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2.2- Marques - Page 26

  • [#LUXURYLAB] [MARCHE] | #Kusmi Tea lève 20 millions d'euros devenir numéro 1 mondial du #thé #premium | @CHALLENGES

    CHALLENGES | http://bit.ly/2A15ukG

    #Kusmi Tea lève 20 millions d'euros devenir numéro 1 mondial du #thé #premium

    Le groupe alimentaire français haut de gamme Orientis, notamment propriétaire de la marque de thés Kusmi Tea, a annoncé mardi avoir levé 20 millions d'euros auprès d'un fonds franco-américain. La levée auprès de NextWorld Evergreen, basé à San Francisco, "laisse une large majorité à Orientis", assure dans un communiqué le groupe français qui vise à devenir "le numéro un européen puis mondial du thé premium".

    Orientis développe une image haut de gamme pour ses produits. Le groupe détient non seulement Kusmi Tea, maison de thé centenaire rachetée en 2003, mais aussi les marques Lov Organic, spécialisée dans les infusions et thés bio, ainsi que Marlette, qui vend des préparations toutes faites pour pâtisserie.

    Le storytelling raconté à l'envi veut que Sylvain Orebi et son frère soient tombés dans la marmite du thé un peu par hasard. Les deux hommes sont alors des "gringos" qui voyageaient dans les pays producteurs de café pour acheter à des producteurs latino-américains, asiatiques ou africains leurs productions. En 2001, les frères Orebi rachètent la société havraise Olivier Langlois qui importe du café. Et ils découvrent que celle-ci faisait aussi du thé. Convaincu du potentiel de croissance inexploité du marché, Sylvain Orebi cherche la pépite qui pourrait faire décoller son business. En 2003, il la trouve dans une arrière-cour du XVIIème. Kousmichoff, la belle endormie, semble attendre son Prince charmant.

    Kusmi Tea, thé premium

    Sylvain Orebi avait raconté à Challenges qu'à moyen terme "nous aurons besoin de 15 à 25 millions d'euros pour notre croissance à l'international" reconnaît l'ancien "gringo" qui n'entendait pas "faire entrer de grands fonds mais plutôt des personnes qui ont la même vision du développement de l'entreprise".

    L'entreprise est toujours dirigé par les frères Orebi qui conservent une majorité au capital après 5 levées de fonds pour 28 millions d'euros auprès du fonds d'Audacia, présidé par Charles Beigbeder, qui détient environ un tiers de l'entreprise et donc le fonds NextWorld Evergreen.

  • [#LUXURYLAB] [MAGASIN] | Fondation, #Eataly,...Ce que le groupe #Galeries #Lafayette veut faire dans le #Marais |@LSA

    DE JEAN-NOËL CAUSSIL | LSA | http://bit.ly/2yEX59t

    Fondation, #Eataly,...Ce que le groupe #Galeries #Lafayette veut faire dans le #Marais

    Les travaux avancent, dans le Marais, à Paris, où trôneront bientôt la Fondation du groupe Galeries Lafayette pour l'art contemportain et l'enseigne Eataly. Citynove, la foncière du groupe, organisait en ce jeudi 19 octobre 2017 une visite de chantier pour faire le point sur ces projets ambitieux.

    Costumes, tailleurs… et casques de chantier blancs sur la tête. Toute la journée du 19 octobre, les badauds déambulant dans les rues du Marais, à Paris, ont croisé de bien drôles de personnages, entre les rues du Plâtre et de la Verrerie. La faute à Citynove, foncière du groupe Galeries Lafayette, qui procédait à une succession de visite de chantiers. Chantiers au pluriel, puisque ce sont à la fois les sites de la future Fondation du groupe Galeries Lafayette pour l’art contemporain et de l’enseigne Eataly qui se trouvent en travaux, pour des ouvertures en 2018.

    Eataly, Galerie, Lafayette, Marais

    Deux projets d’envergure un peu fous qui, une fois terminés, transformeront en profondeur ce quartier de Paris. En bien, qu’on se rassure. En tout cas, le groupe a tout fait pour… L’idée principale est d’organiser une nouvelle percée, ouverte au public, entre les rues du Plâtre, Saint-Croix-de-la-Bretonnerie et de la Verrerie. Aujourd’hui, derrière chacune des façades, à l’abri de hauts murs gris, se cachent de magnifiques cours intérieures. Demain, tout sera ouvert au grand jour, le cheminement naturel engageant les piétons au gré de cette succession de jolies courettes.

    La Fondation du groupe Galeries Lafayette pour l’art contemporain s’étendra ici, sur 2500 m² et quatre niveaux. Quatre niveaux modulables avec un plancher mobile qui, selon les besoins, séparera chacun des étages ou, au contraire, ouvrira l’ensemble pour dégager la vue et, ainsi, mieux mettre en valeur les œuvres qui seront exposées. Des résidences d’artistes sont également prévues pour faire de ce lieu un endroit vivant où la culture s’expose et se conçoit en même temps.

