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  • Will the #luxury market’s #exclusivity always rail against the inclusivity of #digital?

    THE DRUM, 18 MARCH 2016 - 8:45AM UPDATED | POSTED BY SEB JOSEPH

    There’s a philosophical shift in what luxury products mean to people that’s causing brands to grapple with whether they can remain exclusive in a world where they are expected to be more accessible.

    Luxury is becoming democratised, as it becomes less about product and more about experiences. While some brands are recalibrating their businesses to exploit that shift there are others still assessing whether they should balance exclusivity with inclusivity in order to survive.  

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  • Diverse #Miami #Retail Scene Continues to Attract #Luxury #Brands

    Everybody wants a piece of the Miami luxury market.

    Aventura Mall, the third-largest shopping center in the U.S. with 2.7 million square feet, has been adding luxury brands to its mix. Givenchy and Gucci will bow in the summer and fall, respectively. St. John and 120 percent Lino, an Italian brand of linen apparel for men, women and children, recently opened.

    Aventura in 2017 will add a new three-level, 315,000-square-foot wing. The Carlos Zapata-designed extension will have a rooftop garden and VIP concierge area.

    Due to its size, Aventura has a broad array of tenants, the majority of which are not high end. The center, which is anchored by Nordstrom, Macy’s and Bloomingdale’s features other luxury brands including Louis Vuitton, Cartier, Tiffany & Co., Burberry, Fendi, Bally and Emilio Pucci.

    The competition in Miami started heating up in 2012 when Louis Vuitton, Céline, Emilio Pucci and Christian Dior closed their stores at the Bal Harbour Shops and relocated either to Miami’s Design District or Aventura Mall. Hermès, which also defected, operated a temporary store in the Design District before unveiling its 10,000-square foot flagship there last year.

    While several luxury brands operate more than one unit in Miami, the city’s tourist trade has been dented by the strong U.S. dollar, Brazil’s economic downturn and Russia’s prolonged recession. Tourists from Brazil and Russia have been conspicuous consumers of luxury and contemporary goods.

    Jackie Soffer, co-chairman and ceo of Turnberry Associates, owner and manager of Aventura Mall, said the property attracts 28 million visitors a year. “We cater to a much larger audience,” she said, referring to other retail venues. “If you’re selling a $5 million ring, you may not need that. We have a lot of customers buying $10,000 or 20,000 handbags.

    “Tourism is down in Miami,” she added. “The Brazilian market hasn’t been as strong. We’re getting a lot more U.S. tourists. That’s made up for it a bit.”

    “It will be interesting to see what gets built and what works,” Craig Robins, the primary landlord in the Design District. “Some projects will succeed and some won’t do as well. Miami’s such a big, powerful market; there’s room for retailers to have more than one location.”

    The district is owned by Miami Design District Associates, a partnership between Dacra and L Real Estate, a global real estate development and investment fund, General Growth Properties and Ashkenazy Acquisition Corp.

    Bal Harbour Shops wants to expand with a new wing that would nearly double its size to 850,000 square feet. Whitman Family Development, which owns Bal Harbour Shops, needs voter approval for a land swap deal in order to go forward with the plan.

    New construction in Miami includes the 500,000-square-foot Brickell City  Centre, which will be anchored by Saks Fifth Avenue. It’s part of a $1.05 billion, 5.4 million-square-foot, mixed-use Brickell project that’s being developed by Swire Properties Inc., Whitman and Simon. Valentino, Chopard, Guiseppe Zanotti, Bally, Kiton, Vilebrequin and La Perla are among the retailers expected to bow in the fall.

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  • Le Luxe en Chine s'invite au Printemps des Etudes : Inscrivez-vous !

    Inscrivez-vous en avant-première à la Conférence d’ouverture Parole d’Expert

    « Luxe et Chine : enjeux et perspectives pour les marques françaises »

    Pr Philippe Jourdan, associé Promise, professeur des Universités

    Chunyan Li, auteur de « Réussir sur le Marché Chinois », éditions Eyrolles

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    Malgré une conjoncture difficile et une croissance ralentie depuis 2011, La Chine reste-t-elle un eldorado pour les marques de luxe françaises ? Quelles sont les enseignements à retirer de la crise actuelle pour le repositionner sa stratégie, sa communication, sa distribution et son offre ? La lutte contre la corruption affecte-t-elle durablement le secteur du luxe en Chine ? Comment séduire la 3ème génération d’acheteurs de luxe en Chine ?  Quelles sont les marques les plus exclusives et désirables aujourd’hui en Grande Chine ?

    Philippe Jourdan, expert en études marketing et accompagnateur de grandes marques de luxe, et Chunyan Li, sinologue et auteur de « Réussir sur le marché Chinois »,  répondront à ces questions et échangeront avec vous dans le cadre de la conférence d’ouverture du cycle Parole d’Expert, au Printemps des Etudes, Palais Brongniart,  Métro Bourse, Paris 75009,  le JEUDI 14 AVRIL 2016 entre 8h30-10H00.

