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2.2- Marques - Page 37

  • #Storytelling: livre blanc pour tout savoir des bonnes pratiques et usages |#agence79c #promiseconsulting]

    [Storytelling]- L'histoire est indissociable du patrimoine des individus et des marques. Depuis que le langage existe, la narration crée et renforce le lien social entre les hommes, les peuples et les générations.

    Elle permet la transmission du savoir, la perpétuation du souvenir. Mythes, légendes, contes, etc. contribuent ainsi à nourrir la mémoire. A l'heure de l'incroyable succès de Games of Thrones et quelques années années après l'odyssée du Seigneur des Anneaux, jamais les légendes nordiques n'ont connu une telle modernité. 

    Pourquoi en serait-il autrement dans l'univers des Marques ? 

    Nous vous proposons sur les pas de Roland Barthes, pour qui le mythe est un système de communication à part entière, de découvrir le livre blanc écrit par l'Agence 79C sur le sujet. Nous avons eu le privilège de contribuer par des données d'études et des analyses récentes à ce très bel opus qui permet une synthèse des apports, des usages et des bonnes pratiques du Storytelling.

    [TELECHARGER LE LIVRE BLANC SUR LE STORY TELLING]

     

  • #Promiseconsulting renforce ses équipes et crée deux départements [#promiseconsulting #marketresearch #conso #luxe]

    Pour faire face à la croissance de son activité d’études et de conseil marketing, Promise Consulting se dote de deux pôles de compétences.

    Promise Consulting crée deux départements, Conso Lab et Luxury Lab.

    Promise Consulting, société d’études et de conseil en marketing, est issue de la fusion des activités de Panel On The Web, spécialiste des études en ligne, fondée en 2000, et de Promise Consulting Inc., société de conseil en optimisation des stratégies de marque (télécharger notre brochure).

    Promise Consulting, connait depuis 2000 une forte croissance de ses activités dans des secteurs variés, avec en particulier des compétences reconnues dans les secteurs du luxe, de la beauté et de la distribution sélective. Ses publications (baromètres, études ad hoc, chiffres de tendances, etc.) ainsi que ses cycles de conférences font autorité dans le secteur.

    trophée, marketing, printemps des études, innovationEn témoigne le Trophée d’Argent 2016 Etudes & Innovations obtenu lors Printemps des Etudes pour la qualité de ses livrables dans le cadre de son Baromètre conjoint avec BNP Exane « Front Row » mesurant l’Exclusivité & la Désirabilité des Marques de Luxe dans le Monde (Europe, Amérique, Asie) (télécharger le communiqué de presse).

    Pour faire face à la croissance de son activité, Promise Consulting a créé deux départements pour spécialiser ses deux compétences sectorielles fortes au service des annonceurs :

    LUXURY LAB : dédié au secteur du luxe dans les univers de la Mode, de la Beauté et de la distribution sélective, Luxury Lab suit près de 250 marques de luxe dans près de 35 pays depuis plus de 10 ans. En savoir plus : promiseconsulting-blog.com

    CONSO LAB : dédié aux secteurs de la grande consommation, de l’automobile, de la finance et de la grande distribution, Conso Lab accompagne l’annonceur du test de concept jusqu’au tracking de la performance de marché. En savoir plus : promiseconsulting-consoblog.com

    valerie jourdan, panel on the web, promise consulting« Notre volonté est de spécialiser dans deux départements des compétences fortes d’études et d’accompagnement au service des annonceurs. La valeur ajoutée des études et du conseil réside dans notre capacité à questionner finement, à apporter des informations fiables, à émettre des analyses pertinentes au service de recommandations fortes. C’est en spécialisant nos savoirs humains que nous justifions pleinement la confiance de nos clients », déclare Valérie Jourdan, CEO de Promise Consulting.

    A PROPOS DE PROMISE CONSULTING

    Depuis 2000, Promise Consulting, anciennement Panel On The Web, permet aux décideurs de prendre les bonnes décisions.

    Grâce à un accompagnement et des études scientifiques ad hoc, Promise Consulting renforce le lien entre les belles marques et les clients tout en maximisant leur retour sur investissement marketing. Grâce à ses équipes du Conso Lab et du Luxury Lab, Promise Consulting délivre une expertise pointue en études de marché et d’optimisation des marques dans les univers de la consommation, de la distribution, du luxe et de la beauté.

