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1- Actu - Page 33

  • [#LUXURYLAB] [MARQUE] | #Hilfiger #Denim se rebaptise #Tommy #Jeans | @FASHIONNETWORK

    DE OLIVIER GUYOT | FASHION NTEWORK | http://bit.ly/2ztEwWz

    #Hilfiger #Denim se rebaptise #Tommy #Jeans

    « Same Fits, Same Favourites, New Name ». A croire son slogan imaginé pour l'occasion, on pourrait croire qu'en changeant le nom de son label Hilfiger Denim en Tommy jeans, Tommy Hilfiger ne réalise qu'une action cosmétique.

    Mais avec cette évolution, la marque affirme au passage son ambition « de débloquer de plus grandes opportunités de croissance et d'avoir une attention plus grande pour une nouvelle génération de consommateurs ». Et Avery Baker, le Chief Brand Officer de Tommy Hilfiger, souligne que cette transition cible particulièrement les jeunes Millenials et la génération Z au niveau global.

    Tommy Hilfiger avait d'abord livré une capsule colorée avec le nom Tommy Jeans cet automne, jouant avec les archives de la marque. Cette fois, le nom s'impose à la place d'Hilfiger Denim pour la collection pre-spring 2018, même si les capsules héritage continueront d'être livrées.

    Hilfiger Denim, Tommy Jeans

    Cette première collection avec le nouveau nom est aussi bien moins classique que les précédentes propositions d'Hilfiger Denim. Le colorama est plus vif et volontairement, le lookbook présenté joue avec les codes du streetwear et s'amuse des empilements de couches.

    Hilfiger Denim est aujourd'hui proposée dans les magasins Tommy Hilfiger, mais aussi dans les grands magasins et dans les magasins spécialistes du denim, ou dans des réseaux généralistes. Tommy Hilfiger fait partie du groupe PVH Corp.

  • [#LUXURYLAB] [E-SHOP] | #Acqua di Parma lance son #e-shop sur le #marché #français | @FASHIONNETWORK

    DE SARAH AHSSEN | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2hxY2GR

    #Acqua di Parma lance son #e-shop sur le #marché #français

    Acqua di Parma a ouvert les portes de sa boutique en ligne sur le marché français. Présente dans l’Hexagone depuis une vingtaine d’années, la griffe de beauté fondée en Italie en 1916 y est aujourd’hui distribuée via 150 points de ventes, tels que le sélectif ou les grands-magasins, mais également sa boutique parisienne du Marais.

    Outre une accélération des ventes, l’ambition de cette nouvelle plateforme, déclinée dans une vingtaine de pays européens, est de « faire partager un excellent service client en ligne », souligne Fabien Petitcolin le directeur général France d’Acqua di Parma.

    Le site a été conçu pour une navigation multi-supports (ordinateur, tablette et portable) et propose toutes les collections Acqua di Parma : fragrances, eaux de Cologne, produits de beauté et de rasage, produits d’intérieur et même articles de maroquinerie.

    Acqua di Parma, e-shop, marché, français

    Acqua di Parma, qui a ouvert sa première boutique à Milan en 1998, compte également des boutiques à Rome, Milan, Miami et donc Paris. La France représente d’ailleurs 10% des ventes de la griffe italienne entrée dans l’escarcelle du groupe LVMH en 2001.

    En 2016, la division parfums et cosmétiques de LVMH, qui regroupe notamment Guerlain, Kenzo, Givenchy, Benefit ou Parfums Christian Dior a réalisé un chiffre d‘affaires de 4,95 milliards d‘euros, en croissance de 8%. Les parfums représentent 38% des ventes de la division.

  • [#LUXURYLAB] [ENGAGEMENT] | #LVMH concilie #luxe et engagement #durable avec Cha Ling |@PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE KRISTEL MILET | PRENIUMBEAUTYNEWS.COM | http://bit.ly/2xQcXCr

    #LVMH concilie #luxe et engagement #durable avec Cha Ling

    Contribution à la préservation d’une forêt millénaire d’arbres à thé au Yunnan, traçabilité des ingrédients, certification bio de la matière première (le thé Pu’Er), engagement contractuel avec les populations locales pour leur garantir un revenu stable, écoconception des emballages … la jeune marque Cha-Ling Esprit du Thé, formulée par la Recherche LVMH et incubée par Guerlain est « née d’un rêve écologique » comme l’exprime Élodie Sebag, Directrice Générale.

    L’idée est venue au cours d’un voyage il y a 5 ans de Laurent Boillot, président de Guerlain, dans le Yunnan en Chine, berceau originel du thé. Touché par la beauté et la richesse de la biodiversité de la forêt de Xishuangbanna, un écosystème menacé de déforestation, il souhaite alors s’engager aux côtés du biologiste Josef Margraf et de sa femme Minguo-Li pour la sauvegarde de ce patrimoine millénaire abritant le très vénéré thé Pu’Er. Il choisit de créer une marque à partir de cet ingrédient précieux au fort pouvoir antioxydant, dont une partie des revenus servirait à la reforestation de cet endroit tel qu’il était à l’origine, avec un écosystème diversifié. 

