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Promise Consulting [Luxury Blog] - Page 31

  • [#LUXURYLAB] [MARCHE] | #Luxe : La #France et l’#Italie dominent le #marché #mondial | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2xDGnbk

    #Luxe : La #France et l’#Italie dominent le #marché #mondial

    Les grands groupes français continuent de dominer le marché mondial du luxe. Les leaders, comme LVMH, L’Oréal, Kering ou encore Hermès, représentent près d’un quart des ventes totales du Top 100 du secteur, selon le dernier classement annuel publié mardi par la société de conseil Deloitte [1].

    Estée Lauder devant Richemont

    Toutes nationalités confondues, les cent plus grosses entreprises du luxe dans le monde ont réalisé un total de 217 milliards de dollars de ventesau cours de la seule année 2017. LVMH, avec ses 70 marques (dont Louis Vuitton, Fendi ou encore Sephora), arrive en tête de ce palmarès basé sur le chiffre d’affaires. Le groupe de Bernard Arnault devance le groupe de cosmétiques américain Estée Lauder, qui était troisième dans le précédent classement mais qui a maintenant réussi à devancer le suisse Richemont

    La France compte un total de neuf groupes dans ce classement mondial, qui ont réalisé 24,3% des ventes totales comptabilisées. Kering (propriétaire de Gucci, Saint Laurent ou encore Bottega Veneta) arrive en cinquième position, stable sur un an, tandis que L’Oréal gagne une place et se classe sixième.

    Hermès, célèbre pour ses carrés de soie et ses sacs Birkin et Kelly, est douzième. Suivent Christian Dior Couture (26e), Clarins (32e), le groupe SMCP (Sandro, Maje, Claudie Pierlot, 52e), Longchamp (57e) puis Nuxe (94e).

    L’Italie en challenger

    L’Italie devance cependant la France si l’on considère le nombre d’entreprises placées dans ce Top 100 : la Péninsule en comptabilise pas moins de 24, de Luxottica (lunettes) à Prada ou encore Giorgio Armani.

    C’est en revanche une société canadienne, Canada Goose, célèbre pour ses parkas et doudounes, qui signe la croissance la plus forte, ses ventes sur son marché national ayant bondi de 63%.

    « En 2016, la croissance s’était vraiment tassée pour la vente de produits de luxe. 2017 est une bien meilleure année, et on s’attend à ce que 2018 soit très positive aussi », a résumé à l’AFP Bénédicte Sabadie, associée en charge du secteur Luxe chez Deloitte France. « C’est vraiment une tendance globale. Le tourisme a un poids très élevé dans la consommation de produits de luxe, et ce sont surtout les Chinois qui ont porté cette croissance en 2017 et vont continuer de la porter en 2018 : ils se sont mis à beaucoup consommer sur leur marché domestique, et par ailleurs ils se sont remis à voyager. »

  • [#LUXURYLAB] [VIVATECH] | Le groupe de #luxe #Richemont explore la #3D et la #réalité #augmentée pour vendre ses #montres en magasin | @LUSINEDIGITALE

    DE JULIETTE RAYNAL | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2KP9cmH

    Le groupe de #luxe #Richemont explore la #3D et la #réalité #augmentée pour vendre ses #montres en magasin

    Le groupe de luxe Richemont a récemment lancé une nouvelle marque de montre baptisée Baume. Les produits, disponibles en ligne, seront aussi commercialisés dans certains points de vente physiques. La marque entend se distinguer avec des expériences personnalisées grâce à la 3D et à la réalité augmentée.

    Comment une marque de luxe présente exclusivement sur Internet peut-elle réussir son lancement dans le commerce physique ? Baume, la nouvelle marque de montres du groupe Richemont, fait le pari des expériences digitales...en magasin. Sur le salon Viva Technology, qui se tient du 24 au 26 mai à Paris, l'horloger présente deux expériences d'achat, développées en partenariat avec deux start-up tricolores.

    La première, présentée par la jeune pousse Hapticmedia, propose au client de configurer sa propre montre à partir d'un grand écran tactile. L'intéressé peut choisir la taille du cadran, sa couleur, le type de cadre, la matière du bracelet, sa couleur, celle des aiguilles, etc. "Plusieurs milliers de combinaisons sont possibles", assure Henri Foucaud, fondateur et CEO de la start-up. Pour proposer cette personnalisation avancée, environ une année de collaboration a été nécessaire avec les équipes de Baume. "Notre travail a consisté à recréer une bibliothèque de matières puis à modéliser en 3D toutes les briques élémentaires des montres", précise Lionel Liebe d'Hapticmedia.

