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  • Le Groupe Rocher (France) achète l'israélien Sabon (175 magasins) | @YvesRocherFR #promiseconsulting-blog

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    Sigal Kotler-Levy et Avi Piatok, co-propriétaires de la marque de cosmétiques israélienne Sabon (qui exploite 175 magasins dans le monde entier) ont annoncé cette nouvelle qui a fait le tour des rédactions des journaux économiques : “la société française de cosmétiques, Groupe Rocher, prend le contrôle de l’entreprise Sabon afin de renforcer ses capacités mondiales et d’accélérer son expansion à l’étranger”.

    Les détails financiers de l’opération n’ont pas été divulgués, mais le Groupe Rocher prend le contrôle (51%) de Sabon à une valeur estimée à 125 millions d’euros.

    Sabon est une marque privée de produits de bain, de soins corporels, de toilette et d’ambiance domestique. Elle a une forte présence en Israël, au Japon et aux États-Unis, ainsi que dans plusieurs pays d’Europe et d’Asie. Avec l’achèvement de l’acquisition, Sabon rejoint le portefeuille global de marques du Groupe Rocher.

  • Les #cosmétiques pour hommes, marché d'avenir ? | #Canada @adetem @Loreal #promiseconsulting-blog

    Les produits de beauté pour hommes, un marché d'avenir et qui le restera? De nombreuses marques spécialisées ont éclos grâce au commerce électronique et la mode du hipster barbu mais soigné, sans pour autant faire de l'ombre aux géants des cosmétiques.

    PHOTO FOURNIE PAR TRIUMPH

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    ÉTIENNE BALMER
    Agence France-Presse
    Paris

    Karine Schrenzel, codirigeante du groupe français de vente en ligne spécialisé ShopInvest, a le sourire: son pôle de cosmétiques masculins devrait connaître une croissance de 65% cette année.

    «Un homme a deux barrières» face aux produits de beauté: «Il n'a pas forcément envie de passer un samedi après-midi à flâner dans les boutiques de cosmétiques, et il a une certaine pudeur, que le web permet complètement d'effacer», estime cette femme d'affaires interrogée par l'AFP.

    Sur ses deux sites spécialisés en la matière, MenCorner et Comptoir de l'homme, les produits les plus plébiscités sont des huiles à barbe, des autobronzants, des colorations pour cheveux, des crèmes minceur ou dépilatoires.

    «Ces produits sont très surpondérés sur internet» par rapport aux ventes en magasins, où dominent les classiques déodorants, gels douches, shampooings et autres produits de rasage, selon Mme Schrenzel, qui mise sur ces créneaux de niche pour se démarquer de la grande distribution et d'Amazon.

    Les grands groupes ont souvent des marques avant tout féminines, avec des gammes masculines venues par la suite. Des marques originales, créées dès le départ pour les hommes, «ont vraiment une carte à jouer», estime-t-elle.

    En 2015, le marché de la beauté pour hommes, ou «grooming» (hors produits de rasage, savons, dentifrices et parfums) représentait des ventes mondiales de 17,4 milliards d'euros, 30% de plus qu'en 2011, selon le cabinet d'études Euromonitor.

    Cependant, cela représente toujours moins de 10% du marché total des cosmétiques.

    Design dandy et rétro

    En Occident, les hommes ont longtemps été réfractaires aux produits de beauté. «Dans l'univers judéo-chrétien, l'esprit et le corps étaient complètement séparés», rappelle à l'AFP Michèle Verschoore, spécialiste en dermatologie cosmétique chez L'Oréal et auteure d'un Guide de la beauté au masculin, paru début 2016.

    Mais aujourd'hui, «l'idée venue d'Asie se globalise, il n'y a plus de tabou masculin sur le bien-être», surtout chez les jeunes, ajoute Mme Verschoore.

    Aux États-Unis, puis en Europe, de nombreuses marques indépendantes haut de gamme pour hommes sont apparues ces dernières années, en particulier dans le domaine du soin de la barbe, affectionnant souvent un design dandy et rétro, comme les britanniques Captain Fawcett ou Apothecary 87.

