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tourism

  • #Russia’s #economic trials paves #opportunity for #luxury [#depreciation #tourism #accessories]

    Russia’s economic trials paves opportunity for luxury

    By Staff Reports, 2016-10-10+, Luxury Daily, Retail

    Devalued currency rates in Russia have spurred an uptick in tourism and the purchase of luxury accessories within the market.

    Although Russia’s luxury sector has had its share of highs and lows, many brands have worked to capitalize on its potential.

    With the depreciation of the Russian ruble, the Russian market recognized a +2% increase in purchased personal accessories (in rubles), compared to US dollar purchases which declined by -30%.

    Despite the depreciation, Russian affluents opted to stay local to shop, rather than flying to destinations such as London or Paris to effectuate high-end purchases, since the prices of luxury goods became more attractive at home.

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  • "L'affaire #Kardashian, un nouveau coup dur pour l'image de #Paris" [#FashionWeek #luxe #France #Amérique #bijoux #tourisme #sécurité]

    L'affaire Kardashian, un nouveau coup dur pour l'image de Paris

    By Jean-François Arnaud, 06-10-2016+, Challenges, Challengesoir

    Selon Philippe Jourdan, professeur agrégé des universités et PDG de l'agence de marketing Promise Consulting, les pouvoirs publics commettent une lourde erreur en négligeant l'affaire Kardashian.

    Ce n’est pas un fait divers de plus. C’est une affaire douloureuse dont la victime se trouve être l’une des deux ou trois personnalités les plus populaires de la planète. Cela reflète un certain climat détestable en France qui au final, va nuire fortement à l’image de Paris alors que la capitale a cruellement besoin de la visite de riches touristes d’Amérique et d’Asie.

    On se demande comment il est possible qu’un établissement hôtelier de luxe, situé en plein Paris, disposant de 11 suites de grand standing, n’ait qu’un seul employé présent sur place la nuit. Les visiteurs étrangers ont besoin d’être rassurés.

    > Quelles leçons doit-on tirer de l’affaire Kardashian ?
    > Est-ce si grave alors que les riches Américains sont peu nombreux à venir en France ?
    > Comment jugent-ils la France ? Les événements négatifs finissent-ils par imprimer durablement les esprits?
    > Que peut-on faire ?
    > Peut-on inverser la tendance ?

    [LIRE L’ARTICLE ENTIER]

  • «Le #luxe subit un profond changement de modèle» via @Lopinion

    Associé fondateur du groupe de conseil et d’études Promise Consulting, Philippe Jourdan décrypte la crise que traverse le secteur
    «Le #luxe subit un profond changement de modèle»

    By Muriel Motte, 19-09-2016+, L’Opinion

    [LIRE L’ARTICLE EN ENTIER DANS L'OPINION.FR]

    La baisse de la livre a fait flamber de 36 % les ventes de produits de luxe au Royaume-Uni le mois dernier. Les variations des taux de change ne sont pas le seul élément perturbateur pour les groupes du secteur : digitalisation, ralentissement de la demande chinoise, attentats, les défis s’enchaînent et provoquent parfois des accidents industriels. Spécialiste des marques, Philippe Jourdan anticipe une croissance annuelle de 2 % du marché des produits de luxe dans les prochaines années.

    Quelle est la nature de la crise que traverse le secteur du luxe ?

    Il s’agit d’un profond changement de modèle dont l’effet est amplifié par une conjoncture économique difficile. Jusqu’à la crise financière, le marché des biens de luxe était tiré par une forte demande à laquelle répondait l’offre des grandes maisons qui se voulaient exclusives, et qui contrôlaient les prix et la distribution via le rachat des licences et la création de boutiques en nom propre. Tout cela évolue très rapidement.

    Les groupes de luxe fonctionnaient principalement sur une logique monocanale : la boutique. Ils ont aujourd’hui encore du mal à se positionner sur le schéma de l’omnicanal qui se développe avec Internet. Le ralentissement de la croissance mondiale, puis les attentats, ajoutent à ces perturbations car le marché du luxe est très fortement « drivé » par l’activité touristique (...)

    Cette crise est donc aussi imputable à la forte dépendance du luxe à la Chine ?

    Les Etats-Unis restent dominants et représentent un tiers du marché mondial du luxe. Mais 70 % de la croissance de ce marché au cours des dix dernières années a été le fait de la Chine. Et ce sont les Chinois qui réalisent hors de chez eux l’essentiel (70 %) des achats de produits de luxe.

