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luxe - Page 15

  • #Digital : les marques de luxe encore à la traine [#contactlab #lsa #luxe]

    #ContactLab s'est penché sur la maturité des marques de luxe dans le digital. Peu avancées pour la majorité d'entre elles sur le sujet, certaines se démarquent tout de même depuis quelques années par des intiatives originales, et qui s'avèrent payantes.

    Le digital est-il le nouvel eldorado des marques de luxe ? Selon l’étude « The digital and Physical Integration : Luxury Retail’s Holy grail », menée par ContactLab avec Exane BNP Paribas, il serait du moins l'une des niches les plus rentables pour les marques de luxe aujourd'hui, . En effet, les consommateurs qui achètent des produits de luxe à la fois en boutique et sur internet dépenseraient environ 50% de plus par an par rapport aux clients qui ne vont qu’en boutique. Pour autant, les marques de luxe sont toujours à la traîne pour offrir un service qui gère l'activité à la fois online et offline. Malgré le fait qu'il ne représente encore qu'un modeste pourcentage des ventes, le digital devrait amener le marché du luxe à croitre de 40% sur la période 2016-2020. L’expérience d’achat pour le client a évolué et les clients cherchent l'interaction  avec les marques à la fois en magasin et sur le Web.

    Plus de marge grâce au Web

    Le consommateur moderne est tout à son aise dans le monde digital et attend la possibilité de dépenser plus en ligne. Avec le développement de la technologie, les meilleures marques de luxe sont en mesure de profiter des technologies établies qui sont accessibles à partir d'une gamme de fournisseurs de services. Les ventes digitales favorisent également une marge plus élevée et des coûts inférieurs, tels que le loyer ou le personnel. Selon l’étude de ContactLab – qui a effectué 61 visites en boutique à New York -, il existe une contraste net entre une poignée de marques telles que Ralph Lauren, Bergdorf Goodman et Burberry qui ont réussi à réaliser une expérience multicanale continue et, d’autres, plus en retard comme Gabana, Dior ou encore Saint-Laurent.

    Optimiser les synergies entre Web et physique

    ContactLab s’est penché sur la manière dont le digital est mis à profit pour tirer le meilleur du trafic en boutique et a constaté que les clients qui ont un engagement digital avec la marque, dépensent plus en boutique. Fournir une intégration transparente entre le PDV en ligne et hors ligne ouvre des opportunités de ventes croisées, soit à partir de la boutique en ligne et inversement : lorsque les produits sont en rupture de stock, les clients ont la possibilité de commander en ligne en boutique et de recevoir leurs achats à la maison, ce qui augmente le taux de conversion et, en fin de compte, les ventes. Burberry est un bon exemple de synergie entre les opérations en ligne et hors ligne avec le « click & collect » représentant déjà 15% des ventes en ligne de Burberry.

    L'étude a également examiné quelles marques promeuvent leur activité e -commerce grâce à des promotions en boutique, avec  Bergdorf Goodman et Saks en tête,  tandis que 70% du panel semble être en retard. Globalement, les marques sont dans les premières étapes de l'intégration digitale et physique, et de nombreuses marques de luxe doivent faire face au défi de mettre en place de nouveaux dispositifs technologiques afin d’améliorer l'expérience d’achat client. Tout reste à faire et les marques de luxe ont une belle marge de progression devant elles.

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  • Les soubresauts du #luxe : 7 défis selon Michel Roulleau, ex. dirigeant des #GaleriesLafayette

    Michel Roulleau, figure de l'enseigne de grands magasins, vient de quitter le groupe dirigé par Philippe Houzé. Il a créé Michel Roulleau SAS pour conseiller marques et enseignes.

    Le ralentissement marqué des ventes de produits de luxe dans le monde, conséquence de tensions politiques et économiques fortes, aura au moins l’intérêt d’imposer une réflexion à une industrie du luxe dominante grâce à ses progressions « double digit » pendant de longues années.

    Car, si les nouveaux riches, issus des pays à forte croissance ou en phase de décollage économique, sont toujours plus nombreux, les marques seraient bien inspirées de faire un « stop » afin de pouvoir re-déclencher un « go » durable.

    L’industrie du luxe (comme beaucoup d’autres) a dû faire face à de nouveaux défis que la croissance folle de certains marchés lui a permis d’ignorer ou de reporter aux calendes grecques pendant de nombreuses années.

    Au moment où la Fashion Week se termine à Paris, il est intéressant de se questionner sur le sens de ces grand-messes biannuelles et de comprendre à quoi peuvent servir ces événements toujours plus fastueux qui creusent le fossé entre des professionnels soucieux de garder leurs « privilèges » et des clients qui se rapprochent toujours plus des marques et des produits.

    Le luxe doit-il garder son caractère mystérieux et aspirationnel en se repliant sur lui-même au risque d’être en décalage avec les attentes exprimées des consommateurs ?

    Dans tous les cas de figure, il n’est aujourd’hui plus possible d’éviter de répondre à certaines problématiques de fond. J'en ai retenu six !

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  • #BMW compte rester le numéro un mondial des voitures de luxe [#luxe #salon #Genève]

    GENEVE, 1er mars (Reuters) - BMW entend rester le leader mondial des voitures de luxe devant ses compatriotes Mercedes-Benz et Audi, a déclaré mardi le président du directoire du constructeur allemand au salon de Genève.

    "Notre objectif est d'être numéro un", a dit Harald Krüger, ajoutant s'attendre à une légère progression des ventes de BMW cette année en raison de sa croissance en Chine et en Europe.

