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Promise Consulting [Luxury Blog] - Page 66

  • Le nouveau filon du prêt-à-porter : les objets de déco [#mode #deco @stylist]

    Après le vestiaire, ce sont les étagères que tentent d’infiltrer les marques de mode. Le nouveau filon du prêt-à-porter : les objets de déco.

    Dans les boutiques de vêtements, vous trouvez désormais de tout. L’appartement Sézane, l'Annexe Sessùn ou plus récemment, la boutique de Valentine Gauthier proposent entre deux bombers, des meubles et des objets lifestyle (bougies, carnets, coussins, mugs...) imaginés en collaboration avec des designers ou issus de leur propre benchmark "idées déco pour le salon". Mais d’où vient cet engouement du concept-store mono-marque ? « Cette tendance, c’est un peu la continuité du DIY, l’expertise d’une marque installée en plus », analyse Philippe Jourdan, consultant pour Promise Consulting Inc. « Avec l’explosion des blogs, les représentants de la mode veulent s’exprimer sans aucune limite et l’opération est d’autant plus réussie si les objets proposés restent en adéquation avec les prix et le parti pris créatif de la marque. De plus, en contexte de crise, nous avons tendance à opérer un repli sur soi et vers son intérieur. Les gens aiment s’exprimer sur leur habitat et cela sans aucun tabou puisqu’avec Instagram, le « chez soi » s’expose bien volontiers. » À quand les recettes #instafood entre deux rayons de chaussures ?

    [ARTICLE SUR STYLIST]

  • Chanel winning fight against luxury grey market [@chanel #chanel #promiseconsulting #luxury]

    By Sarah Marsh - Business Insider - May 2, 2016, 6:15 PM

    By Sarah Marsh

    HAVANA (Reuters) - Chanel, the world's second largest luxury brand, said on Monday its efforts to curb the grey market have been successful and are helping boost revenue in China despite weaker overall demand for luxury goods.

    The company narrowed its price gaps between the United States, Europe and Asia last year to prevent smugglers buying goods in one region to re-sell to another in the grey market.

    "We reduced quite a lot the parallel market, mainly in Asia, and we have double-digit growth in our boutiques in mainland China," , Chanel's president of fashion, said in an interview in Havana.

    Chanel will unveil its latest Cruise collection in Havana on Tuesday, in Cuba's first major fashion show since the 1959 revolution and another sign of warming relations between the Communist-ruled island and the West. The United States and Cuba formally agreed to restore diplomatic relations last July.

    Despite the success in curbing grey market sales, the privately owned company expects slower sales growth this year, Pavlovsky told Reuters in Havana's landmark Teatro Marti. He declined to disclose figures.

    He noted that Chanel has an entire team, including external lawyers, that monitors the secondary market.

    The luxury goods industry been plagued in the last few months as a drop in global tourist traffic due to recent terrorist attacks, slower economic growth in China, and record low oil prices have dented the purchasing power of important luxury buyers from Russia and the Middle East.

    In April, industry leader LVMH said its fashion and leather goods sales were flat while Hermessaid revenue growth slowed in the first quarter.

    Pavlovsky said fewer Russians were traveling due to the weak rouble, and Brazil's recession has curbed demand there.

    But Chanel was seeing solid growth in the United States, some parts of Europe such as Britain, Russia, China, Japan and Korea, he said. Chinese and Russians not traveling abroad as much were buying more at home.

    "There is a slowdown but not such a big slowdown," he said.

    Pavlovsky said Chanel was presenting its latest inter-seasonal Cruise line in Cuba because the country had inspired Karl Lagerfeld, the company's chief designer and creative director. Chanel, which began as a millinery store in 1909 in Paris, was also returning to its roots, he added.

    Founder Coco Chanel designed early collections for wealthy and glamorous Americans holidaying on yachts and cruises in the Caribbean. Cruises to Cuba had been forbidden during the country's standoff with the United States.

    Earlier on Monday, the first U.S. cruise ship to sail to the island in more than 50 years docked in Havana.

    Chanel, which has fewer than 200 boutiques worldwide, will not be setting up shop in Cuba any time soon, Pavlovsky said. "Why not, one day," he said. "But not in the coming years."

    (Reporting by Sarah Marsh; Editing by Richard Chang)

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  • Chanel s'invite à la Havane pour un défilé inédit, symbole de l'ouverture au Monde de l'Ile [#promiseconsulting #chanel @chanel #luxe]

    Posted by Pureactu.com | 4 Mai, 2016 | Pure Buzz |

    Devenue The place to be, l’île de Cuba vient d’accueillir un défilé signé Chanel. Après les Rolling Stones, l’opération séduction du gouvernement cubain continue avec un défilé haute couture proposé par la célèbre maison de luxe parisienne. Un événement clinquant, symbole d’un capitalisme triomphant.

    Sur le Paseo del Prado, boulevard à ciel ouvert à 300 mètres de la mer décoré pour l’occasion, le luxe s’est imposé.