    Dès que la demande chinoise ralentit - c’est l’une des conséquences de la politique anticorruption et du ralentissement économique du pays entre autres - ou qu’une menace pèse sur le tourisme mondial, le luxe en ressent les effets. C’est le cas aujourd’hui. Les géants du secteur doivent être vigilants sur un autre point : Pékin aura tôt ou tard le souci de rapatrier en Chine continentale un marché qui lui échappe largement, car les taxes imposées sur les biens de luxe rapportent aux caisses de l’Etat. (...)

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    La croissance du marché ne dépend plus de ceux qui ont énormément d’argent, mais de ceux qui en gagnent de plus en plus. Ce n’est pas du tout la même clientèle.

    Les marques doivent s’adresser à de nouveaux profils, des consommateurs plus jeunes, plus cosmopolites, mieux éduqués en matière de luxe mais plus critiques. Et habitués à comparer les prix et les produits puisqu’ils sont évidemment de plus en plus « digital natives ». Il s’agit d’une mutation très profonde, qui génère beaucoup d’interrogations sur la stratégie à mener.

     

    La stratégie digitale est-elle une source de différenciation entre les grands groupes mondiaux ?

    promise consulting, luxe, changement, mutation, digitalisation, chine, USA, croissance, conjoncture, tourism, omnicanal, France, transformation profil, relation-client, différenciation C’est un secteur parfois conservateur qui a du mal à accepter de perdre le contrôle de la distribution, mais tous sont aujourd’hui très actifs. Un des premiers bouleversements est venu de la comparaison mondiale des prix par des clients connectés et globe-trotteurs.
    Face à cela, Chanel a annoncé l’an dernier sa volonté d’établir progressivement un meilleur équilibre des prix de ses produits dans les grandes zones géographiques, Chine, Europe, Etats-Unis. Tous y viendront sans doute mais c’est très complexe en raison des coûts d’approche et des taxes différents, sans oublier les variations de taux de change ! (...)

    [SE RENSEIGNER SUR LE DEUXIÈME BOULEVERSEMENT]

    Google ou Apple débauchent des talents dans les groupes de luxe et veulent investir ce secteur. Menacent-ils les acteurs traditionnels ?

    La dernière génération des acheteurs de luxe, notamment Chinois, est particulièrement adeptes d’objets high tech au détriment des produits plus classiques. Dans ce sens, ces géants peuvent être une menace. (…)

    Le marché mondial du luxe croissait à deux chiffres au début du siècle, un taux tombé autour de 2 % aujourd’hui. Quelle est la « nouvelle normalité » pour les années à venir ?

    La projection moyenne pour les prochaines années est de l’ordre de 2 % à taux de change constants, ce n’est pas si mal pour un marché qui pèse déjà 240 milliards d’euros.

    Nous sommes face à des consommateurs plus exigeants, des marchés plus mûrs, peut-être allons-nous commencer à faire du marketing et à revenir à des fondamentaux de la relation-client, de la qualité de l’offre et du service. (…)

     

     

  • Chinese travel spending shifts from Hard Luxury to Premium Necessities [#luxury #necessities #china #tourism]

    FROM THE JING DAILY - APRIL, 20, 2016 - JENIIFER JAPP

    Recent consumer surveys show that Chinese shoppers are more focused on premium everyday necessities, which is influencing how they make purchasing decisions abroad. A survey conducted by the FTConfidential Research unit at the Financial Times found that Chinese shoppers are more likely to avoid discretionary spending, especially when it comes to high-end fashion accessories like handbags, jewelry, and watches. This marks what the FT calls an “upheaval” in consumer spending patterns overseas, which is happening in tandem with changing habits at home.

    According to an article published in FT last month, there was “a 10.2 per cent year-on-year growth in retail sales in the first two months of the year, down from a full-year 10.7 per cent in 2015 and 12 per cent in 2014.” Their survey asked 1,318 overseas Chinese tourists about their spending habits, and while they reported “they were less likely than previously to buy big-ticket items such as luxury handbags, jewelry and watches while traveling abroad,” they expressed interest in spending on cosmetics, clothing, electronics, and souvenirs, similar to results from a year before.

    FT’s explanation for the reduced discretionary spending on high-end items like jewelry, watches, and handbags abroad is, in part, the rising reliance on cross-border e-commerce coupled with the fact that domestic prices for these goods are not as high as before. But the playing field is ever-changing—tax hikes on cross-border e-commerce announced early this month have thrown luxury industry professionals and shoppers for a loop.

