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Promise Consulting [Luxury Blog] - Page 36

  • [#LUXURYLAB] | LE LUXE FRANÇAIS ET L’ASIE | Les dessous d’une #histoire d’#amour … et d’#argent | @CAPITAL | 3/4

    EXTRAIT DE L’ARTICLE « LE LUXE FRANÇAIS ET L’ASIE … LES DESSOUS D’UNE HISTOIRE D’AMOUR ET D’ARGENT | PARU DANS CAPITAL N°16 | DE BRUNO GODARD

    Selon une étude de Fortune Character, 80% des achats de produits de luxe par les Asiatiques ont lieu hors de leurs frontières. Plus de 80 milliards d'euros sont dépensés à Londres, Paris, New York et dans tous les lieux de villégiature des touristes. «Les consommateurs chinois ou japonais sont très attachés aux symboles et, pour beaucoup, l'origine compte autant que la marque. Encore plus que les Américains, ils adorent acheter du Chanel dans la mythique boutique parisienne de la rue Cambon. Ils reviennent ainsi sur les traces du passé pour s'offrir un morceau d'histoire», explique cette vendeuse qui a reçu une formation en mandarin. Mais le pouvoir chinois n'apprécie que modérément ce particularisme qui coûte cher en devises et ne rapporte rien au pays. Dans une stratégie globale pour plaire aux autorités, certaines marques ont donc décidé de rééquilibrer leur commerce en tentant de vendre davantage dans l'empire du Milieu. Tout en intégrant la tradition du luxe chinois (travail artisanal, design, matière précieuse). «Une partie de cette clientèle haut de gamme recherche des racines et des traditions. Il faut que les marques racontent une histoire aux Chinois. Et une histoire qui est aussi la leur... », explique un cadre d'une grande maison parisienne qui souhaite conserver l'anonymat. Car le sujet est très délicat pour les mastodontes du secteur, qui avancent de nombreuses explications aux quelques fermetures de boutiques et, surtout, au ralentissement de créations de lieux de vente des trois dernières années. « Dans les sites installés en Chine, nous sommes obligés de vendre plus cher car les produits non fabriqués dans le pays sont très fortement taxés.» Pourtant, quitte à rogner sur ses marges, Chanel, dès 2015, a décidé d'entamer une politique d'harmonisation de ses prix entre l'Europe et la Chine en baissant de 20%le prix des objets vendus dans le pays. D'autres ont augmenté le nombre de références, car, parfois, ils ne proposaient que la moitié des collections dans les boutiques locales. La formation des vendeurs est un autre problème. «C'est vrai qu'il est très difficile de trouver des employés qui ont la culture du luxe, poursuit le cadre. Du coup, le ticket moyen des boutiques est bien moins important que dans d'autres pays.» Les géants du luxe français, conscients que le business devait aussi se faire en Chine, ont décidé d'oublier ces difficultés. Fin 2015, Dior a ouvert une immense boutique dans le China World Mail de Pékin, suivant l'exemple d'Hermès, qui avait inauguré un an plus tôt un magasin de 1100 mètres carrés à Shanghai. La marque Louis Vuitton, elle, a inauguré en juillet dernier son premier site d'e-commerce en Chine.

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  • [#LUXURYLAB] | LE LUXE FRANÇAIS ET L’ASIE | Les dessous d’une #histoire d’#amour … et d’#argent | @CAPITAL | 2/4

    EXTRAIT DE L’ARTICLE « LE LUXE FRANÇAIS ET L’ASIE … LES DESSOUS D’UNE HISTOIRE D’AMOUR ET D’ARGENT | PARU DANS CAPITAL N°16 | DE BRUNO GODARD

    Du coup, les signes extérieurs de richesse ne sont plus à la mode dans le pays. «Cela nous renvoie au confucianisme, explique Philippe Jourdan, professeur agrégé des universités et cofondateur de l'agence de conseil Promise Consulting. La société autorise la richesse, mais uniquement dans un cercle intime et privé. Cela remonte bien plus loin que le communisme et reste fortement ancré dans les traditions chinoises.» L'ère du bling-bling est révolue et le consommateur demande davantage aux marques qu'un simple logo. Certes, la population s'enrichit et l'appétence pour les produits de luxe continue de croître, mais le marché est devenu mature. «C'est pour cela qu'aujourd'hui le luxe abordable et l'ultraluxe progressent, mais que le luxe intermédiaire souffre un peu plus», poursuit Philippe Jourdan. Selon cet expert, la chute de la croissance en Asie ne touche pas toutes les marques. Chanel et Hermès figurent parmi les sociétés qui continuent de tirer leur épingle du jeu car leur histoire et leur image rassurent les consommateurs. «De plus, elles savent gérer la pénurie, poursuit le consultant. C'est primordial sur le marché asiatique où le culte de l'objet unique est encore plus fort que chez nous. Quand on se positionne sur le luxe, il faut que le produit soit rare.» Les marques françaises ne se contentent pas de vendre sur le continent car le gros du business se fait ailleurs.