    La société est établie à Paris et à New-York. Elle dispose de panels onlines dans plus de 35 pays en Europe, Amérique, en Asie et en Afrique.

    Elle a créé une méthodologie innovante de mesure de la performance de marque et du ROI des investissements centrés sur la marque : Monitoring Brand Assets©. Cette méthodologie a été déployée dans près de 50 pays à date, porte sur l’étude de 250 marques dans les secteurs les plus divers et totalise plus de 1.000.000 questionnaires administrés en ligne dans le monde.

    Récompensée 8 fois en 12 ans, par la profession au plan national et international pour ces méthodologies innovantes, Promise Consulting accompagne les plus grandes marques de luxe, de cosmétiques et de distribution dans leur développement tant sur les marchés français qu’internationaux. La société intervient également dans de nombreux secteurs d'activité, chaque fois que les marques souhaitent disposer d'une stratégie de croissance éclairée pour mieux comprendre leur marché, s'adresser à leurs consommateurs, séduire et fidéliser leurs clients.

    Pour en savoir plus
    Site : http://promise-consulting.com
    Blog: http://promiseconsulting-blog.com
    Facebook: http://facebook.com/promiseinc
    Twitter: @pjourdan1967

    Relations Presse - Agence LEWIS
    Mathieu Micout – Hugo Falque-Vert
    mathieu.micout@teamlewis.com / hugo.falque@teamlewis.com
    01 83 94 04 95 / 01 55 31 75 60

  • Le nouveau filon du prêt-à-porter : les objets de déco [#mode #deco @stylist]

    Après le vestiaire, ce sont les étagères que tentent d’infiltrer les marques de mode. Le nouveau filon du prêt-à-porter : les objets de déco.

    Dans les boutiques de vêtements, vous trouvez désormais de tout. L’appartement Sézane, l'Annexe Sessùn ou plus récemment, la boutique de Valentine Gauthier proposent entre deux bombers, des meubles et des objets lifestyle (bougies, carnets, coussins, mugs...) imaginés en collaboration avec des designers ou issus de leur propre benchmark "idées déco pour le salon". Mais d’où vient cet engouement du concept-store mono-marque ? « Cette tendance, c’est un peu la continuité du DIY, l’expertise d’une marque installée en plus », analyse Philippe Jourdan, consultant pour Promise Consulting Inc. « Avec l’explosion des blogs, les représentants de la mode veulent s’exprimer sans aucune limite et l’opération est d’autant plus réussie si les objets proposés restent en adéquation avec les prix et le parti pris créatif de la marque. De plus, en contexte de crise, nous avons tendance à opérer un repli sur soi et vers son intérieur. Les gens aiment s’exprimer sur leur habitat et cela sans aucun tabou puisqu’avec Instagram, le « chez soi » s’expose bien volontiers. » À quand les recettes #instafood entre deux rayons de chaussures ?

    [ARTICLE SUR STYLIST]

  • Chanel s'invite à la Havane pour un défilé inédit, symbole de l'ouverture au Monde de l'Ile [#promiseconsulting #chanel @chanel #luxe]

    Posted by Pureactu.com | 4 Mai, 2016 | Pure Buzz |

    Devenue The place to be, l’île de Cuba vient d’accueillir un défilé signé Chanel. Après les Rolling Stones, l’opération séduction du gouvernement cubain continue avec un défilé haute couture proposé par la célèbre maison de luxe parisienne. Un événement clinquant, symbole d’un capitalisme triomphant.

    Sur le Paseo del Prado, boulevard à ciel ouvert à 300 mètres de la mer décoré pour l’occasion, le luxe s’est imposé.

    La prestigieuse marque a choisi la Havane pour son premier podium en Amérique latine et pour dévoiler sa nouvelle collection bourrée de références à la culture de l’île avec ses sombreros typiques, ses cigares et ses vieilles voitures. Artistes et officiels cubains, mais aussi célébrités d’Hollywood, comme Vin Diesel et Tilda Swintonou, ont assisté au défilé, accessible sur invitation uniquement. (...) 

