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2015

  • #Luxe : qui sont les "gagnants" et les "perdants" d'une année #2015 tourmentée ?

    Par Marina Torre, La Tribune, @Marina_To

    En dépit des attentats en France et en Belgique et du ralentissement chinois, les grandes marques de luxe européennes restent largement bénéficiaires. Dans le détail, toutes les catégories de produits et acteurs ne sont pas logées à la même enseigne.

    Les magasins de luxe attirent peut-être une foule moins nombreuse qu'auparavant depuis les attentats. Mais les investisseurs restent aux aguets. Ainsi, le titre LVMH, qui a publié le 12 avril des résultats trimestriels inférieurs aux attentes pour la mode et la maroquinerie, fait-il partie des plus prisés du CAC 40 au lendemain de cette annonce.

    "L'environnement est très difficile en raison des attentats. Les magasins à Paris enregistrent des baisses de fréquentation à deux chiffres chez Louis Vuitton. Mais malgré tout, hors Donna Karan, la croissance atteint 2% sur la mode et la maroquinerie? Je dis j'achète!", commente Caroline Reyl, gérante du fonds Pictet-Premium Brands, lors d'une conférence.

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    L'horlogerie en perte de vitesse
    A plus long terme, la croissance, toujours présente, tend à se stabiliser à un niveau plus bas qu'auparavant sous l'effet de "l'atterrissage" chinois. Le secteur de l'horlogerie, en particulier à Hong Kong, reste très affecté par des lois anti-corruption. En outre, l'an dernier, les groupes de luxe suisses en particulier ont eu à essuyer les effets de la suppression du taux plancher du franc suisse face à l'euro. Touché de plein fouet, le groupe Richemont réorganise la direction de plusieurs marques etprévoit des suppressions de poste en Suisse.

    Toutefois, certains segments de l'horlogerie suscitent encore des espoirs comme les produits très haut de gamme, ou bien encore les montres connectées.

    >> "L'horlogerie n'est pas en crise, c'est le monde qui l'est"

    La digitalisation, un critère
    Dernier point qui semble de plus en plus faire la différence: l'e-commerce. Le luxe s'est longtemps montré réticent à se digitaliser. Les craintes? Que l'image de marque soit ternie en raison d'un service moins à la hauteur de leurs ambitions, de pressions à la baisse sur les prix, ces derniers représentant un élément-clé dans la catégorisation des produits de luxe. Mais l'appétence des consommateurs pour les nouveaux moyens d'achat ont eu raison de leurs réticentes. La distribution en ligne continue donc de se développer rapidement. De façon internalisée ou externalisée, notamment via Yoox-Net-a-Porter, plateforme codétenue par Richemont, ou internalisée.

    >> Les marques de luxe cèdent (discrètement) aux sirènes de la vente en ligne

    Au point même que la précocité de leur adoption des stratégies digitales devient un critère de distinction pour certains investisseurs. "Prada ne voulait pas en entendre parler", assure l'un d'eux qui juge un peu "tardifs" les choix de la marque en la matière. La direction de Prada a annoncé lors d'une conférence avec des analystes financiers le 11 avril son intention de développer ses ventes en ligne, notamment via un partenariat avec Yoox-Net-A-Porter.

    Une décision dévoilée en même temps que ses résultats en berne. Le bénéfice net de la griffe a en effet baissé de 6,5%, à 330,9 millions d'euros (359,8 millions de francs) au cours de son exercice 2015/2016 (achevé fin janvier 2016).

    Finalement, les plateformes de vente en ligne de luxe semblent le mieux tirer leur épingle du jeu. Ainsi Net-a-Porter, la marque d'origine britannique du groupe né de la fusion avec le site italien Yoox vient-il de signer un autre partenariat de taille, avec le joaillier Tiffany's.

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  • En #2015, #Paris devance #HK en destination pour les achats de produits de #luxe par les #Chinois [#promiseconsulting #goutsdeluxe #bfmbusiness @bfmbusiness]

    La tendance shopping: Paris détrône Hong Kong à la première destination où les Chinois achètent des produits de luxe - 12/04

    Ce mardi 12 avril 2016, Karine Vergniol vous présente la nouvelle tendance shopping.


    Cette semaine, focus sur les tendances de consommation de produits de luxe des Chinois.

    Avec: Olivier Abtan, directeur associé et responsable mondial de l'expertise Luxe au BCG. Philippe Jourdan, associé de Promise Consulting, expert en études marketing et conseiller des grandes marques de luxe. Et Jing Yang, fondateur de Bonjour Brand. - Goûts de Luxe Paris, présenté par Karine Vergniol, sur BFM Business.

  • Les produits cosmétiques français superstars à l'international ! [#2015 #export #cosmetique]

    Les produits cosmétiques français superstars à l'international ! Les exportations de cosmétiques ont en effet atteint un un niveau record en 2015, portées par les effets de changes positifs liés à la hausse du dollar face à l'euro et par une forte dynamique à destination du Moyen Orient, indiquent les chiffres publiés ce mercredi 16 mars par la Fédération des entreprises de la beauté (Febea) sur la base des données douanières.

    Dans le détail, les ventes à l'export des crèmes de soin, parfums et maquillage fabriqués en France ont atteint 11,8 milliards d'euros l'an dernier, contre 11,3 milliards en 2014. Une performance qui permet à la balance commerciale du secteur d'atteindre un niveau record de plus de 9 milliards d'euros.