    Lames et Tradition s'inscrit dans la même veine. Lancée il y a un an et demi, cette petite marque française vend notamment des huiles à barbe estampillées «naturelles» et «made in France», principalement à des professionnels. «Les barbiers ça pousse comme des champignons», se réjouit Stéphane Couty, le fondateur et patron de cette TPE (très petite entreprise), qui cherche à se développer à l'export. «On a été rentable dès notre première année», ajoute cet ancien du BTP.

    Didier Arthaud, fondateur de la marque 66°30, est sur un créneau au développement plus lent, les crèmes de soin visage pour hommes, bio de surcroît. Il sera rentable cette année, pour la première fois depuis le lancement de sa marque en 2009.«On est sur la niche de la niche», car «globalement les hommes sont moins sensibles au bio que les femmes», en ne l'associant pas à l'efficacité qu'ils recherchent avant tout dans les cosmétiques, selon cet ancien cadre de grandes entreprises françaises.

    L'entrepreneur met en garde ceux qui verraient les cosmétiques pour hommes comme un nouvel Eldorado: «Les mentalités vont beaucoup moins vite que les marketeurs».

    Et les grands distributeurs sélectifs, tels Sephora, Nocibé ou Marionnaud, privilégient les poids lourds du secteur comme Biotherm (groupe L'Oréal), Clinique ou Clarins, relève-t-il.

    Enfin, quand un acteur indépendant commence à devenir intéressant, il finit souvent par être mangé par un gros poisson.

    Cet été, la marque américaine Dollar Shave Club, qui vend en ligne par abonnement des rasoirs et des produits de soin pour hommes, a été ainsi avalée pour un milliard de dollars par le néerlandais Unilever (Axe, Rexona, Dove...), leader mondial des cosmétiques pour hommes (hors rasage) devant le français L'Oréal.

     

  • Victory for Mail as microbeads in make-up are banned | @dailymail #makeup

    [LIRE L'ARTICLE EN ENTIER DANS LE DAILY MAIL]

    Victory for Mail as microbeads in make-up are banned: Minister calls on shoppers to boycott cosmetics with the tiny toxic beads

    Andrea Leadsom urged Christmas shoppers to boycott microbead products. The Environment Secretary promised an outright ban by next October. More than a quarter of cosmetics on the shelves contain the plastic additives

    A top minister last night urged Christmas shoppers to boycott cosmetics and personal care products containing microbeads as she promised an outright ban by next October.

    The vow by Environment Secretary Andrea Leadsom is a major victory for the Daily Mail.

    She will today begin a consultation on the need for a similar crackdown on other household goods containing the tiny toxic beads, such as washing powder and cleaning products.

    In the meantime, the Cabinet minister called on shoppers to check the list of ingredients on make-up and other products including toothpastes, face scrubs and shower gels before buying. More than a quarter of cosmetics on the shelves contain the plastic additives.

    Mrs Leadsom told the Mail: 'The UK has always been a leader in environmental protection and we take our responsibility to marine life – not only in our own seas, but around the world – very seriously'.

  • Bobbi Brown Is Leaving Her Namesake Cosmetics Line | @justbobbibrown @BobbiBrown #cosmetics #beauty #makeup

    BY RACHEL JACOBY ZOLDANRJACOBY13 | allure.com
    DECEMBER 19, 2016

    [LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]

    In a move I didn't see coming, Bobbi Brown is leaving her namesake cosmetics line after 25 years, WWD reports. (I know, right?!) Bobbi Brown Cosmetics, owned by beauty giant Estée Lauder Companies (which recently acquired Too Faced Cosmetics as a part of a burgeoning brand portfolio that also includes Origins, M.A.C., and Clinique), will continue to exist, but Brown is expected to leave the company by the end of the year. (Read: like ten days from now.).

    And while we're sad that the creative genius behind Bobbi Brown Cosmetics (the Bobbi Brown—the one who sat in the backseat of an Uber with our beauty editor recently—more on that later) is leaving her brand, we know it's still in good hands as Peter Lichtenthal, global brand president, will continue to oversee the business in her absence. While Brown has yet to reveal her next move, sources speculated to WWD that she'll have a new business endeavor to focus on in 2017.