    La prestigieuse marque a choisi la Havane pour son premier podium en Amérique latine et pour dévoiler sa nouvelle collection bourrée de références à la culture de l’île avec ses sombreros typiques, ses cigares et ses vieilles voitures. Artistes et officiels cubains, mais aussi célébrités d’Hollywood, comme Vin Diesel et Tilda Swintonou, ont assisté au défilé, accessible sur invitation uniquement. (...) 

    « Finalement, le monde s’ouvre à Cuba. Tout le monde veut connaître la pomme interdite, tout le monde veut la découvrir, la savourer, en profiter, l’explorer », a déclaré à l’AFP Mariela Castro, fille du président Raul Castro et directrice du Centre national d’éducation sexuelle.

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  • [Figure You Should Know] –18,3 billion $ is the estimated Indian Luxury Market in 2016 [#economy #luxury #promiseconsulting @LuxurySociety]

    The Indian luxury market is expected to cross that amount during this year.

    According to a research report by Euromonitor, India merely contributes 1-2% to the global luxury trade. However, despite this insignificant percentage, the market is growing at a compounded annual growth rate (CAGR) of about 25%. Indian luxury market is expected to cross $18.3 billion by 2016 from the current $14.7 billion.

    As per a study by Assocham , in 2015, luxury jewellery, electronics, SUV cars and fine dining have grown immensely. Apparel, accessories, wines and spirits are growing as strongly as in the past. Consumption of branded wine is also likely to register a over 30% increase in the metro cities.

    Indian brands are starting to be well-known, with Gitanjali Group (jewellery retailers), Titan Company (5th largest manufacturer of wrist watch in the world) and PC Jeweller Limited (jewellery retailers) now accessing the top 50 luxury brands worldwide.

    Finally, it is to be noted that cosmetics and beauty products markets are highly lucrative in India, since women’s purchasing power is greater.

    READ THE FULL ARTICLE : [Luxury Society]

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  • Le prêt-à-porter de luxe au Maroc: entre réalité et fantasme, comment se porte-t-il ? [#maroc #luxe #mode]

    SOURCE HUFFPOST MAROC- Zoubida Senoussi et Abdessamad Moustaid - MAI 2016

    MODE - Pour la majorité des femmes marocaines, le luxe évoque "l'esthétique, la beauté et l'élégance", selon une étude réalisée par le cabinet Marketing B. Voilà pour la théorie, car dans les faits, la récente fermeture des Galeries Lafayette à Casablanca et leur remplacement par des marques low cost interroge sur la maturité du marché marocain du prêt-à-porter de luxe.

    Pour Éléonore Bénit, rédactrice en chef du magazine Icônes (Groupe Telquel), "le marché du luxe, comme tous les marchés de niche, a ses limites et n’est pas extensible à merci. Le départ successif de marques comme Miu Miu ou Prada il y a quelques mois indiquait déjà que le marché du retail de luxe au Maroc était – et est toujours – loin d’être mature. À l’inverse, une marque comme Tati répond de façon bien plus cohérente à la réalité du pouvoir d’achat de la majorité des habitants des grandes villes de notre pays".

    Loin d'être mature, ce marché pourrait également être impacté par les habitudes d'achat et les comportements des consommateurs aisés, qui préfèrent faire leurs emplettes à l'étranger dans les capitales du luxe comme Milan, Paris ou encore Dubai, "où l'on dispose de plus de choix et de.... discrétion", estime Sofia Benbrahim, fondatrice de Shoelifer, média marocain axé sur le luxe et l’art de vivre.

    "Consommer du luxe, c'est vivre une expérience"

    Pour Meryame Mellouk, professeur en marketing de luxe à l'Université Hassan II à Casablanca, "la mobilité à l’international fait que les achats se font en général dans d’autres pays où l'on pense bénéficier du produit global offert par le luxe (évènements privés, accueil personnalisé, collections privées…) bref, tout ce qu’offrent les maison de luxe à leurs clientèles qu’on ne trouve pas forcement au Maroc. Ajouter à cela l’exclusivité, un plus grand choix et les avantages fiscaux (même si cela changera bientôt)".

    Pour la rédactrice en chef du magazine Icône, il s'agit même d'une "évidence, non pas qu’ils (les consommateurs) le 'préfèrent' mais que les habitudes de consommation prennent parfois du temps à se modifier". Selon elle, "pendant des années, certaines marques n’étaient pas distribuées au Maroc. La clientèle marocaine habituée à la consommation de produits de luxe est très exigeante et voyage beaucoup, ce qui continue de favoriser l’achat à l’étranger. Consommer du luxe, ce n’est pas seulement acquérir un produit, mais c’est aussi - et peut-être surtout - vivre une 'expérience' hors norme, composée d’une multitude de codes qui entourent l’acte d’achat", explique-t-elle.

    "Lorsqu’on est en vacances, loin de chez soi ou dans une capitale mondiale réputée pour son élégance, son savoir-faire ou son expertise 'shopping', l’achat est alors entouré d’un aura ou d’un supplément d’âme qu’on ne peut pas acquérir à deux pas de chez soi. La possibilité de bénéficier de la détaxe entre aussi évidemment en ligne de compte".