    À l’instar du vin, le thé Pu’Er a la particularité de se bonifier avec le temps. Il se laisse vieillir en cave pendant plusieurs dizaines d’années, et change de profil phytochimique au cours de sa maturation. Au delà de son fort pouvoir antioxydant, il vient développer en vieillissant des molécules complémentaires à l’action anti-âge. À partir de ces éléments, il y eut 3 années de recherche avec les laboratoires LVMH pour sélectionner les arbres à récolter et développer des formules alliant deux types de thés, du thé frais récolté chaque année et du thé âgé minimum de 4 ans.

    « Les produits ont été développés selon le fil rouge du développement durable avec une charte formulatoire stricte, pas de parabènes, ni sulfates, ni silicones bien qu’il y ait un fort niveau sensoriel  », assure Élodie Sebag. Les formules sont composées de 85 % à 99% d’ingrédients verts, les packs en verre sont allégés de 25% en poids et en volume, il n’y a pas d’emballage extérieur mais une solution inspirée du Furoshiki, une technique japonaise traditionnelle d’emballage en tissu. Les crèmes et bientôt les fluides sont également proposés en contenants céramiques réalisés à la main à Limoges pour une version rechargeable.

    LVMH, luxe, engagement, durable, Cha Ling

    « Nous avons enfin sponsorisé le projet Tea Garden au Yunnan et déjà replanté plus de 100000 théiers à ce jour », ajoute Élodie Sebag.

    Bien que la totalité des produits soient fabriqués dans l’usine Guerlain à St Jean de Braye, la volonté de Cha Ling était de se positionner comme une marque franco-chinoise dans sa globalité. « Très en amont nous avons souhaité et c’était important, intégrer dès le développement toute la culture chinoise et non pas seulement utiliser un ingrédient  », explique la directrice.

    La gamme intègre à la fois les soins mais également des rituels issus de la médecine traditionnelle chinoise pour la gestuelle d’application, et bien sûr tout un environnement autour de la cérémonie du thé Puer, certifié bio (tasses, théières en céramique). Lancé simultanément en janvier 2016 en France, au Bon Marché, à Hong Kong avec un point de vente en propre et en e-commerce, Cha Ling est maintenant présent depuis juillet à Shanghai avec une nouvelle boutique.

    La marque construit progressivement sa notoriété de manière ciblée par le biais du digital (Instagram, plateformes, Birchbox …) ainsi qu’un programme porté par des micro-influenceuses du secteur beauté ou lifestyle. « Nous sommes, après un an et demi d’existence, à plus de 20% de ré-achat sur les 3 pays », se réjouit Élodie Sebag.

    « Cha Ling est à la croisée de différentes tendances, le bien être, le retour aux médecines traditionnelles, notamment chinoise, et bien sûr le green. Elle séduit différents publics avec des points d’attraction différents, l’esprit global de la tradition chinoise en France et le savoir faire made in France en Chine. Enfin, elle offre toute l’efficacité LVMH pour un achat qui fait sens », conclut-elle.

  • [#LUXURYLAB] [POP-UP] | #Nuxe ouvre son premier #pop-up store au coeur de #Paris | @FASHIONNETWORK

    DE AFP | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2z7nDk0

    #Nuxe ouvre son premier #pop-up store au coeur de #Paris

    (Relaxnews) - La marque de cosmétiques Nuxe ouvrira les portes, le 15 novembre prochain, de son premier pop-up store dans le 1er arrondissement de Paris. Cet espace entièrement dédié à la beauté et au bien-être abritera l'ensemble des produits de la marque et proposera des ateliers et des animations pendant trois mois.

    Situé au numéro 32 de la rue Montorgueil, juste à côté du spa parisien de Nuxe, cet espace éphémère s'étend sur une quarantaine de mètres carrés. La façade ornée de fleurs blanches et or attendra, dès le 15 novembre, le public, qui sera ensuite accueilli dans un espace décoré de bois clair et de teintes bronze cuivrées pour la touche cosy et cocooning

    NUXE, pop-up, Paris

    L'offre Nuxe sera bien évidemment mise en avant, tandis qu'à l'arrière du pop-up store, chacun pourra participer à un atelier « Do it yourself », permettant de personnaliser ses coffrets cadeaux avant d'y renfermer des soins et autres produits de beauté. Pendant trois mois, l'espace proposera d'autres ateliers animés par des intervenants extérieurs. Il s'agira d'améliorer sa posture, et de se relaxer à travers diverses techniques. Nuxe proposera un agenda en ligne (www.nuxe.com) dès mi-novembre pour tenir ses clients informés des animations à venir.

    Un test retail pour la marque qui est vendue en France dans ses spas, en distribution sélective, mais surtout dans le réseau pharmacie et parapharmacie.

     

  • [#LUXURYLAB] [MARCHE] | #Kusmi Tea lève 20 millions d'euros devenir numéro 1 mondial du #thé #premium | @CHALLENGES

    CHALLENGES | http://bit.ly/2A15ukG

    #Kusmi Tea lève 20 millions d'euros devenir numéro 1 mondial du #thé #premium

    Le groupe alimentaire français haut de gamme Orientis, notamment propriétaire de la marque de thés Kusmi Tea, a annoncé mardi avoir levé 20 millions d'euros auprès d'un fonds franco-américain. La levée auprès de NextWorld Evergreen, basé à San Francisco, "laisse une large majorité à Orientis", assure dans un communiqué le groupe français qui vise à devenir "le numéro un européen puis mondial du thé premium".