     UNE MONTRE EN RÉALITÉ AUGMENTÉE AU POIGNET

    L'expérience imaginée par la start-up ne s'arrête pas là. Une fois le modèle du client configuré sur grand écran, il a la possibilité de le visualiser en réalité augmentée et en taille réelle sur son poignet en utilisant son smartphone et une bandelette en papier. Un moyen de vérifier ses choix de personnalisation ou bien de les modifier. "Une fois sortie du magasin et en attendant la livraison de sa commande, le client pourra continuer à visualiser son modèle personnalisé en réalité augmentée et le montrer à son entourage", ajoute Henri Foucaud.

    Le second scénario a été développé avec la start-up Smartpixel. Ici, le client a la possibilité de configurer sa montre sur-mesure à partir d'un objet physique et non depuis un simple écran. L'expérience repose sur des montres en cire blanche sur lesquelles sont projetés les différents éléments. Pour mettre au point ce dispositif, la start-up a scanné les montres de Baume en 3D pour ensuite modéliser tous les éléments et leurs effets (métal, liège, etc). SmartPixel s'appuie ensuite sur le moteur de jeu 3D Unity pour permettre au client de configurer la montre de son choix.

    DES DIZAINES DE POINTS DE VENTE

    Dans un premier temps, Baume entend tester ces différents scénarios à travers quatre ou cinq points de vente qui verront le jour dans des concept-stores afin de viser un public relativement jeune et friand de nouvelles technologies. La marque ne précise pas, en revanche, si les deux start-up tricolores deviendront bien ses partenaires commerciaux. Baume espère ouvrir plusieurs dizaines de points de vente d'ici la fin de l'année.

     

     

  • [#LUXURYLAB] [ECORESPONSABLE] | Les #Galeries #Lafayette lancent l’#initiative #écoresponsable « Go For Good » | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2xa1XUp

    Les #Galeries #Lafayette lancent l’#initiative #écoresponsable « Go For Good »

    Portées par la volonté de tendre vers « un commerce plus engagé », les Galeries Lafayette annoncent le lancement du programme Go For Good, qui se concrétisera à la rentrée de septembre par un événement commercial réunissant 400 marques mode, beauté, maison et alimentaire.

    « La mode, qui est le cœur de notre activité, est devenue l’une des industries les plus polluantes. C’est une réalité, mais pas une fatalité. Nous sommes mobilisés pour une transition responsable depuis plusieurs années : Go For Good n’est pas un faire-valoir pour appuyer une stratégie de communication, mais une vraie politique d’entreprise », justifie Guillaume Houzé, directeur de l’image et de la communication des Galeries Lafayette, qui ajoute un troisième B à son slogan « rendre accessible le beau et le bon », avec le terme « bien ».

    Du 29 août au 10 octobre, le magasin du boulevard Haussmann abritera donc au 2e étage un pop-up de 300 mètres carrés garni de produits plus durables ou écoresponsables. Des articles portant la mention « Go For Good » seront aussi disséminés dans les corners des marques déjà installées. En outre, cette initiative sera déployée dans tous les magasins du réseau français : les plus grandes adresses accueilleront un pop-up, tandis que les autres unités présenteront çà et là des produits mis en valeur par cette signalétique mauve. « On ne souhaite pas être dans la sur-promesse avec des intitulés comme "bon pour la planète", les étiquettes indiqueront précisément l’atout du produit, comme "tannage végétal" ou "fabriqué en France" », expose Frédérique Chemaly, directrice des ressources humaines et du développement durable.

    Les équipes des Galeries Lafayette ont établi un cahier des charges pour déterminer quels labels pouvaient s’inscrire dans cette démarche, guidé par trois dimensions : l’impact sur l’environnement, le développement social et le local (fabrication française). « Dans un contexte où l’on entend beaucoup parler de greenwashing, nous nous sommes attachés à déterminer des critères les plus sérieux possibles et avons refusé des produits qui ne pouvaient avancer la preuve de leur caractère responsable, ajoute Frédérique Chemaly. Chaque objet n’est pas parfait dans tous les domaines, mais se distingue dans l’un d’entre eux. »

    Galeries, Lafayette, initiative, écoresponsable

    La marraine de ce mouvement est la créatrice Stella McCartney, qui a imaginé une collection dédiée et investira également les vitrines d'Haussmann. Certaines marques intégrant le mouvement sont déjà vendues aux Galeries Lafayette, comme Fjällraven, Saint James, Nike ou Le Slip Français, tandis que d’autres font leur entrée dans l’assortiment du grand magasin à cette occasion, à l’instar de Katharine Hamnett, Patagonia, Bethany Williams ou Dr.Hauschka et Oden côté cosmétiques. Claudie Pierlot y va d’autre part de sa capsule exclusive, tout comme Zadig & Voltaire, Agnès b. et Armor Lux.