    La guerre sans fin contre le faux

    Et la contrefaçon dans tout ça? "Le marché du luxe est destiné à une clientèle particulière, une personne qui peut se permettre un sac à 30.000 dirhams n'ira jamais acheter de la contrefaçon", tranche Sofia benbrahim.

    Même son de cloche chez Éléonore Bénit: "La circulation de faux existe au Maroc depuis des décennies et répond essentiellement au besoin d’une population (locale ou étrangère) qui n’aurait pas forcément les moyens d’accéder aux produits de luxe authentiques d’assouvir son désir. Pour autant, la contrefaçon demeure un enjeu majeur pour les géants du secteur, non tant pour l’aspect financier que pour une question d’image. Et c’est une guerre sans fin: plus un produit a du succès, plus il sera copié".

    Reste enfin le rapport si particulier qu'entretiennent les consommateurs marocains avec les produits de luxe. Il est de notoriété publique que les Marocains investissent beaucoup dans l'or, cette "valeur sûre, contrairement à un sac X ou Y qui fait son temps", estime Sofia Benbrahim.

    Pour Meryame Mellouk, les consommateurs marocains "font des achats 'investissement' dont ils savent impertinemment la valeur, et peuvent aller jusqu’à s’endetter pour acquérir un bien durable qui entre dans le patrimoine familial comme la joaillerie, les pièces de collection ou l'horlogerie".

    Qu'en est-il des autres secteurs du luxe? "Il me semble que celui de l’automobile au Maroc se porte extrêmement bien, et ce malgré la taxe de luxe créée il y a deux ans. Celui de l’horlogerie aussi, notamment pour certaines très grandes maisons comme Cartier ou Rolex. Avec la montre, la voiture est l’un des premiers marqueurs sociaux pour une population. Dans un pays comme le Maroc où l’hétérogénéité sociale est aussi forte, dire au monde combien l’on vaut équivaut à dire qui l’on est", conclut Éléonore Bénit.

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  • #Balmain: the power of Growth Hacking in #luxury #fashion [@balmain @adetem #promiseconsulting]

    IMAGE : Olivier Rousteing - Directeur artistique Balmain

    SOURCE: FORBES - GREG PETRO - MAY, 06, 2016

    If you’re in tune with what’s going on in the world of tech startups, you’ve likely heard the phrase “growth hacking.” The phrase, coined in 2012 by Silicon Valley veteran Sean Ellis, refers to a way of marketing a business or product that attracts a massive following of fans and customers without spending a fortune on traditional marketing strategies.

    When the phrase first started gaining traction among tech marketers, growth hacking was generally seen as something that software or e-commerce companies did. As we’ll see, growth hackers are very scientific in the way they approach marketing. They only care about growth that is measurable and provides useful data.

    Today, luxury fashion companies like Balmain and Spring are adopting some core growth hacking strategies to give them an edge. Seasoned investors know the luxury market can be fickle, but looking for companies that are on the cutting edge of digital marketing could be a great way to separate the winners from the rest of the pack.

    The keys to growth hacking

    Before we get into specific examples, it’s useful to know some of the core concepts of growth hacking. Naturally, each company’s product/service is different, so specific tactics that work for one business may be useless to another. Regardless, growth hacking has brought some key points into focus for marketers in all industries today. Here are a few of the most important:

    [1]- Product/market fit. The traditional means of product development is to spend months or years developing an offering behind closed doors, then launching it with one big push. The problem is these launches end up losing the company money because, while the product was spending a year or so in development, the market may have moved on. Growth hackers, on the other hand, start with a minimum viable product and get it out to potential customers as soon as possible. This allows them to see if there is a market for it, and early adopters can provide useful feedback about features that can be included with future iterations.

    [2]- Eschew traditional marketing. Growth hackers don’t go for TV commercials, billboards and other mass marketing channels because they are extremely expensive and they don’t allow for precise measurement of results. Growth hackers widen the definition of marketing to include things like PR stunts, shows and anything else that gets a lot of attention on social and legacy media without costing a fortune.

    [3]- Data is king. To that end, these low-cost campaigns must stand the test of social graphs, SEO rankings, A/B testing and other data-based metrics – these are the tools of the growth hacker.

    Now we’ll look at how two well-known luxury fashion companies are applying these principles.

    Balmain combines product/market fit with savvy social marketing

    According to a profile in GQ, Balmain’s creative director Olivier Rousteing knew that the products he helped design for Balmain had a unique look that would catch on with luxury-seeking consumers. main combines product/market fit with savvy social marketing

    But he was also keenly aware that in the world of fashion, if you don’t have a relationship with your fans that gives you prime visibility, people will move on to the next thing.

    Rousteing made a gamble in 2012 that Instagram would become a key social channel, and that bet paid off. He started taking ridiculous pictures of himself while wearing the clothes he designed, and his gregariousness boosted his profile significantly, with Balmain’s rising in step.

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