de croire que ce magasin Cavalli qui ouvre ce soir est le même qu’à Milan ou Paris tant depuis 37 ans, les fausses enseignes sont légion à Téhéran. À tel point, que les grands groupes internationaux de luxe qui affluent depuis un an pour prospecter  en République islamique en sont presque amusés.

    "Je vais pouvoir désormais acheter dans mon pays"
    Les serveurs distribuent petits fours et jus de fruits. Ils cherchent à se frayer un chemin dans cette foule triée sur le volet. Un petit groupe d’amies, très concentrées, s’attardent sur la collection de robes. "Cela montre que l’Iran s’ouvre. Avant, je ne faisais jamais de shopping ici. Maintenant, je vais pouvoir acheter dans mon pays" s’enthousiasme Nazanin, 34 ans. La jeune femme fait partie de cette nouvelle génération d’iraniens favorisés qui a l’habitude de voyager et apprécie de voir son pays s’ouvrir sur le monde.

    L’inauguration de la boutique Cavalli marque le retour du luxe à l’occidentale en Iran, après des années d’une campagne officielle de boycott visant à préserver "l’identité iranienne". Un filon que la marque italienne a voulu exploiter avec ces 360 mètres carrés, une des surfaces de vente les plus importantes du groupe. La marque a pourtant mis du temps à s’installer. Un long processus commencé un an avant l’accord sur le nucléaire iranien. Il aura fallu près de deux ans de pourparlers et de travaux pour permettre à cette tête de pont du luxe italien de s’installer ici.

    (...)

    Juste à côté de Cavalli, une autre boutique est encore en travaux. Versace, autre grand nom du prêt à porter italien, devrait ouvrir d’ici un mois, assure, confiant, l’un des partenaires italiens de cette aventure. L’arrivée d’autres grands groupes est annoncée pour les prochains mois. Le français LVMH, notamment, est encore en prospection. "Une boutique Dior en plein Téhéran, ce sera une réalité dans les cinq ans à venir", nous confiait il y a quelques mois le président de la chambre de commerce franco-iranienne.

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  • Les Chinois ont acheté près de 50% des produits de luxe en 2015 selon #lequotidiendupeuple

    Les consommateurs chinois ont dépensé 1,2 billions de yuans (164 milliards d'euros) à l'étranger en 2015. 

    Plus de 60% d'entre eux ont acheté des produits de luxe. Au total, quelque 105 milliards d'euros ont été dépensés en sacs à main, cosmétiques et autres accessoires pour smartphones. Une somme qui représente 46% des ventes mondiales dans ce secteur, selon Le Quotidien du Peuple. Le ministère chinois du Commerce estime ainsi que la capacité de consommation du pays à l'international a augmenté de 27,8% par an entre 2005 et 2015, soit le double de celle du marché intérieur. 

    Plus de 120 millions de touristes chinois ont voyagé à l'étranger l'an dernier, leurs dépenses atteignant au moins 12% de la consommation globale du pays. Mais parallèlement à cela, le ralentissement de la consommation intérieure préoccupe le gouvernement.

    Les marques de luxe prises d'assaut à l'étranger
    De fait, les prix des produits importés restent élevés comparés aux marchés étrangers. Les tarifs de 37 produits haut de gamme sont ainsi 40% à 68% plus élevés que ceux pratiqués aux États-Unis, en France et en Allemagne. 

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    • Pour en savoir plus sur notre cycle de Conférences : "Chine et Luxe : enjeux et perspectives" : contacter valerie.Jourdan@promiseconsultinginc.com

     

     

  • La pensée a-t-elle une utilité industrielle ou la dérive du consumer insight ? A lire et à méditer... [#philosophie #beaute #nivea #loreal]

    Les grandes marques de cosmétique font souvent appel aux services de philosophes et de sociologues. La pensée a-t-elle une utilité industrielle ?

