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Promise Consulting [Luxury Blog] - Page 40

  • [#LUXURYLAB] [MAGASIN] | Fondation, #Eataly,...Ce que le groupe #Galeries #Lafayette veut faire dans le #Marais |@LSA

    DE JEAN-NOËL CAUSSIL | LSA | http://bit.ly/2yEX59t

    Fondation, #Eataly,...Ce que le groupe #Galeries #Lafayette veut faire dans le #Marais

    Les travaux avancent, dans le Marais, à Paris, où trôneront bientôt la Fondation du groupe Galeries Lafayette pour l'art contemportain et l'enseigne Eataly. Citynove, la foncière du groupe, organisait en ce jeudi 19 octobre 2017 une visite de chantier pour faire le point sur ces projets ambitieux.

    Costumes, tailleurs… et casques de chantier blancs sur la tête. Toute la journée du 19 octobre, les badauds déambulant dans les rues du Marais, à Paris, ont croisé de bien drôles de personnages, entre les rues du Plâtre et de la Verrerie. La faute à Citynove, foncière du groupe Galeries Lafayette, qui procédait à une succession de visite de chantiers. Chantiers au pluriel, puisque ce sont à la fois les sites de la future Fondation du groupe Galeries Lafayette pour l’art contemporain et de l’enseigne Eataly qui se trouvent en travaux, pour des ouvertures en 2018.

    Eataly, Galerie, Lafayette, Marais

    Deux projets d’envergure un peu fous qui, une fois terminés, transformeront en profondeur ce quartier de Paris. En bien, qu’on se rassure. En tout cas, le groupe a tout fait pour… L’idée principale est d’organiser une nouvelle percée, ouverte au public, entre les rues du Plâtre, Saint-Croix-de-la-Bretonnerie et de la Verrerie. Aujourd’hui, derrière chacune des façades, à l’abri de hauts murs gris, se cachent de magnifiques cours intérieures. Demain, tout sera ouvert au grand jour, le cheminement naturel engageant les piétons au gré de cette succession de jolies courettes.

    La Fondation du groupe Galeries Lafayette pour l’art contemporain s’étendra ici, sur 2500 m² et quatre niveaux. Quatre niveaux modulables avec un plancher mobile qui, selon les besoins, séparera chacun des étages ou, au contraire, ouvrira l’ensemble pour dégager la vue et, ainsi, mieux mettre en valeur les œuvres qui seront exposées. Des résidences d’artistes sont également prévues pour faire de ce lieu un endroit vivant où la culture s’expose et se conçoit en même temps.

    Sur place, les artistes s’exposent déjà. Depuis le début du chantier, à intervalles réguliers, des artistes ont pris possession des lieux. Le résultat ? Dix films pour autant de prestations artistiques projetées sur les murs en travaux.

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  • [#LUXURYLAB] [CONNECTE] | #Eram chausse ses #baskets #connectées |@LES ECHOS

    DE DOMINIQUE CHAPUIS | LES ECHOS | http://bit.ly/2gUXY3A

    #Eram chausse ses #baskets #connectées

    L’enseigne veut rester dans la course à l’innovation. Sur un marché en berne, où ses ventes souffrent, elle multiplie les projets.

    Baskets connectées, services personnalisés : Eram veut garder un coup d'avance dans un marché en berne. Depuis trois ans, les ventes de chaussures en France reculent chaque année.  Concurrence des pure players sur Internet, des griffes de mode ou du phénomène sneakers, « le marché est très dur », reconnaît François Feijoo, le PDG de la marque, propriété du groupe familial Biotteau (Gemo, Bocage, Mellow Yellow, TBS..), qui s'est récemment séparé de Tati. Leader de la chaussure en centre-ville, Eram n'a pas été épargnée. Son chiffre d'affaires a reculé de 3% en comparable en 2016, à 170 millions d'euros. « En 2017, entre janvier et septembre, notre activité est repartie, avec une progression de 3 % de ventes, alors que le marché est à -1 % », précise le dirigeant.

    Aussi, pour rester dans la course, malgré ses 90 ans, Eram parie sur les Millénials et cherche à rajeunir sa clientèle. La marque va, par exemple, lancer des baskets connectées. Une première sur ce marché. En fonction des tenues vestimentaires, elles changent de couleurs. Le procédé, présenté au dernier CES de Las Vegas, associe une bande de fibre optique tissée, développée par Brochier Technologies, reliée à une led multicolore. Cette dernière est alimentée par un module électronique dans la semelle.

    Une série limitée de 150 paires sera mise en place fin novembre dans son magasin du Forum des Halles à Paris. Le prix de vente a été fixé à 289 euros. « Cette basket va évoluer. Aujourd'hui, elle est tournée vers la mode, demain elle proposera d'autres services, c'est un début », assure François Feijoo. 