     

    RESERVEZ DES MAINTENANT VOTRE PRESENCE AUPRES DE :

    valerie.jourdan@promiseconsultinginc.com

     

    En raison du nombre limité de places, une validation préalable de votre inscription vous sera envoyée par mail pour confirmation. Vous aurez également un accès VIP aux autres ressources du Salon Le Printemps des Etudes à l’aide du badge fourni.

  • #Digital : les marques de luxe encore à la traine [#contactlab #lsa #luxe]

    #ContactLab s'est penché sur la maturité des marques de luxe dans le digital. Peu avancées pour la majorité d'entre elles sur le sujet, certaines se démarquent tout de même depuis quelques années par des intiatives originales, et qui s'avèrent payantes.

    Le digital est-il le nouvel eldorado des marques de luxe ? Selon l’étude « The digital and Physical Integration : Luxury Retail’s Holy grail », menée par ContactLab avec Exane BNP Paribas, il serait du moins l'une des niches les plus rentables pour les marques de luxe aujourd'hui, . En effet, les consommateurs qui achètent des produits de luxe à la fois en boutique et sur internet dépenseraient environ 50% de plus par an par rapport aux clients qui ne vont qu’en boutique. Pour autant, les marques de luxe sont toujours à la traîne pour offrir un service qui gère l'activité à la fois online et offline. Malgré le fait qu'il ne représente encore qu'un modeste pourcentage des ventes, le digital devrait amener le marché du luxe à croitre de 40% sur la période 2016-2020. L’expérience d’achat pour le client a évolué et les clients cherchent l'interaction  avec les marques à la fois en magasin et sur le Web.

    Plus de marge grâce au Web

    Le consommateur moderne est tout à son aise dans le monde digital et attend la possibilité de dépenser plus en ligne. Avec le développement de la technologie, les meilleures marques de luxe sont en mesure de profiter des technologies établies qui sont accessibles à partir d'une gamme de fournisseurs de services. Les ventes digitales favorisent également une marge plus élevée et des coûts inférieurs, tels que le loyer ou le personnel. Selon l’étude de ContactLab – qui a effectué 61 visites en boutique à New York -, il existe une contraste net entre une poignée de marques telles que Ralph Lauren, Bergdorf Goodman et Burberry qui ont réussi à réaliser une expérience multicanale continue et, d’autres, plus en retard comme Gabana, Dior ou encore Saint-Laurent.

    Optimiser les synergies entre Web et physique

    ContactLab s’est penché sur la manière dont le digital est mis à profit pour tirer le meilleur du trafic en boutique et a constaté que les clients qui ont un engagement digital avec la marque, dépensent plus en boutique. Fournir une intégration transparente entre le PDV en ligne et hors ligne ouvre des opportunités de ventes croisées, soit à partir de la boutique en ligne et inversement : lorsque les produits sont en rupture de stock, les clients ont la possibilité de commander en ligne en boutique et de recevoir leurs achats à la maison, ce qui augmente le taux de conversion et, en fin de compte, les ventes. Burberry est un bon exemple de synergie entre les opérations en ligne et hors ligne avec le « click & collect » représentant déjà 15% des ventes en ligne de Burberry.

    L'étude a également examiné quelles marques promeuvent leur activité e -commerce grâce à des promotions en boutique, avec  Bergdorf Goodman et Saks en tête,  tandis que 70% du panel semble être en retard. Globalement, les marques sont dans les premières étapes de l'intégration digitale et physique, et de nombreuses marques de luxe doivent faire face au défi de mettre en place de nouveaux dispositifs technologiques afin d’améliorer l'expérience d’achat client. Tout reste à faire et les marques de luxe ont une belle marge de progression devant elles.

    [RETROUVER L'ARTICLE DANS LSA-CONSO.FR]

  • Les soubresauts du #luxe : 7 défis selon Michel Roulleau, ex. dirigeant des #GaleriesLafayette

    Michel Roulleau, figure de l'enseigne de grands magasins, vient de quitter le groupe dirigé par Philippe Houzé. Il a créé Michel Roulleau SAS pour conseiller marques et enseignes.

    Le ralentissement marqué des ventes de produits de luxe dans le monde, conséquence de tensions politiques et économiques fortes, aura au moins l’intérêt d’imposer une réflexion à une industrie du luxe dominante grâce à ses progressions « double digit » pendant de longues années.

    Car, si les nouveaux riches, issus des pays à forte croissance ou en phase de décollage économique, sont toujours plus nombreux, les marques seraient bien inspirées de faire un « stop » afin de pouvoir re-déclencher un « go » durable.