    Le lancement d'une version longue du BMW X1 en Chine devrait contribuer à une hausse des ventes dans ce pays au second semestre, ce qui devrait se traduire par une légère croissance des ventes en Chine sur l'ensemble de l'année, a déclaré Harald Krüger.

    Les ventes en Europe devraient pour leur part augmenter de 5% à 10%, a-t-il poursuivi.

    Les nouvelles règles européennes sur les émissions polluantes vont contraindre BMW à effectuer d'importants investissements, qui se chiffreront en centaines de millions d'euros, a dit le président du directoire du constructeur bavarois.

    BMW est engagé dans des discussions constructives avec le gouvernement allemand sur les moyens de développer les ventes de véhicules électriques et la prochaine séance de négociations se déroulera d'ici fin avril, a-t-il ajouté.

    Interrogé au sujet de l'éventualité d'une sortie de la Grande-Bretagne de l'Union européenne, Harald Krüger a répondu: "De manière générale, nous n'aimons pas effectuer des investissements dans des circonstances incertaines." Il a souligné que ces propos ne devaient pas être interprétés comme une indication sur la stratégie de BMW en Grande-Bretagne. (Edward Taylor; Bertrand Boucey pour le service français, édité par Véronique Tison)

  • Don’t discount China’s appetite for luxury goods [#China #luxury #Gucci]

    The domestic Chinese market for luxury goods may be struggling, but investors shouldn’t discount the huge amount of high-end products Chinese tourists buy, as the forecast-beating results from Kering – owner of Gucci – testify.

    Luxury goods maker Kering gave the markets a pleasant surprise on Friday as earnings at its flagship Gucci luxury brand thrashed expectations and raised hopes of more good things to come as more new designs are set to be introduced this year.

    Gucci revenue advanced 4.8%, compared with the 1.5% growth analysts anticipated – the brand’s strongest result in three years. However, while the company reported that conditions in Hong Kong and Macau (China’s luxury market bellwethers) were still lacklustre, there is hope for the sector more broadly.

    The domestic Chinese market for luxury goods may be struggling, but investors shouldn’t discount the huge amount of high-end products Chinese tourists buy.

    Indeed, they spent $116.8 billion (£87 billion)) on luxury when abroad in 2015, according to China Daily.

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  • Les ventes de #Prada stagnent en 2015 [#chine #luxe #italie]

    (Boursier.com)Prada n'a pas été épargné par le ralentissement économique chinois ainsi que par la campagne anti-corruption dans le pays. Le groupe de luxe italien a vu son chiffre d'affaires consolidé reculer de 0,2% sur l'exercice clos fin janvier, à 3,54 milliards d'euros. Un niveau en ligne avec les attentes des analystes. L'affaiblissement du yuan et une évolution du goût en faveur de produits plus abordables ont également pesé sur les ventes aux touristes en visite à Hong Kong, entre novembre et janvier.

    [RETROUVER LA BREVE SUR BOURISER.COM]

  • Le prêt-à-porter de luxe de retour à Téhéran [#iran #luxury #asia-pacific]

    Mariam PIRZADEH , correspondante en Iran France 24

    Roberto Cavalli est parmi les premières enseignes de luxe occidentales à ouvrir une boutique à Téhéran depuis 1979. L’enseigne italienne a pris ses quartiers dans le nord très huppé de la capitale iranienne. France 24 était à l’inauguration.

    Vers 19 heures, ce mercredi 17 février, la foule arrive d’un coup, par petits groupes. Presque dans le silence tant leur surprise est palpable. Il y a d’abord eu les premières interrogations : est ce la vraie marque ? Difficile encore pour certains de croire que ce magasin Cavalli qui ouvre ce soir est le même qu’à Milan ou Paris tant depuis 37 ans, les fausses enseignes sont légion à Téhéran. À tel point, que les grands groupes internationaux de luxe qui affluent depuis un an pour prospecter  en République islamique en sont presque amusés.

    "Je vais pouvoir désormais acheter dans mon pays"
    Les serveurs distribuent petits fours et jus de fruits. Ils cherchent à se frayer un chemin dans cette foule triée sur le volet. Un petit groupe d’amies, très concentrées, s’attardent sur la collection de robes. "Cela montre que l’Iran s’ouvre. Avant, je ne faisais jamais de shopping ici. Maintenant, je vais pouvoir acheter dans mon pays" s’enthousiasme Nazanin, 34 ans. La jeune femme fait partie de cette nouvelle génération d’iraniens favorisés qui a l’habitude de voyager et apprécie de voir son pays s’ouvrir sur le monde.

    L’inauguration de la boutique Cavalli marque le retour du luxe à l’occidentale en Iran, après des années d’une campagne officielle de boycott visant à préserver "l’identité iranienne". Un filon que la marque italienne a voulu exploiter avec ces 360 mètres carrés, une des surfaces de vente les plus importantes du groupe. La marque a pourtant mis du temps à s’installer. Un long processus commencé un an avant l’accord sur le nucléaire iranien. Il aura fallu près de deux ans de pourparlers et de travaux pour permettre à cette tête de pont du luxe italien de s’installer ici.

    (...)

    Juste à côté de Cavalli, une autre boutique est encore en travaux. Versace, autre grand nom du prêt à porter italien, devrait ouvrir d’ici un mois, assure, confiant, l’un des partenaires italiens de cette aventure. L’arrivée d’autres grands groupes est annoncée pour les prochains mois. Le français LVMH, notamment, est encore en prospection. "Une boutique Dior en plein Téhéran, ce sera une réalité dans les cinq ans à venir", nous confiait il y a quelques mois le président de la chambre de commerce franco-iranienne.

    [LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]