    Au rayon des innovations, Eram a aussi lancé  Atelier 27, des chaussures personnalisables. En une heure, les clientes peuvent obtenir une paire originale, en choisissant un talon à leur goût, imprimé sous leurs yeux en 3D. Présenté à Lille, Paris et Nantes, ce concept n'est toutefois pas encore en service de façon pérenne. « Eram a inventé en 1954 la semelle en plastique, « Plastifor », qui a révolutionné le secteur, reprend le dirigeant. Aujourd'hui, nous remettons l'innovation au coeur ».

    etam,baskets,connectés

    Dans le même temps, l'enseigne a restructuré son réseau de magasins, avec plusieurs dizaines de fermetures, afin de préserver sa rentabilité. D'autres ont été relocalisés dans les meilleures rues commerçantes, comme à Aix en Provence. Le nombre de points de vente est ainsi passé à 270 en France, contre plus de 300. Le chausseur a aussi quitté la Belgique, où il a clos ses 28 boutiques en janvier. Depuis il a ouvert 3 corners en Italie dans un grand magasin Coin. Et il s'est inscrit en mai sur la Boutique France de La Poste, afin  de tester le marché chinois. Une boutique présente sur Tmall Global, la filiale du géant chinois du e-commerce Alibaba.

    Les collections enfin, ont-elles aussi été retravaillées, avec un renouvellement plus rapide pour un prix moyen de 50 euros. « Compte tenu de la qualité du produit, nous offrons le prix le plus accessible du marché », estime François Feijoo. Icone en son temps de la publicité, avec son célèbre slogan « il faudrait être fou pour dépenser plus », Eram est  aussi présente sur les réseaux sociaux. L'enseigne réalise sur Internet déjà 10 % de ses ventes, soit quasi le double de ses concurrents.

  • [#LUXURYLAB] [DISTRIBUTION] | #Soi Paris se fait une place aux #Galeries Lafayette #Haussmann | @FASHION NETWORK

    DE LUCILE DEPREZ | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2hFefJv

    #Soi Paris se fait une place aux #Galeries Lafayette #Haussmann

    La toute jeune griffe féminine Soi Paris poursuit son développement. Après un an et demi d’existence, la marque ouvre un nouveau corner en cette mi-octobre, cette fois au 2ème étage des Galeries Lafayette Hausmann, au sein de l’espace créateur du deuxième étage.

    Entourée par des griffes comme Balzac Paris, Modetrotter ou encore Maison Labiche, Soi Paris, fondé par les sœur Julia et Aurélie Boutboul, présentera l’ensemble de son vestiaire féminin moyen de gamme, qui fait la part belle à l’imprimé.

    Soi Paris, Galeries Lafayette, Haussmann

    L’occasion aussi pour le duo de montrer les pièces qu’elles élaborent en collaboration avec d’autres créateurs. Après Maison Labiche et Bensimon, c’est au tour de la marque de bijoux faits main Cleopatra’s Bling de s’associer à Soi Paris pour une capsule de prêt-à-porter imaginée autour de l’univers du cosmos.

    La griffe féminine élargit ainsi son réseau de distribution puisqu’elle était déjà présente dans les grands magasins parisiens, à savoir au Printemps Haussmann et au BHV Marais. Soi Paris est par ailleurs vendu sur une vingtaine de marketplaces, dont La Redoute et L’Exception, et chez une dizaine de revendeurs physiques en France.

    Egalement adepte du format boutique éphémère, Soi Paris se teste depuis le mois de juillet avec un pop-up rue de Rennes, dans le VIème arrondissement de Paris, et ce jusqu'en janvier prochain. Depuis son lancement en avril 2016, la griffe des sœurs Boutboul a vendu plus de 3 500 pièces.

  • [LUXURYLAB] [E-COMMERCE] | #Cyrillus lance son #site de #seconde main | @FASHION NETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2zjhnmf

    #Cyrillus lance son #site de #seconde main

    Consciente que le marché de la seconde main a le vent en poupe, tant pour des raisons économiques qu'écologiques, l'enseigne familiale du groupe Cyrillus-Verbaudet lance son site de vente de produits de seconde main. Un plateforme communautaire, baptisée Seconde Histoire, qui vise à mettre en relation les particuliers souhaitant revendre certains articles de la marque Cyrillus avec de potentiels acquéreurs en recherche de bonnes affaires. Dans le secteur de l'habillement, Petit Bateau avait initié un projet similaire au printemps dernier, en lançant sa propre plateforme web d’occasions.