    Sur place, les artistes s’exposent déjà. Depuis le début du chantier, à intervalles réguliers, des artistes ont pris possession des lieux. Le résultat ? Dix films pour autant de prestations artistiques projetées sur les murs en travaux.

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  • [#LUXURYLAB] [CONNECTE] | #Eram chausse ses #baskets #connectées |@LES ECHOS

    DE DOMINIQUE CHAPUIS | LES ECHOS | http://bit.ly/2gUXY3A

    #Eram chausse ses #baskets #connectées

    L’enseigne veut rester dans la course à l’innovation. Sur un marché en berne, où ses ventes souffrent, elle multiplie les projets.

    Baskets connectées, services personnalisés : Eram veut garder un coup d'avance dans un marché en berne. Depuis trois ans, les ventes de chaussures en France reculent chaque année.  Concurrence des pure players sur Internet, des griffes de mode ou du phénomène sneakers, « le marché est très dur », reconnaît François Feijoo, le PDG de la marque, propriété du groupe familial Biotteau (Gemo, Bocage, Mellow Yellow, TBS..), qui s'est récemment séparé de Tati. Leader de la chaussure en centre-ville, Eram n'a pas été épargnée. Son chiffre d'affaires a reculé de 3% en comparable en 2016, à 170 millions d'euros. « En 2017, entre janvier et septembre, notre activité est repartie, avec une progression de 3 % de ventes, alors que le marché est à -1 % », précise le dirigeant.

    Aussi, pour rester dans la course, malgré ses 90 ans, Eram parie sur les Millénials et cherche à rajeunir sa clientèle. La marque va, par exemple, lancer des baskets connectées. Une première sur ce marché. En fonction des tenues vestimentaires, elles changent de couleurs. Le procédé, présenté au dernier CES de Las Vegas, associe une bande de fibre optique tissée, développée par Brochier Technologies, reliée à une led multicolore. Cette dernière est alimentée par un module électronique dans la semelle.

    Une série limitée de 150 paires sera mise en place fin novembre dans son magasin du Forum des Halles à Paris. Le prix de vente a été fixé à 289 euros. « Cette basket va évoluer. Aujourd'hui, elle est tournée vers la mode, demain elle proposera d'autres services, c'est un début », assure François Feijoo. 

    Au rayon des innovations, Eram a aussi lancé  Atelier 27, des chaussures personnalisables. En une heure, les clientes peuvent obtenir une paire originale, en choisissant un talon à leur goût, imprimé sous leurs yeux en 3D. Présenté à Lille, Paris et Nantes, ce concept n'est toutefois pas encore en service de façon pérenne. « Eram a inventé en 1954 la semelle en plastique, « Plastifor », qui a révolutionné le secteur, reprend le dirigeant. Aujourd'hui, nous remettons l'innovation au coeur ».

    etam,baskets,connectés

    Dans le même temps, l'enseigne a restructuré son réseau de magasins, avec plusieurs dizaines de fermetures, afin de préserver sa rentabilité. D'autres ont été relocalisés dans les meilleures rues commerçantes, comme à Aix en Provence. Le nombre de points de vente est ainsi passé à 270 en France, contre plus de 300. Le chausseur a aussi quitté la Belgique, où il a clos ses 28 boutiques en janvier. Depuis il a ouvert 3 corners en Italie dans un grand magasin Coin. Et il s'est inscrit en mai sur la Boutique France de La Poste, afin  de tester le marché chinois. Une boutique présente sur Tmall Global, la filiale du géant chinois du e-commerce Alibaba.

    Les collections enfin, ont-elles aussi été retravaillées, avec un renouvellement plus rapide pour un prix moyen de 50 euros. « Compte tenu de la qualité du produit, nous offrons le prix le plus accessible du marché », estime François Feijoo. Icone en son temps de la publicité, avec son célèbre slogan « il faudrait être fou pour dépenser plus », Eram est  aussi présente sur les réseaux sociaux. L'enseigne réalise sur Internet déjà 10 % de ses ventes, soit quasi le double de ses concurrents.

  • [#LUXURYLAB] [DISTRIBUTION] | #Soi Paris se fait une place aux #Galeries Lafayette #Haussmann | @FASHION NETWORK

    DE LUCILE DEPREZ | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2hFefJv

    #Soi Paris se fait une place aux #Galeries Lafayette #Haussmann

    La toute jeune griffe féminine Soi Paris poursuit son développement. Après un an et demi d’existence, la marque ouvre un nouveau corner en cette mi-octobre, cette fois au 2ème étage des Galeries Lafayette Hausmann, au sein de l’espace créateur du deuxième étage.

    Entourée par des griffes comme Balzac Paris, Modetrotter ou encore Maison Labiche, Soi Paris, fondé par les sœur Julia et Aurélie Boutboul, présentera l’ensemble de son vestiaire féminin moyen de gamme, qui fait la part belle à l’imprimé.

    Soi Paris, Galeries Lafayette, Haussmann

    L’occasion aussi pour le duo de montrer les pièces qu’elles élaborent en collaboration avec d’autres créateurs. Après Maison Labiche et Bensimon, c’est au tour de la marque de bijoux faits main Cleopatra’s Bling de s’associer à Soi Paris pour une capsule de prêt-à-porter imaginée autour de l’univers du cosmos.