    « Finalement, le monde s’ouvre à Cuba. Tout le monde veut connaître la pomme interdite, tout le monde veut la découvrir, la savourer, en profiter, l’explorer », a déclaré à l’AFP Mariela Castro, fille du président Raul Castro et directrice du Centre national d’éducation sexuelle.

    [LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]

  • Le prêt-à-porter de luxe au Maroc: entre réalité et fantasme, comment se porte-t-il ? [#maroc #luxe #mode]

    SOURCE HUFFPOST MAROC- Zoubida Senoussi et Abdessamad Moustaid - MAI 2016

    MODE - Pour la majorité des femmes marocaines, le luxe évoque "l'esthétique, la beauté et l'élégance", selon une étude réalisée par le cabinet Marketing B. Voilà pour la théorie, car dans les faits, la récente fermeture des Galeries Lafayette à Casablanca et leur remplacement par des marques low cost interroge sur la maturité du marché marocain du prêt-à-porter de luxe.

    Pour Éléonore Bénit, rédactrice en chef du magazine Icônes (Groupe Telquel), "le marché du luxe, comme tous les marchés de niche, a ses limites et n’est pas extensible à merci. Le départ successif de marques comme Miu Miu ou Prada il y a quelques mois indiquait déjà que le marché du retail de luxe au Maroc était – et est toujours – loin d’être mature. À l’inverse, une marque comme Tati répond de façon bien plus cohérente à la réalité du pouvoir d’achat de la majorité des habitants des grandes villes de notre pays".

    Loin d'être mature, ce marché pourrait également être impacté par les habitudes d'achat et les comportements des consommateurs aisés, qui préfèrent faire leurs emplettes à l'étranger dans les capitales du luxe comme Milan, Paris ou encore Dubai, "où l'on dispose de plus de choix et de.... discrétion", estime Sofia Benbrahim, fondatrice de Shoelifer, média marocain axé sur le luxe et l’art de vivre.

    "Consommer du luxe, c'est vivre une expérience"

    Pour Meryame Mellouk, professeur en marketing de luxe à l'Université Hassan II à Casablanca, "la mobilité à l’international fait que les achats se font en général dans d’autres pays où l'on pense bénéficier du produit global offert par le luxe (évènements privés, accueil personnalisé, collections privées…) bref, tout ce qu’offrent les maison de luxe à leurs clientèles qu’on ne trouve pas forcement au Maroc. Ajouter à cela l’exclusivité, un plus grand choix et les avantages fiscaux (même si cela changera bientôt)".

    Pour la rédactrice en chef du magazine Icône, il s'agit même d'une "évidence, non pas qu’ils (les consommateurs) le 'préfèrent' mais que les habitudes de consommation prennent parfois du temps à se modifier". Selon elle, "pendant des années, certaines marques n’étaient pas distribuées au Maroc. La clientèle marocaine habituée à la consommation de produits de luxe est très exigeante et voyage beaucoup, ce qui continue de favoriser l’achat à l’étranger. Consommer du luxe, ce n’est pas seulement acquérir un produit, mais c’est aussi - et peut-être surtout - vivre une 'expérience' hors norme, composée d’une multitude de codes qui entourent l’acte d’achat", explique-t-elle.

    "Lorsqu’on est en vacances, loin de chez soi ou dans une capitale mondiale réputée pour son élégance, son savoir-faire ou son expertise 'shopping', l’achat est alors entouré d’un aura ou d’un supplément d’âme qu’on ne peut pas acquérir à deux pas de chez soi. La possibilité de bénéficier de la détaxe entre aussi évidemment en ligne de compte".

    La guerre sans fin contre le faux

    Et la contrefaçon dans tout ça? "Le marché du luxe est destiné à une clientèle particulière, une personne qui peut se permettre un sac à 30.000 dirhams n'ira jamais acheter de la contrefaçon", tranche Sofia benbrahim.

    Même son de cloche chez Éléonore Bénit: "La circulation de faux existe au Maroc depuis des décennies et répond essentiellement au besoin d’une population (locale ou étrangère) qui n’aurait pas forcément les moyens d’accéder aux produits de luxe authentiques d’assouvir son désir. Pour autant, la contrefaçon demeure un enjeu majeur pour les géants du secteur, non tant pour l’aspect financier que pour une question d’image. Et c’est une guerre sans fin: plus un produit a du succès, plus il sera copié".