    "L’idée d’une mode pérenne, avec des produits à valeur d’usage importante, reste une valeur importante pour l’entreprise, expose Emmanuel Toulemonde, directeur général. Le site, hébergé chez nous et mis en ligne en cette rentrée 2017, permet à nos clients de revendre leurs articles de la marque. Cyrillus a la réputation que ses vêtements se transmettent parmi les fratries, c’est cette idée de faire circuler les produits, et de les recycler en quelque sorte, qui nous correspond".

    Seconde Histoire offre deux solutions de rémunération aux vendeurs : soit un paiement en cash sur sa cagnotte, selon le prix de vente fixé, soit un bon d’achat cadeau sur la collection actuelle, majoré de 50 % par la marque. De quoi inciter les clients à passer commande en retour sur l’e-shop classique. Seconde Histoire ne prend pas de commission, mais prélève toutefois entre 40 centimes et 3 euros de frais bancaires par transaction.

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    Toutes les catégories sont concernées, de la mode enfant à l’homme, en passant par la déco. Un secteur sur lequel l’entreprise accélère avec un nouveau format de boutique, liant plus intimement mode et maison.

    D’autre part, Cyrillus, qui fête ses 40 ans cette année, incite les consommateurs à donner leurs anciens vêtements de la marque en venant les déposer en magasin, pour une prise en charge par l’association Le Relais. Un geste qui permet là aussi l’obtention de bons d’achat.

  • [LUXURY LAB] [MAGASIN] | #Tiffany & Co. consacre un #pop-up store au lancement de son #parfum signature | @FASHION NETWORK

    DE RELAXNEWS | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2yfvDhQ

    #Tiffany & Co. consacre un #pop-up store au lancement de son #parfum signature

    Le célèbre joaillier Tiffany & Co. ouvrira les portes d'un pop-up store, du 21 au 29 octobre prochains, entièrement dédié au lancement de sa fragrance signature. Situé dans le Marais, au 21 rue du Bourg-Tibourg (Paris IVe), cet espace a été pensé comme un lieu de découvertes sensorielles, offrant aux visiteurs une immersion dans l'univers du parfum « Tiffany & Co. ».

    Tiffany & Co. lance ce mois-ci son parfum signature, un floral-musqué pétillant, véritable hommage olfactif et visuel au patrimoine du célèbre joaillier. Concoctée par le nez Daniela Andrier, la fragrance est « une interprétation contemporaine des ingrédients les plus nobles de la haute parfumerie traditionnelle », comme le souligne la maison fondée à New York en 1837.

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    Pour célébrer ce lancement, Tiffany & Co. ouvre un pop-up store dans le quartier du Marais à Paris durant une semaine. L'occasion pour le public de découvrir cette nouvelle fragrance, et de s'immerger dans l'univers de la maison de joaillerie. Les visiteurs pourront notamment se plonger dans la composition du parfum à travers un atelier interactif, apprécier la campagne publicitaire réalisée par Steven Meisel, et faire une pause dans la « Crystal Room », entièrement consacrée au flacon-bijou.

    Pour celles et ceux qui ne pourront se déplacer dans le pop-up store, Tiffany & Co. mettra en ligne une page Facebook dédiée, dès le 15 octobre, avec des vidéos et des photos permettant d'accéder virtuellement à ce lieu éphémère.

  • [LUXURY LAB] [ONLINE] | #JD.com launches #luxury #e-commerce #platform #Toplife | @STYLE

    DE VIVAN CHEN | STYLE | http://bit.ly/2i4D1GO

    #JD.com launches #luxury #e-commerce #platform #Toplife

    Chinese online retailer flexes its muscles in the luxury sector with the launch of its new site, Toplife, rivalling Alibaba’s Luxury Pavilion.

    Chinese e-commerce sites have been warring over who gets the biggest slice of the luxury sector. Following Alibaba’s launch in August of Luxury Pavilion – an e-commerce platform on its TMall shopping site dedicated to high-end, premier luxury brands the likes of Burberry, Hugo Boss and La Mer – JD.com has unveiled today its first-ever luxury online platform called Toplife. Alibaba Group is the owner of the South China Morning Post.

    The site is said to be “an exclusive full-price online shopping platform” that allows brands to sell directly to consumers through a luxury e-commerce ecosystem that incorporates online stores, premium customer service, delivery and marketing, and warehousing and inventory.

    “Our deep understanding of high-end consumers has enabled us to launch a luxury e-commerce ecosystem that provides a truly premium shopping experience, and helps partners tell their brand story to local consumers,” says Richard Liu, chairman and CEO of JD.com, in a statement. “Toplife aims to mirror the offline luxury shopping experience in a premium e-commerce experience.”

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    Toplife, a smart device application, is now available for downloading.

    So far, six luxury brands including La Perla, Rimowa, B&O Play, Trussardi and Emporio Armani have joined the Toplife platform. JD.com suggested in the statement that more brands will be joining the platform, including ones that will be launching their first ever online stores in China.