    La griffe féminine élargit ainsi son réseau de distribution puisqu’elle était déjà présente dans les grands magasins parisiens, à savoir au Printemps Haussmann et au BHV Marais. Soi Paris est par ailleurs vendu sur une vingtaine de marketplaces, dont La Redoute et L’Exception, et chez une dizaine de revendeurs physiques en France.

    Egalement adepte du format boutique éphémère, Soi Paris se teste depuis le mois de juillet avec un pop-up rue de Rennes, dans le VIème arrondissement de Paris, et ce jusqu'en janvier prochain. Depuis son lancement en avril 2016, la griffe des sœurs Boutboul a vendu plus de 3 500 pièces.

  • [LUXURY LAB] [BUSINESS] | #Glossybox s'offre un #partenariat avec #Naf Naf pour l'automne | @Fashion Network

    DE ANAIS LEREVERAND | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2wwCvUf

    #Glossybox s'offre un #partenariat avec #Naf Naf pour l'automne

    Le spécialiste du service d'abonnement dédié aux box beauté annonce une nouvelle collaboration cet automne, avec la marque de prêt-à-porter féminin Naf Naf. Un colis aux couleurs de la célèbre enseigne sera ainsi lancé en octobre, via le site Glossybox.

    Glossybox, qui s'associe généralement avec des griffes spécialisées dans l'univers de la beauté, tente une nouvelle incursion dans le domaine de la mode. Il s'agit d'une deuxième tentative après sa collaboration très réussie avec le chausseur Jonak Paris en novembre dernier.

    Pour l'occasion, Naf Naf a totalement relooké la petite boîte beauté de Glossybox à coups de « Grand Méchant Look », célèbre signature de la marque de prêt-à-porter. Déclinée en rose pâle, la box s'orne en prime d'un motif de pieds de cochon, soulignant le retour à l'identité historique amorcé en 2015 par l'enseigne qui s'apprête à changer de mains en 2018.

    Glossybox, Naf Naf

    Cette box inédite renferme des produits cosmétiques sélectionnés chez les marques Topicrem, Le Mini Macaron, Batiste et Benefit, ainsi qu'une « invitation exclusive » de Naf Naf se présentant sous le forme d'un bon de réduction sur la collection automne-hiver 2017.

  • [LUXURY LAB] [ETHIQUE] | Le #luxe en quête d’un modèle plus #éthique | @Les Echos

    DE DOMINIQUE CHAPUIS | LES ECHOS | http://bit.ly/2y0FpEo

    Le #luxe en quête d’un modèle plus #éthique

    La filière veut s’adapter aux demandes des Millennials en matière de transparence et de respect de l’environnement. Il lui faut repenser son approvisionnement et trouver des alternatives. 

    Ethique et développement durable deviennent des préoccupations majeures pour le luxe. Au-delà de l'effet d'image pour les groupes, ces thématiques ont aujourd'hui une résonance stratégique. Car il ne s'agit plus seulement du respect de règles ou chartes, mais de répondre à l'évolution des modes de consommation, des Millennials notamment, tentés par la mode vegan, et en quête de transparence. Et aussi de garantir l es approvisionnements en matières premières.

    Ce virage a fait l'objet d'une étude publiée par le cabinet Mazars sur les pratiques de la filière luxe. « Nous nous sommes interrogés sur la façon dont s'articulent le respect de l'environnement et les enjeux éthiques avec la création de valeur pour créer un nouveau luxe », résume Fabien Seraidarian, son auteur.

    La préservation des ressources naturelles (cuir, soie, laine, fourrure...) est désormais un enjeu. « Le luxe consomme des ressources rares et cherche à les préserver ou à trouver des alternatives », note l'étude. Certaines marques financent ainsi des programmes de protection, comme Loro Piana, au Pérou, avec les Vigognes. Une espèce en voie de disparition, dont le cachemire a un touché unique.

    Pour le cuir, l'équation est plus compliquée. En France, avec le recul de la consommation de viande, les griffes disposent de moins en moins de peaux de qualité. « Tous les groupes réfléchissent à la façon de faire face à cette rareté, y compris en développant de nouveaux matériaux », indique un patron du secteur.

    Luxe, éthique

    Les matières synthétiques fabriquées à partir de fibres naturelles se développent, à partir de bambou, du soja, ou des algues. Végétarienne convaincue, Stella McCartney a ouvert la voie il y plus de quinze ans, en refusant d'utiliser du cuir ou de la fourrure. Ils sont remplacés par des biomatériaux.

    Un jeune designer du Chili, Stiven Kerestegian, utilise, lui, des peaux de saumon pour donner l'aspect du cuir haut de gamme à ses créations. D'autres travaillent sur le « cuir vegan », une appellation usurpée, qui fait grincer des dents les professionnels, car le cuir est animal. Cela concerne des textiles, par exemple, à base de feuilles d'ananas.

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