    L’industrie du luxe (comme beaucoup d’autres) a dû faire face à de nouveaux défis que la croissance folle de certains marchés lui a permis d’ignorer ou de reporter aux calendes grecques pendant de nombreuses années.

    Au moment où la Fashion Week se termine à Paris, il est intéressant de se questionner sur le sens de ces grand-messes biannuelles et de comprendre à quoi peuvent servir ces événements toujours plus fastueux qui creusent le fossé entre des professionnels soucieux de garder leurs « privilèges » et des clients qui se rapprochent toujours plus des marques et des produits.

    Le luxe doit-il garder son caractère mystérieux et aspirationnel en se repliant sur lui-même au risque d’être en décalage avec les attentes exprimées des consommateurs ?

    Dans tous les cas de figure, il n’est aujourd’hui plus possible d’éviter de répondre à certaines problématiques de fond. J'en ai retenu six !

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  • Generation Z spells trouble for brands relying on Chinese tourists [#GenZ #China]

    By Forrest Cardamenis, Luxury Daily, March 09, 2016

    In a reversal of the more materialistic tendencies of their parents, almost 95 percent of Chinese Generation Z consumers say it is essential for brands to be sustainable and environmentally conscious, according to a report by RTG Consulting.

    The continued growth of China over the next several years will ensure that its consumers remain prime targets for brands for the foreseeable future, as even a slowed China exceeds the growth rate of western nations. As a result, brands will need to make a connection to this group, the first born in a fully modern China, in the interest of long-term success.

    “We have noticed that the meaning of success is being redefined where career and financial achievement are no longer the main drivers,” said Marc-Oliver Arnold, head of research and business consulting divisions at RTG Consulting Group. “Our research shows that more than 62 percent of Gen Z already believe that ‘success no longer means financial wealth’; instead, there is an emerging shift in mindset where it is more about how you live your life that matters.

    “Not only does this mean they want to live a multi-faceted and enriching lifestyle, but that they also see the value in taking responsibility for caring for the world and their environment,” he said. “This awakening fuels this generation’s desire to be mindful of the present moment and rediscover the meaning of happiness in daily experiences.

    Generation gap
    As millennials have begun to accrue wealth, they are now the target market for many brands, which recognize that making the connection could sustain several decades of good business. However, the potential of the subsequent generation, particularly in booming market such as China, is enormous.

    Additionally, the present reliance on Chinese tourists, a result of the country’s enormous population and booming economy as well as laws, taxes and limitations of distribution that raise the price of luxury goods in the country, means brands must be equipped to reach these consumers when their behaviors and desires change.

    While Chinese millennials are heavy travelers and see luxury items as status symbols, tomorrow’s Chinese consumer will more closely resemble today’s western youth, a worldly, socially conscious consumer with alternate definitions of success.

    Good news for brands is that many of the techniques currently being used to court millennials, namely emphasizing sustainable measures, will prove effective on China’s Gen Z. Brands that have not yet begun to prioritize sustainability and reduce their carbon footprint and have instead banked on a globalizing economy and/or Chinese tourists will only be more pressed to adapt as time goes on.

    Although environmental concerns are the largest marker of China’s Gen Z consumers, it is far from the only one. Barely a quarter of these consumers object to same-sex marriages, an opinion that is at first glance divorced from consumer culture but is in fact important to note for marketing materials, which still overwhelmingly suggest heterosexual couplings.

    While “word of mouth” was and remains the best form of advertising a brand can hope for, the phrase is quickly becoming an anachronism. Only 10 percent of consumers surveyed spend more time interacting offline than online with friends.

    Marketers are already going after consumers on social media, but proficiency with the various platforms and a quick adoption rate will be crucial moving forward. With interaction moving online, brands will need to find ways to generate buzz in an organic an unobtrusive way even more so than they do today.

    Chinese consumer using WeChat

    “As digital natives, China’s Gen Z currently lives and breathes mobile, and so [a brand’s] approach must be inherently mobile, with the goal of becoming part of their digital lifestyle,” Mr. Arnold said. “This means offering engaging, meaningful and inspiring creative content as well as distinct experiences.

    “In addition, we foresee brands to increasingly become more of a platform for people to build deep and personal human connections.”

    Perhaps most alarmingly, around half of respondents say that a more interesting job would be preferable to a high-paying job and only 11 percent agree that wealth indicates success. The overall shift from materialism to mindfulness could be a major obstacle for many sectors, which will need to find a way to tell consumers that a handbag, jewelry or a car is more than a product or sign of wealth.

    Brave new world
    Although this data connects China’s Gen Z to global Gen Y consumers, China’s own millennials are generally far more consumerist than those in the United States and elsewhere.

    Following Gen X’s economic breakthrough, Gen Y was presented with a world in which they could buy previously unthinkable luxuries. Those born into such a world, however, have turned their attention to non-material aspects of happiness.

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