    Les crèmes de soin sont restées, de loin, les produits les plus exportés (42,5%) en 2015, devant les parfums (33%) et le maquillage (24,5%) qui a connu cependant les plus forts taux de croissance. Portées par le tout visuel et la mise en scène de soi véhiculés par les réseaux sociaux, les exportations de rouges à lèvres ont grimpé de 17%, celle des fards à yeux de 10% et celles des poudres de 12%.

    Les ventes du secteur réalisées en France étaient quant à elles estimées, en 2015, aux environs de 12 milliards d'euros.

    LVMH, L'ORÉAL ET CHANEL, LE TRIO GAGNANT

    Tiré par les grandes marques des groupes LVMH (Dior), L'Oréal (Lancôme) ou Chanel, la cosmétique française conforte sa position de troisième poste excédentaire de la balance commerciale française, derrière l'aéronautique et les vins et spiritueux.

    Les exportations à destination de l'Union européenne, premier débouché (49%) du secteur, ont augmenté de 5,8% l'an dernier et ont grimpé de 15% à destination des Etats-Unis, deuxième marché des cosmétiques français, pour atteindre 1,1 milliard d'euros, grâce à la hausse du dollar. Elles ont également décollé à destination des Emirats arabes unis, avec une hausse de 15% à 420 millions d'euros.

    La tendance a en revanche ralenti vers l'Asie (16,2% des exportations), où les ventes à destination de la Chine ont limité leur hausse à 8%, après une augmentation de 16,5% en 2014, pour cause de ralentissement économique et de moindre consommation locale.

    LES IMPORTATIONS DE PRODUITS ASIATIQUES EN FORTE HAUSSE

    Dans le sens inverse, à noter que les importations françaises de produits cosmétiques en provenance de Chine, du Japon ou de Corée du Sud ont nettement augmenté. Des marques chinoises comme Herborist, qui mettent en avant la pharmacopée traditionnelle, ou la coréenne Erborian séduisent les consommatrices avec un marketing très ciblé.

    "De nouvelles marques arrivent en France. Elles sont très qualitatives, avec un packaging haut de gamme, et rencontrent un certain succès", déclare à Reuters Virginie d'Enfert, directrice des affaires économiques de la Febea. Si la balance commerciale avec la Chine reste largement positive (420 millions d'exportations pour 86 millions d'importations), "il y là une tendance et ces marques peuvent devenir, demain, des acteurs importants du marché", ajoute-t-elle.

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  • World's super rich keep buying up luxury goods in face of wealth decline [#rich #luxury #wealth]

    Sales of super-yachts rose 40% last year despite number of millionaires and ultra rich falling, according to wealth report

    The global super rich continued to splash out on super-yachts and luxury goods last year, despite a decline in their overall wealth in the wake of financial market turmoil.

    According to the latest wealth report from estate agents Knight Frank, published on Wednesday, sales of super-yachts – boats longer than 24 metres – soared 40% in 2015, with the rich roaring off to ever more far-flung destinations, such as the Antarctic and outposts in Asia, rather than their traditional ports of call in the Mediterranean and the Caribbean.

    The number of ultra rich – people with $30m (£22m) or more in assets – fell 3% last year. There are now 187,500 with assets in excess of that benchmark, down from from 193,100 in 2014. This was the first decline since the financial crisis. Between them, they controlled $19.3tn in assets, down from $22tn the year before. This reflected the rollercoaster global stock markets, the slump in commodity prices and slowing economic growth in China and other countries.

    The number of dollar millionaires around the globe also fell from 13.6 million in 2014 to 13.3 million last year. Together, they hold assets worth $66tn – more than the value of all global shares added together.

    But the report believes that the decline in the number of millionaires is just a blip, and predicts that by 2025, there will be more than 18 million of them.

    So-called investments of passion such as art, cars, stamps and jewellery remain popular among the super rich. Knight Frank’s art index rose by a muted 4% last year, but a number of records were set in the world’s auction houses.

    Pablo Picasso’s Les Femmes d’Alger notched up a new record for a painting sold at auction after fetching more than $179m, while Reclining Nude by Amedeo Modigliani went under the hammer for $170m to a buyer from Shanghai.

    Classic cars increased by 17% in value last year, while coins went up 13%. Knight Frank’s overall luxury investment index rose 7% in 2015. This compares with a 5% drop in the value of London’s leading share index, the FTSE 100, and a rise of just 1% forprime London residential property.

    Andrew Shirley, the editor of the wealth report, said: “Although no classic car managed to beat the record set by Bonhams in 2014 when it auctioned a 1962 Ferrari 250 GTO Berlinetta for $38m, eight of the 25 cars ever to have sold for over $10m at auction went under the hammer in 2015.”

    Wine and luxury watches both posted 5% increases. A Hong Kong-based billionaire set a record for a gem or piece of jewellery when he paid $48.4m for the Blue Moon, a rare fancy vivid blue diamond auctioned by Sotheby’s in Geneva in November. The day before, he paid $28.5m for a vivid pink diamond sold by Christie’s.

    The value of investment-grade Bordeaux wines slumped as a result of a sharp fall in demand from China, but they have now started to recover, said Nick Martin of Wine Owners.

    Even furniture values, which generally had a poor year, set a new auction record for a living maker when the Lockheed Lounge sofa by the Australian designer Marc Newson sold for £2.4m in April 2015.

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