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  • [#LUXURYLAB] [SHOP] | #Stella #McCartney joins #Alibaba’s exclusive #Luxury #Pavilion | @STYLE

    DE YILING PAN | STYLE | http://bit.ly/2BMrocF

    #Stella #McCartney joins #Alibaba’s exclusive #Luxury #Pavilion

    British luxury brand Stella McCartney has launched a flash sale store on Alibaba’s invitation-only Luxury Pavilion portal, which is reserved for the country’s VIP members, to sell items from fashion to footwear and handbags. The move is a first among fashion labels owned by Kering, the parent company of Gucci, Yves Saint Laurent and Bottega Veneta.

    Stella McCartney is using Tmall Space, an “online pop-up store” marketing tool. The flash sale continues until January 15. Stella McCartney’s eco-friendly fashion is fuelled by her innovative and tenacious spirit
    The British fashion powerhouse follows LVMH-owned Spanish fashion brand Loewe as the second big-name luxury player to utilise Luxury Pavilion since its launch in August.

    We’re delighted to work with Stella McCartney and are excited to see how Chinese consumers respond to their presence,” says Sébastien Badault, Alibaba Group’s director of international fashion and luxury and managing director for France. The development signals an easing in tension between the French luxury conglomerate and China’s e-commerce behemoth.

    In August, Kering Group dropped a lawsuit against Alibaba, which it accused of being involved in the sales of fake designer handbags, and signed a joint agreement to fight against fake goods sellers and to protect its brands’ intellectual property rights. The about-turn highlights the importance of the Chinese e-commerce retail market for international luxury brands. According to KPMG, half of domestic luxury consumption in China will be generated online by 2020.

    For Alibaba, which owns the South China Morning Post, receiving the endorsement from Kering is a strong boost to the expansion of its luxury business. Whether Luxury Pavilion will become a key place for luxury brands to sell products in the country remains to be seen. The e-commerce giant, which traditionally targets the mass market, faces an uphill battle to reposition itself as a legitimate luxury goods e-tail platform.

  • [#LUXURYLAB] | LE LUXE FRANÇAIS ET L’ASIE | Les dessous d’une #histoire d’#amour … et d’#argent | @CAPITAL | 1/4

    EXTRAIT DE L’ARTICLE « LE LUXE FRANÇAIS ET L’ASIE … LES DESSOUS D’UNE HISTOIRE D’AMOUR ET D’ARGENT | PARU DANS CAPITAL N°16 | DE BRUNO GODARD

    Après de longues années de croissance à deux chiffres, le moral serait-il en berne dans le secteur du vrai chic parisien ? Selon le cabinet d'études américain Bain&Company, en 2016, pour la première fois, la part des consommateurs chinois dans le marché du luxe est passée de 31 à 30%. Plus inquiétant encore, à Hong Kong et à Macao, les ventes ont baissé de plus de 15%. Et si la croissance sur le continent asiatique est toujours là, avec 3%, elle est moins importante que dans le reste du monde. Les géants comme LVMH (Louis Vuitton, Christian Dior, Fendi, Berluti, Givenchy...), Kering (Gucci, Saint Laurent, Boucheron...), Chanel ou Hermès s'inquiètent, d'autant qu'ils n'ont pas toutes les cartes en main pour bouleverser la tendance. En Chine, par exemple, la politique de lutte contre la corruption a transformé le marché du luxe, en particulier celui des montres. Dès 2011, le gouvernement s'est lancé dans une opération mains propres contre des hauts fonctionnaires suspectés d'enrichissement personnel. Yang Dacai, ancien directeur du Bureau d'inspection de la sécurité de la province du Shaanxi, a été lourdement condamné et les photos parues sur le Net de ses 11 montres valant plusieurs dizaines de milliers d'euros n'y sont pas pour rien.

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  • [#LUXURYLAB] [COSMETIQUES] | Les #marques de #cosmétiques qui ont bousculé le #marché en #2017 | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2CaQEwq

    Les #marques de #cosmétiques qui ont bousculé le #marché en #2017

    L’année 2017 a confirmé le dynamisme de la catégorie make-up. Si le succès de nombreux lancements en a fait une année florissante pour l’industrie des cosmétiques, l’arrivée de nouvelles marques continue de changer la donne dans un marché où tout va de plus en plus vite. Rapide sélection des marques et des lancements les plus significatifs.