    But hang on. Let's pour one out for Bobbi Brown and her line for a second. I'd argue that she was not only one of the original pioneers of the natural beauty look, but rather the official inspiration for the no-makeup makeup movement that I actually live by. It's soft, pretty, and frankly unfiltered in a world where seemingly everything is Facetuned, Photoshopped, or "tweaked just a tiny bit." Fabrizio Freda, the CEO and president of the Estée Lauder Companies, told WWD that Bobbi Brown Cosmetics is a "global prestige cosmetics powerhouse, with a highly promising future, poised for its next chapter of growth."

    Exactly what that chapter will entail, of course, remains to be seen. And I'm still really jealous of Lexi, our beauty editor, who, yes, got to ride in an Uber with Bobbi and get her makeup done and of course emerged with that ethereal, lit-from-within, only-Bobbi-Brown-could-produce glow.

    Thank you, Bobbi Brown, for your 25 years of flawless skin and barely there makeup. Our faces salute you. Mine does, at least.

     

  • #Burberry added fuel to the conversation surrounding the "see-now, buy-now movement" | @buberry @adetem #luxury

    ARTICLE PARU DANS LE LUXURY DAILY | DECEMBER 2016 

    [LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]

    Burberry's early adoption

    British fashion label Burberry came in behind Chanel [2016 LUXURY MARKETER OF THE YEAR],  placing as second runner's-up for its first-mover status.

    Burberry added fuel to the conversation surrounding the see-now, buy-now movement, announcing early in the year that it would be changing its runway show schedule. This move consolidated its presentations to two a year, showing men's and women's collections together (Burberry updates fashion calendar to meet global demand).

    The brand also took a different move when it enlisted Brooklyn Beckham to shoot a campaign, having the teenage son of David and Victoria Beckham capture the experience on Snapchat (Burberry targets younger market using Brooklyn Beckham, Snapchat).

    Burberry was became the first fashion label to create an Apple TV app, becoming the first brand to broadcast a fashion show on the platform (Burberry launches on Apple TV with menswear show live-stream. When launching the fragrance My Burberry Black, Burberry took advantage of a bevy of newer social media tools, such as Instagram Stories and a Snapchat filter, to create a mood around the scent.

    While unseated by Gucci in this year's L2 rankings, Burberry was positioned in second place, also showing Genius-level sill in digital.

  • #Chanel has made itself more relatable to consumers without sacrificing its prestige | @Chanel @adetem

    ARTICLE DU LUXURY DAILY | DECEMBRE 2016

    [LIRE L'ARTICLE DANS SA TOTALITE]

    First runner’s-up Chanel has made itself more relatable to consumers without sacrificing its prestige.

    The brand made moves to appeal to a younger audience, casting teens Lily-Rose Depp and Willow Smith in separate ad campaigns.

    With a continued focus on video content, Chanel introduced five new films in its “Inside Chanel” series. The brand also launched a new series of unscripted Beauty Talks, inviting personalities such as Gisele Bündchen and Keira Knightley to talk makeup and skincare with its global creative makeup and color designer Lucia Pica.

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    Chanel’s social media efforts helped the brand top Brandwatch’s rankings of fashion companies, thanks to visibility and increased reach (Chanel, Lexus top social media performers in fashion, automotive fields). The same researcher also found it to be the most reputable brand on social media (Chanel most reputable brand despite low sentiment: report).

    The brand also got a nod in the beauty space, with an MBLM report finding it to be the most successful at creating intimacy and an emotional connection with followers (Chanel ranks at top of beauty industry’s brand intimacy chart: report).

    A key indicator of brand positioning and desirability, Chanel is one of the highest sellers on the secondhand luxury site The RealReal (Chanel, mega-brands dominate resale market as new sectors surge: report). Chanel was also one of the only brands to record growth in value in Millward Brown’s BrandZ report (Louis Vuitton, Hermès and Chanel only houses to record growth: report).

    Chanel, luxury, fashion, luxury daily

    Aside from its desirability as a brand to own, Chanel was named the most coveted place to work in a survey of millennials conducted by Women’s Wear Daily (www.luxurydaily.com/louis-vuitton-hermes-and-chanel-only-houses-to-record-growth-report/.

    Alongside digital efforts, Chanel courted younger clients with a backstage-themed pop-up. The brand also branched out into the conceptual, curating a daily content hub with i-D magazine (Chanel, i-D magazine advocate for female artistic talent on daily content hub).