    Reste enfin le rapport si particulier qu'entretiennent les consommateurs marocains avec les produits de luxe. Il est de notoriété publique que les Marocains investissent beaucoup dans l'or, cette "valeur sûre, contrairement à un sac X ou Y qui fait son temps", estime Sofia Benbrahim.

    Pour Meryame Mellouk, les consommateurs marocains "font des achats 'investissement' dont ils savent impertinemment la valeur, et peuvent aller jusqu’à s’endetter pour acquérir un bien durable qui entre dans le patrimoine familial comme la joaillerie, les pièces de collection ou l'horlogerie".

    Qu'en est-il des autres secteurs du luxe? "Il me semble que celui de l’automobile au Maroc se porte extrêmement bien, et ce malgré la taxe de luxe créée il y a deux ans. Celui de l’horlogerie aussi, notamment pour certaines très grandes maisons comme Cartier ou Rolex. Avec la montre, la voiture est l’un des premiers marqueurs sociaux pour une population. Dans un pays comme le Maroc où l’hétérogénéité sociale est aussi forte, dire au monde combien l’on vaut équivaut à dire qui l’on est", conclut Éléonore Bénit.

    [LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]

  • #Balmain: the power of Growth Hacking in #luxury #fashion [@balmain @adetem #promiseconsulting]

    IMAGE : Olivier Rousteing - Directeur artistique Balmain

    SOURCE: FORBES - GREG PETRO - MAY, 06, 2016

    If you’re in tune with what’s going on in the world of tech startups, you’ve likely heard the phrase “growth hacking.” The phrase, coined in 2012 by Silicon Valley veteran Sean Ellis, refers to a way of marketing a business or product that attracts a massive following of fans and customers without spending a fortune on traditional marketing strategies.

    When the phrase first started gaining traction among tech marketers, growth hacking was generally seen as something that software or e-commerce companies did. As we’ll see, growth hackers are very scientific in the way they approach marketing. They only care about growth that is measurable and provides useful data.

    Today, luxury fashion companies like Balmain and Spring are adopting some core growth hacking strategies to give them an edge. Seasoned investors know the luxury market can be fickle, but looking for companies that are on the cutting edge of digital marketing could be a great way to separate the winners from the rest of the pack.

    The keys to growth hacking

    Before we get into specific examples, it’s useful to know some of the core concepts of growth hacking. Naturally, each company’s product/service is different, so specific tactics that work for one business may be useless to another. Regardless, growth hacking has brought some key points into focus for marketers in all industries today. Here are a few of the most important:

    [1]- Product/market fit. The traditional means of product development is to spend months or years developing an offering behind closed doors, then launching it with one big push. The problem is these launches end up losing the company money because, while the product was spending a year or so in development, the market may have moved on. Growth hackers, on the other hand, start with a minimum viable product and get it out to potential customers as soon as possible. This allows them to see if there is a market for it, and early adopters can provide useful feedback about features that can be included with future iterations.

    [2]- Eschew traditional marketing. Growth hackers don’t go for TV commercials, billboards and other mass marketing channels because they are extremely expensive and they don’t allow for precise measurement of results. Growth hackers widen the definition of marketing to include things like PR stunts, shows and anything else that gets a lot of attention on social and legacy media without costing a fortune.

    [3]- Data is king. To that end, these low-cost campaigns must stand the test of social graphs, SEO rankings, A/B testing and other data-based metrics – these are the tools of the growth hacker.

    Now we’ll look at how two well-known luxury fashion companies are applying these principles.

    Balmain combines product/market fit with savvy social marketing

    According to a profile in GQ, Balmain’s creative director Olivier Rousteing knew that the products he helped design for Balmain had a unique look that would catch on with luxury-seeking consumers. main combines product/market fit with savvy social marketing

    But he was also keenly aware that in the world of fashion, if you don’t have a relationship with your fans that gives you prime visibility, people will move on to the next thing.

    Rousteing made a gamble in 2012 that Instagram would become a key social channel, and that bet paid off. He started taking ridiculous pictures of himself while wearing the clothes he designed, and his gregariousness boosted his profile significantly, with Balmain’s rising in step.

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