    FENTY BEAUTY 

    Alors même que Fenty Beauty n’a été commercialisé qu’en septembre, la marque de cosmétiques pensée par Rihanna est sans conteste la marque de make-up de l’année. Les 91 premiers produits dévoilés à la rentrée des classes ont rapidement ravi l’industrie et les utilisatrices grâce à leur approche inclusive, notamment grâce à la gamme de fond de teint comprenant 40 teintes pour répondre à toutes les carnations. La chanteuse n’a pas tardé à ajouter une gamme colorée « Galaxy Collection » pour les fêtes, un rouge à lèvres liquide « Stunna » et une nouvelle collection pour les lèvres commercialisée le 26 décembre. Rihanna a vu tellement juste avec Fenty Beauty que sa marque figure dans la liste des « 25 Inventions de l’année » de Time Magazine.

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    ASOS

    L’enseigne de mode britannique a aussi choisi le mois de septembre pour dévoiler sa toute première ligne de make-up estampillée « Asos ». Sa gamme comprenant 46 références vise clairement un public entre 20 et 30 ans, pour que ces dernières puissent s’amuser avec les textures et les couleurs à un prix très abordable.

    KKW BEAUTY

    L’autre star à avoir réussi son entrée dans le monde des cosmétiques cette année est Kim Kardashian, dont la marque KKW Beauty a immédiatement bénéficié de la renommée de la star de télé-réalité. Au mois de juin, ses kits de contouring « Contour and Highlight » ont été épuisés en à peine quelques heures. La collection a ensuite connu plusieurs ajouts, avec des rouges à lèvres liquides et une gamme d’highlighters « Ultralight Beam ». La star a aussi fait une entrée remarquée dans l’univers de la parfumerie avec le lancement de sa marque KKW Fragrance et trois parfums rapidement écoulés courant novembre.

    PAT MCGRATH

    L’emblématique maquilleuse Pat McGrath a commencé à construire son empire de la beauté avec sa marquePat McGrath Labs dès 2015, mais cette année l’entrepreneure star a ajouté des produits plus abordables distribués par Sephora et sur son site internet. La star a aussi fait parler d’elle en novembre lorsqu’elle s’est associée à la chanteuse Maggie Lindemann pour devenir la première entrepreneure à vendre des produits sur Spotify, le service de streaming musical.

    7-ELEVEN

    C’est l’une des marques de beauté les plus inattendues de l’année, celle lancée par la marque de supérettes américaines 7-Eleven cet automne. Sa collection comprend 40 produits estampillés « Simply Me Beauty » et vise un public jeune et actif en mettant l’accent sur des prix limités et une vision très mode.

  • [#LUXURYLAB] [E-COMMERCE] | Les #marques de #luxe se #rebiffent contre les #plateformes #e-commerce |@ECOMMERCEMAG

    DE DALILA BOUAZIZ | ECOMMERCE MAG | http://bit.ly/2AF4bJH

    Les #marques de #luxe se #rebiffent contre les #plateformes #e-commerce

    La Cour de Justice de l'Union européenne a tranché en faveur des marques de luxe, dans une décision prise mercredi 6 décembre 2017. Celles-ci peuvent interdire à leurs distributeurs agréés de vendre leurs produits sur des plateformes e-commerce comme Amazon, au nom de la préservation de leur image.

    Les marques de luxe peuvent dorénavant interdire à leurs distributeurs agréés de vendre leurs produits sur des sites d'e-commerce tiers comme Amazon ou eBay. La Cour de Justice de l'Union européenne a en effet tranché favorablement dans un litige opposant le parfumeur Coty - qui détient les licences de Marc Jacobs, Burberry ou Cerruti notamment - à un de ses distributeurs allemands, dans une décision publiée ce 6 décembre, au nom de la préservation de l'image de sa marque et du prestige des produits vendus. Ce distributeur, Parfümerie Akzente, a intenté un recours contre l'interdiction qui lui a été faite contractuellement de revendre les produits de Coty sur la plateforme Amazon en Allemagne.

    Néanmoins, la Cour a précisé que les distributeurs agréés de Coty peuvent continuer à vendre sur Internet à la condition qu'ils utilisent leur propre site e-commerce mais ont pour interdiction de vendre en ligne les produits par l'intermédiaire de plateformes électroniques comme Amazon qui opèrent de façon visible à l'égard des clients.