    En 2006, Gilles Boëtsch a été contacté par une agence de communication, qui lui a présenté le directeur commercial du groupe allemand Beiersdorf, numéro deux mondial de la cosmétique, propriétaire de la marque Nivea. Ancien directeur du conseil scientifique du CNRS, Boëtsch est anthropobiologiste, spécialisé sur les représentations du corps, et les liens qui existent entre la culture et la biologie. Il a notamment étudié la reproduction des agriculteurs dans le canton limousin de Châteauponsac.

    Les gens de Nivea souhaitaient monter «un observatoire sur le changement de comportement des Français par rapport au corps», dit-il. Boëtsch a mis sur pied une équipe, avec l’historien Georges Vigarello, le philosophe Bernard Andrieu, le sociologue David Le Breton ou la dermatologue Nadine Pomarède.

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  • Leila Hadioui, égérie de la marque de cosmétiques italienne Flormar : une ambition pour le Maroc [#beaute #flormar]

    Leila Hadioui est une mannequin et animatrice télé, icône de la mode et de la beauté marocaine déjà très appréciée dans le pays.

    C’est sans doute pour cette raison que la prestigieuse marque de cosmétiques italienne Flormar, installée au Maroc depuis 2012 l’a choisi comme égérie pour sa nouvelle campagne.

    Leila accompagnera la marque dans l’ensemble de ses actions de communication et de ses événements à travers le Maroc, l’occasion pour la Flormar d’affirmer son désir de devenir la marque favorite des marocaines.

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  • Le #packaging, première représentation du #cosmétique [#beaute #design]

    Le packaging est la première chose qu'un consommateur voit d'un produit cosmétique. Et son look, ses codes, sa technicité influent fortement sur la perception du produit lui-même comme de la marque qui le propose. Des interactions décisives que Sandy Gregory, de la WestRock Company, est venue décrypter lors de la 12e édition du salon PCD qui s'est tenue à Paris 3 et 4 février 2016.

    LA CONVERGENCE DU SOIN ET DE LA BEAUTÉ

    Deux approches restent fondamentales en cosmétique, a rappelé l'intervenante :
    le soin, qui est associé aux packagings plutôt blancs et épurés, et correspond à un besoin de prendre soin de soi : la consommatrice attend une efficacité du produit à moyen ou long terme, et doit faire confiance à la marque pour le choisir ;
    la beauté, dont les codes sont plus glamours et colorés, et qui répond au souci de l'apparence : l'attente est ici beaucoup plus immédiate et le produit, à l'instar d'un rouge à lèvres ou d'un fond de teint, doit faire la différence dès l'application.

    La tendance qui s'affirme actuellement est la conjonction entre ces deux types classiques d'attente : les consommatrices cherchent de plus en plus des produits qui conjuguent soin et beauté. Un packaging réussi doit donc associer les codes visuels et les modes de délivrance du produit qui permettent aux consommatrices de le percevoir comme tel, et aux marques de se positionner à la jonction de ces deux valeurs fondamentales.

    L'étude de WestRock a défini quatre segments de consommatrices, qui se retrouvent partout dans le monde, et sont caractérisés par leur niveau d'implication vis-à-vis du produit cosmétique (le nombre d'étapes qu'elles suivent dans leur routine beauté, l'importance de leurs recherches d'informations sur les produits par exemple sur Internet, l'influence que les blogueuses ont sur elles, combien elles sont prêtes à dépenser, etc.). Les plus impliquées étant généralement clientes des marques les plus premium.

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  • Substances chimiques et produits de soin pour bébés : les ONG s'en mêlent ! [#bebes #soin #lingette #beauté]

    Lingettes pour bébés : trop de substances chimiques "à risque élevé"

    Dans le cadre d'une étude récente réalisée pour le compte d'un grand laboratoire de produits pour bébé, nous avions attiré l'attention de notre client sur la sensibilité exacerbée des consommatrices, aujourd'hui rejointes par les autorités législatives, sur la présence de substances irritantes ou chimiques, supposées ou réelles, dans les lingettes nettoyantes. La presse semble s'emparer de l'affaire. Une illustration, s'il en était besoin, que le besoin de réassurance est une attente forte pour les produits cosmétiques, a fortiori lorsqu'ils s'adressent aux jeunes bébés (...)

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