    Pas question de se départir d’une vraie empreinte mode. « il est primordial de concilier style et durabilité, avance Fréderique Chemaly, avec un toujours ce rôle de sélectionneur et de prescripteur. On doit entraîner nos clients, convaincre, par de la pédagogie et une forme d’évangélisation ». Le personnel de vente sera formé dans ce cadre précis.

    Cet élan touche aussi les marques propres du groupe. Lancée en 2016, la collection de mode aux critères durables « Fashion Integrity » change de nom pour désormais s’intituler « Go For Good ». De nouvelles matières apparaissent la saison prochaine dans sa collection, comme le lin et le cachemire responsable, de même que le plastique recyclé. Et, pour la première fois, la ligne de décoration Absolument Maison adopte des matériaux plus responsables (coton bio et lin européen). De son côté, Louis Pion opte pour des bracelets de cuir au tannage végétal, tandis qu’une ligne d’anneaux en or recyclé prend place chez Guérin Joaillerie.

    Accompagnée de cycles de conférences et d'ateliers qui auront lieu à la rentrée, l’initiative Go for Good bénéficiera aussi d’une plateforme Web dédiée, recensant les marques partenaires et les initiatives du grand magasin. Les Galeries Lafayette entendent enfin pérenniser le mouvement en lançant d’autres événements dans les mois à venir.

  • [#LUXURYLAB] [COMMUNICATION] | #LVMH communique sur ses #magasins les plus "#green" | @FASHIONNETWORK

    DE TANISSIA ISSAD | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2J3zzba

    #LVMH communique sur ses #magasins les plus "#green"

    Inauguré en 2012, le programme Life (LVMH Initiatives For the Environment) vise à « élever la performance environnementale de LVMH et de ses maisons (…) en encourageant les innovations pratiques de chaque (marque) ». Pour promouvoir les initiatives en magasin, un mini-salon nommé Life in Stores s’est tenu pour la seconde fois le 17 mai 2018. A son issue, huit boutiques ont été récompensées d’un Life in Stores Awards.

    Ainsi, LVMH a tenu à indiquer que le prix « Envelope » (isolation du bâtiment) a été remis à la boutique Céline de Miami, qui se trouve dans le Design District. De son côté, le tout nouveau magasin Louis Vuitton de la place Vendôme à Paris s’est vu distingué par le prix « Building Service » (gestion de l’eau et de l’énergie). Il faut aussi préciser que le grand magasin du groupe de duty free DFS de Venise, ouvert en 2016 au sein de la Fondaco dei Tedeschi, a remporté le prix « Lighting Design », qui distingue la sobriété des éclairages.

    Cette remise de récompenses, organisée par le directeur général délégué, Antonio Belloni, et la directrice de l’environnement du groupe, Sylvie Bénard, a été l’occasion de rappeler la volonté de réduction des gaz à effet de serre de 25 % d’ici 2020 de LVMH.

    « La conception de nos magasins intègre les valeurs de créativité, d’innovation et d’excellence chères au groupe LVMH. Et cela passe bien sûr par le fait de garantir la performance environnementale de tous les magasins de nos maisons, dont le nombre atteint 4 370 dans le monde. C’est un vecteur de progrès considérable dans la poursuite de nos objectifs », a ainsi déclaré Antonio Belloni. Sylvie Bénard conclut : « La grille constituée (pour les Life in Stores Awards) a donné lieu à la mise en place de formations pour les architectes au sein de notre Académie Environnement, un impératif pour atteindre notre objectif de réduction de notre empreinte environnementale ».

  • [#PROMISE] [#LUXURYLAB] China's Factory Brands Threaten the Luxury Market #China #Luxury

    FROM JING DAILY | Ruonan SHENG | May, 14, 2018

    In China, who is and isn’t a copycat is open to interpretation.

    While many brands are actively struggling to clear counterfeit items from Chinese e-commerce sites, NetEase is now working directly with the manufacturers for brands like Gucci, Burberry, and Rimowa to produce unbranded items for its site, Yanxuan. They claim the quality of these items is the same as those from luxury brands, but at much lower prices.

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  • [#LUXURYLAB] [VENTES] | Les #Millennials représentent plus de #40 % des #ventes de #Cartier | @LESECHOS

    DE OLIVIER TOSSERI | LES ECHOS | http://bit.ly/2HPLPZe

    Les #Millennials représentent plus de #40 % des #ventes de #Cartier

    Cyrille Vigneron, président de Cartier International, se confie aux « Echos » sur la stratégie adoptée par le groupe horloger.