    Still, when Chinese shop abroad, they are increasingly focused on a different type of shopping spree. This includes an emphasis on looking for homegrown luxury brands, such as Coach in the United States, according to a recent survey. But with a bigger focus on health and quality products domestically, Chinese shoppers are also searching out more premium everyday necessities that are difficult to come by at home, and some of these shopping patterns are also molded by the latest safety concerns and unmet demands for new lifestyle trends.

    After Chinese New Year, Xinhua reported on some of the most coveted items for Chinese consumers, broken down according to the various regions they were traveling to. To mitigate safety concerns, Chinese shoppers were buying items like high-end rice and sanitary pads in Japan—many consumers don’t trust the ones at home, as reports surfaced two years ago that some pads made in China contained a chemical that causes cancer. Chinese shoppers also bought condoms manufactured by the leading Japanese brand Okamoto, dodging the fakes pervading the market in China.

    Meanwhile, Chinese consumers are seeking out products that will meet heightened standards for health and wellness, like protein powder from the United States. The Wall Street Journal said GNC’s sales rose almost 43 percent last year as an interest in hitting the gym swept Chinese shoppers. Chinese consumers are also buying more electric toothbrushes—a favorite purchase in Europe according to the Xinhua survey—and taking advantage of access to basic over-the-counter health care products like painkillers and vitamins in Japan. In Australia, a Chinese firm acquired supplement maker Swisse Wellness in part due to huge demand from overseas Chinese travelers.

    These shifting shopping strategies are propelled by a group of outbound tourists whose spending outside of China is quickly rising (they spent $215 billion last year, up from $140 billion the year before), and overseas brands are clearly taking note.

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  • #Female 1% drives #luxury #travel to new places

    Katy Barnato | @KatyBarnato
    CNBC

    Rising numbers of female millionaires and billionaires around the world may help drive a rise in luxury health and wellness holidays and women-only hotel services.

    The number of female ultra-high net worth individuals (UHNWI) – those with net assets of $30 million or more, excluding their primary residences - is increasing faster than male UHNWI, encouraging travel agencies, hotels and tour operators to focus on their interests. These include holidays that focus on "wellness" and can be combined with business or voluntary work, according to data provider, WealthInsight.

    Rising numbers of female millionaires and billionaires around the world may help drive a rise in luxury health and wellness holidays and women-only hotel services.

    The number of female ultra-high net worth individuals (UHNWI) – those with net assets of $30 million or more, excluding their primary residences - is increasing faster than male UHNWI, encouraging travel agencies, hotels and tour operators to focus on their interests. These include holidays that focus on "wellness" and can be combined with business or voluntary work, according to data provider, WealthInsight.

    "Interview and secondary research show that spas, yoga, meditation, health and wellness are appealing to female UHNWI," Roselyn Lekdee, economist at WealthInsight, told CNBC on Wednesday.

    In a report on Tuesday, Lekdee said the number of wealthy females rose by 5.3 percent between 2010 and 2014 in locations with large UHNWI populations (see above). The number of male UHNWIs rose by 4.4 percent, although there were still far more male than female multimillionaires.

    "As wealthy females have greater control over their careers and finances, they are becoming more selective about holidays, demanding personal and more sophisticated services," Lekdee said.

    "Wellness" tourism can incorporate a wide range of activities including spa, yoga, detox, fitness and stress relief. The industry is worth $494 billion globally, according to the Global Wellness Institute, an industry body.

    This type of tourism is growing and proving popular with solo travelers – and women. Several Asian countries are benefiting from the trend, with Thailand, Indonesia, Malaysia and India known for high-end health and wellness holidays.

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  • [#China #luxury #tourism]- Chinese millennials are increasingly rejecting group tours when they travel abroad

    As China’s outbound travel market reached 109 million people in 2015, trips abroad became more personalized, independent, and focused on meaningful experiences than ever before.

    According to a new annual study by GfK released last week, Chinese outbound travel growth has been massive, with retail spending of US$229 billion in 2015. This trend has reached destinations across the globe, which have seen astounding growth rates in the past five years—South Korea has seen its Chinese visitor numbers increase by 112 percent, Thailand 263 percent, Japan 157 percent, Europe 97 percent, North America 151 percent, and the Middle East 177 percent—just to name a few.

    These significant increases have been driven by the independent millennial age group, according to GfK, which states that 50 percent of China’s outbound tourists are between 15 and 29 years old. This group’s values are having a profound impact on the travel industry as their tastes shift from being those of “tourists” to “travelers.”

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