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  • La pensée a-t-elle une utilité industrielle ou la dérive du consumer insight ? A lire et à méditer... [#philosophie #beaute #nivea #loreal]

    Les grandes marques de cosmétique font souvent appel aux services de philosophes et de sociologues. La pensée a-t-elle une utilité industrielle ?

    En 2006, Gilles Boëtsch a été contacté par une agence de communication, qui lui a présenté le directeur commercial du groupe allemand Beiersdorf, numéro deux mondial de la cosmétique, propriétaire de la marque Nivea. Ancien directeur du conseil scientifique du CNRS, Boëtsch est anthropobiologiste, spécialisé sur les représentations du corps, et les liens qui existent entre la culture et la biologie. Il a notamment étudié la reproduction des agriculteurs dans le canton limousin de Châteauponsac.

    Les gens de Nivea souhaitaient monter «un observatoire sur le changement de comportement des Français par rapport au corps», dit-il. Boëtsch a mis sur pied une équipe, avec l’historien Georges Vigarello, le philosophe Bernard Andrieu, le sociologue David Le Breton ou la dermatologue Nadine Pomarède.

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  • Leila Hadioui, égérie de la marque de cosmétiques italienne Flormar : une ambition pour le Maroc [#beaute #flormar]

    Leila Hadioui est une mannequin et animatrice télé, icône de la mode et de la beauté marocaine déjà très appréciée dans le pays.

    C’est sans doute pour cette raison que la prestigieuse marque de cosmétiques italienne Flormar, installée au Maroc depuis 2012 l’a choisi comme égérie pour sa nouvelle campagne.

    Leila accompagnera la marque dans l’ensemble de ses actions de communication et de ses événements à travers le Maroc, l’occasion pour la Flormar d’affirmer son désir de devenir la marque favorite des marocaines.

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  • Le #packaging, première représentation du #cosmétique [#beaute #design]

    Le packaging est la première chose qu'un consommateur voit d'un produit cosmétique. Et son look, ses codes, sa technicité influent fortement sur la perception du produit lui-même comme de la marque qui le propose. Des interactions décisives que Sandy Gregory, de la WestRock Company, est venue décrypter lors de la 12e édition du salon PCD qui s'est tenue à Paris 3 et 4 février 2016.

    LA CONVERGENCE DU SOIN ET DE LA BEAUTÉ

    Deux approches restent fondamentales en cosmétique, a rappelé l'intervenante :
    le soin, qui est associé aux packagings plutôt blancs et épurés, et correspond à un besoin de prendre soin de soi : la consommatrice attend une efficacité du produit à moyen ou long terme, et doit faire confiance à la marque pour le choisir ;
    la beauté, dont les codes sont plus glamours et colorés, et qui répond au souci de l'apparence : l'attente est ici beaucoup plus immédiate et le produit, à l'instar d'un rouge à lèvres ou d'un fond de teint, doit faire la différence dès l'application.

    La tendance qui s'affirme actuellement est la conjonction entre ces deux types classiques d'attente : les consommatrices cherchent de plus en plus des produits qui conjuguent soin et beauté. Un packaging réussi doit donc associer les codes visuels et les modes de délivrance du produit qui permettent aux consommatrices de le percevoir comme tel, et aux marques de se positionner à la jonction de ces deux valeurs fondamentales.

    L'étude de WestRock a défini quatre segments de consommatrices, qui se retrouvent partout dans le monde, et sont caractérisés par leur niveau d'implication vis-à-vis du produit cosmétique (le nombre d'étapes qu'elles suivent dans leur routine beauté, l'importance de leurs recherches d'informations sur les produits par exemple sur Internet, l'influence que les blogueuses ont sur elles, combien elles sont prêtes à dépenser, etc.). Les plus impliquées étant généralement clientes des marques les plus premium.

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  • La mode enfant, nouveau terrain de "jeu" des marques de luxe [#luxe #enfant #mode]

    Catherine Pleeck, Week-end.be, 19/02/2016.

    Balmain et Karl Lagerfeld se lancent, eux aussi, dans la réalisation d'un vestiaire pour mômes. Produites en interne ou avec l'aide d'experts de la mode enfantine, ces collections se veulent avant tout créatives, tout en offrant une belle part de rêve.

    Il y avait déjà Kenzo Kids, Fendi, Armani Junior, Baby Dior, Marni, Chloé, Boss, Burberry ou Paul Smith Junior, pour ne citer qu'eux. Les kids (et leurs parents) auront désormais également le loisir de s'habiller en Balmain et Karl Lagerfeld.

    Les deux maisons françaises ont en effet annoncé qu'elles entraient de plain-pied dans le secteur de l'Enfant, dès cette saison printemps-été 2016. Une stratégie qui n'est pas dénuée de sens. Après avoir investi des créneaux annexes, comme le parfum, les lunettes ou la maroquinerie, les enseignes haut de gamme cherchent toujours plus à compléter leur offre de produits. Et, de ce fait, le prêt-à-porter junior constitue un axe de développement important pour ces griffes globales, qui souhaitent présenter un véritable univers de marque à leurs consommateurs.

    (...)

    Mais plus question, pour autant, d'habiller mère et fille à l'identique, comme ce fut le cas il y a quelques années, avec la tendance mini-me. "Nous ne sommes plus vraiment dans cette mouvance, considère la spécialiste de Peclers Paris. Plutôt que de confectionner, en format Enfant, des looks pensés à l'origine pour les grands, le luxe préfère désormais reprendre des matières innovantes issues du monde de l'adulte, pour rebooster et renouveler le genre." 

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  • Substances chimiques et produits de soin pour bébés : les ONG s'en mêlent ! [#bebes #soin #lingette #beauté]

    Lingettes pour bébés : trop de substances chimiques "à risque élevé"

    Dans le cadre d'une étude récente réalisée pour le compte d'un grand laboratoire de produits pour bébé, nous avions attiré l'attention de notre client sur la sensibilité exacerbée des consommatrices, aujourd'hui rejointes par les autorités législatives, sur la présence de substances irritantes ou chimiques, supposées ou réelles, dans les lingettes nettoyantes. La presse semble s'emparer de l'affaire. Une illustration, s'il en était besoin, que le besoin de réassurance est une attente forte pour les produits cosmétiques, a fortiori lorsqu'ils s'adressent aux jeunes bébés (...)

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  • Lutte contre la corruption en #Chine : la fable de la lutte contre les tigres et les mouches [#corruption #XiJiping]

    A regarder pour bien comprendre en Chine le primat du politique sur l'économie et le social.

    La lutte contre la corruption, menée par le Président ‪#‎Xi‬ ‪#‎Jiping‬, s'inscrit pourtant dans une promesse faîte au peuple de lutter contre les "tigres" (les chefs autoritaires) et les mouches (les petits chefs imbus de leur autorité), accusés de favoritisme et d'être corrompus. Il n'y a donc ici que l'application d'une promesse politique, dont le but essentiel est de rassurer le peuple sur la détermination du pouvoir politique à éradiquer la corruption. C'est ici flatter le peuple, en jouant sur son désir de revanche sociale, une politique en partie entachée de démagogie et d'arrières pensées un brin cynique.

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