    Vous avez pris vos fonctions à la tête de Cartier il y a deux ans, quelle situation avez-vous trouvée ?

    A l'époque, le marché comme la maison étaient dans une mauvaise passe. L'horlogerie a été malmenée par deux phénomènes survenus coup sur coup en Chine. Car ce pays a été le moteur de la croissance, en faisant pratiquement doubler le marché. Ce qui a créé des besoins de capacité très forts et d'importants investissements de l'industrie pour éviter les pénuries, sur des produits de plus en plus chers.

    Le premier coup d'arrêt a été la campagne anti-corruption lancée par le gouvernement chinois. Une grande partie de la demande horlogère, en particulier masculine, a pratiquement disparu du jour au lendemain. Le deuxième choc a été la dévaluation de 25 % du renminbi en 2015-2016. Cela a entraîné une surabondance d'offre.

    Comment avez-vous réagi ?

    Il a fallu prendre des mesures structurelles très fortes. Cartier a été la première maison à le faire, avec une grande ampleur, en rachetant des stocks aux détaillants et en en détruisant une partie. Nous avons ensuite repositionné notre offre, en fonction de la demande, et ajusté notre production et notre politique de prix.

    L'autre grand chantier a été de faire le point sur le positionnement de la maison, son ADN. Que fallait-il arrêter, remettre en lumière, comment retrouver la force de nos icônes, en les adaptant ou pas. On a ainsi relancé notre montre bijou Panthère telle quelle. Notre autre modèle culte, la Santos, a été retravaillé. Au bout de deux ans, je constate que Cartier s'est redressé et que son territoire s'est redéfini. C'est une marque plus féminine que masculine ; bien qu'elle soit synonyme d'élégance pour les hommes, elle évoque la simplicité et l'exubérance.

    Comptez-vous ouvrir de nouvelles boutiques ?

    Non, nous allons conserver notre réseau à environ 300 boutiques. Elles sont bien réparties, notamment sur des marchés très dynamiques comme l'Asie et les Etats-Unis. Il n'y a pas d'ouvertures prévues dans les cinq années qui viennent, sauf si l'Inde s'ouvrait vraiment au luxe international. En revanche nous lançons un programme de rénovation très important, car nous avions besoin de moderniser nos magasins.

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    Qu'en est-il de la génération Millennials, qui est le coeur de cible du secteur du luxe ?

    Les Millennials [la génération née entre le début des années 1980 et le milieu des années 1990, NDLR] représentent 43 % de nos ventes. Donc Cartier séduit très bien la jeune génération. En Chine, ce taux atteint plus de 50 %. C'est surtout une question de répartition de la richesse, possédée par des générations plus matures en Europe, aux Etats-Unis et au Japon. En Chine, c'est l'inverse, avec une première génération d'entrepreneurs. La maison n'a pas de problèmes à séduire les Millennials car nos produits sont transgénérationnels.

    Il faut prendre garde à ne pas créer une catégorie particulière, et faire des « produits jeunes », avec une communication jeune pour les jeunes. Il faut une interaction appropriée avec cette cible, mais qui peut porter sur les mêmes collections qu'auparavant. Les jeunes Chinoises aujourd'hui achètent ainsi les mêmes produits que les jeunes Japonaises il y a vingt ans. La question est de rester pertinent pour toutes les générations.

    Quels sont donc les défis auxquels vous devrez faire face ?

    Pour l'ensemble de la profession, le défi est celui du recalage des maisons, tant pour leur distribution que pour leur outil industriel. Ca n'a pas encore été totalement fait. Même si la demande repart, il y a un risque de commettre les mêmes erreurs que par le passé. C'est une profession qui passe très vite de l'euphorie à la déprime et réciproquement.

    Avec ce redémarrage, la profession estime qu'elle est sortie de la crise mais il y aura certainement une nouvelle crise économique ou financière. C'est comme les tremblements de terre, plus le temps passe, plus la probabilité est grande. Il n'est pas certain que les enseignements de la crise passée aient été tirés. Il faut intégrer les attentes des clients par rapport à l'horlogerie. Elles ont évolué.

    Ils sont plus exigeants. Il faut à la fois clarifier et améliorer notre offre. Cela nécessite un outil industriel flexible, pour continuer à innover. Une des tendances de l'horlogerie a été de se penser comme un marché de nouveautés, alors que tout le monde faisait la même chose, d'où sa banalisation. Il faut que les maisons retrouvent une identité claire, sans quoi les nouvelles générations préféreront acheter une montre connectée. C'est un défi collectif, mais Cartier est bien armé pour le relever.