    Orientis développe une image haut de gamme pour ses produits. Le groupe détient non seulement Kusmi Tea, maison de thé centenaire rachetée en 2003, mais aussi les marques Lov Organic, spécialisée dans les infusions et thés bio, ainsi que Marlette, qui vend des préparations toutes faites pour pâtisserie.

    Le storytelling raconté à l'envi veut que Sylvain Orebi et son frère soient tombés dans la marmite du thé un peu par hasard. Les deux hommes sont alors des "gringos" qui voyageaient dans les pays producteurs de café pour acheter à des producteurs latino-américains, asiatiques ou africains leurs productions. En 2001, les frères Orebi rachètent la société havraise Olivier Langlois qui importe du café. Et ils découvrent que celle-ci faisait aussi du thé. Convaincu du potentiel de croissance inexploité du marché, Sylvain Orebi cherche la pépite qui pourrait faire décoller son business. En 2003, il la trouve dans une arrière-cour du XVIIème. Kousmichoff, la belle endormie, semble attendre son Prince charmant.

    Kusmi Tea, thé premium

    Sylvain Orebi avait raconté à Challenges qu'à moyen terme "nous aurons besoin de 15 à 25 millions d'euros pour notre croissance à l'international" reconnaît l'ancien "gringo" qui n'entendait pas "faire entrer de grands fonds mais plutôt des personnes qui ont la même vision du développement de l'entreprise".

    L'entreprise est toujours dirigé par les frères Orebi qui conservent une majorité au capital après 5 levées de fonds pour 28 millions d'euros auprès du fonds d'Audacia, présidé par Charles Beigbeder, qui détient environ un tiers de l'entreprise et donc le fonds NextWorld Evergreen.

  • [#LUXURYLAB] [MAGASIN] | #Ba&sh a ouvert ses premières #boutiques #américaines | @FASHIONNETWORK

    DE ANAÏS LEREVEREND | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2xMF3hN

    #Ba&sh a ouvert ses premières #boutiques #américaines

    Depuis la prise de participation de L Capital (Groupe Arnault et groupe LVMH), Ba&sh se donne les moyens de ses ambitions. Alors qu'elle vise un chiffre d'affaires de 115 millions d'euros en 2017, en hausse de 20 % environ, la griffe féminine parisienne a enclenché son internationalisation à vitesse grand V. Pour faire grandir l'export, qui pesait jusque-là pour un tiers des ventes et s'appuyait quasi exclusivement sur le continent européen, Ba&sh a lancé deux chantiers à la fois : l'Asie et les Etats-Unis.

    Alors qu'elle a lancé l'offensive asiatique plus tôt dans l'année, c'est cette fois outre-Atlantique que la griffe de luxe accessible investit. Après avoir amorcé en 2016 son entrée aux Etats-Unis avec l'ouverture d'une dizaine de corners chez Neimann Marcus, elle confirme ses intentions avec l'ouverture de boutiques en propre.

    La première a ainsi ouvert ses portes début septembre à Miami, en Floride, dans le quartier du shopping haut de gamme recherché qu'est le Miami Design District, un investissement pour positionner la griffe sur le segment premium puisqu'elle y est voisine de Dior ou Hermès.

    Ba&sh, boutiques, américaines

    Une première boutique américaine suivie de près par la seconde, à New York Downtown, au numéro 403 de Bleecker Street. Une boutique qui se fond dans les codes industriels des bâtiments new-yorkais et qui ne restera pas longtemps la seule adresse de Ba&sh à Manhattan. En effet, la griffe a déjà trouvé un second emplacement pour la fin d'année, « uptown » cette fois, dans le quartier d'Upper East Side sur Madison Avenue.

    La marque française, qui finalise également une signature à Los Angeles toujours pour la fin de l'année, compte ensuite ouvrir des adresses en propre au compte-gouttes, privilégiant une approche omnicanale équilibrée du marché américain. Elle cible ainsi de nouveaux grands magasins partenaires pour 2018, les internautes, avec un site dédié aux Américaines qui sera remanié pour le premier trimestre, mais aussi les multimarques pointus. Ba&sh a ainsi exposé récemment sur les salons Coterie à New York et LA Fashion Market pour tisser un réseau sélectif de revendeurs haut de gamme.

    « Cette offensive américaine est également appuyée par des investissements marketing forts », précise Pierre-Arnaud Grenade, le directeur général. « Nous faisons notamment appel à une agence de célébrités, entre autres, pour nous permettre de gagner rapidement en notoriété dans un pays qui a une résonance mondiale intéressante », ajoute-t-il.

    Ce déploiement a été confié par la griffe à une ex-collaboratrice de The Kooples, Sarah Benady, nommée début 2017 à la tête de la nouvelle filiale nord-américaine de Ba&sh.