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#gucci

  • #Promiseconsulting #Luxurylab : Gucci ‘Epilogue’ Collection

    From WWD - Alessandra Turra, July 17 2020

    For the latest chapter of his "trilogy of love," Alessandro Michele wanted the collection to be photographed on his design team.

    In literature, an epilogue is meant to provide closure and resolution. However, in the fashion world, rules are less strict and things can be more fluid. Naming his latest collection “Epilogue,” presented with a digital narrative during Milan digital fashion week, Gucci creative director Alessandro Michele wanted to close what he calls “a trilogy of love,” which kicked off with the February show and continued with the fall 2020 advertising campaign. But at the same time he aimed to open a new door on the future of the brand.

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    #Promiseconsulting #Luxurylab #Gucci #Milan #FashionWeek

  • #Promiseconsulting #Luxurylab: Découvrez la nouvelle exposition Gucci online

    Publié par Le journal du luxe - le 20 Mai 2020

     

    La maison de luxe italienne parraine un nouveau projet intitulé « No Space, Just A Place ». Présentée au Daelim Museum de Séoul, ce dernier livre une réflexion sur notre époque et sur les mutations profondes que l’humanité connaît.

    Le luxe se mêle à l’art coréen 

    Inspirée par l’histoire complexe des espaces artistiques indépendants de la capitale sud-coréenne, l’exposition invite à réfléchir à la fois sur la notion d’ « être ensemble » ainsi que sur « les espaces alternatifs comme lieu utopique ».

     
     

    La maison de luxe italienne parraine un nouveau projet intitulé « No Space, Just A Place ». Présentée au Daelim Museum de Séoul, ce dernier livre une réflexion sur notre époque et sur les mutations profondes que l’humanité connaît.

    Le luxe se mêle à l’art coréen 

    Inspirée par l’histoire complexe des espaces artistiques indépendants de la capitale sud-coréenne, l’exposition invite à réfléchir à la fois sur la notion d’ « être ensemble » ainsi que sur « les espaces alternatifs comme lieu utopique ».

    Pour mener à bien ce projet, la curatrice et critique d’art Myriam Ben Salah a ici réuni dix espaces d’art indépendants : Audio Visual Pavilion, Boan1942, D/P, Hapjungjigu, OF, Post Territory Ujeongguk, Space illi, Space One, Tastehouse, White Noise. Afin d’encourager le dialogue et le débat, les artistes Kang Seung Lee, Olivia Erlanger, Martine Syms, Meriem Bennani ou encore Cécile B. Evans y présentent également une sélection d’œuvres inspirées de l’avenir et des mythologies fantastiques.

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  • #Promiseconsulting #Luxurylab: Kering ou l’art de faire repartir les achats de luxe en France

    Publié le 15 mai 2020 à 21:09 par Ivan Letessier

     

    Le propriétaire de Gucci mise sur la clientèle locale pour compenser la perte des touristes internationaux.

    Artère symbole des achats de luxe à Paris, l’avenue Montaigne est vite sortie de sa torpeur. La plupart des boutiques ont rouvert dès le 11 mai, défiant l’absence des touristes. «La clientèle touristique internationale, avec laquelle nos boutiques parisiennes réalisent environ la moitié de leur chiffre d’affaires, a disparu pour au moins un an, mais nous sommes attachés à maintenir toutes nos équipes en place pour préserver l’emploi», assure François-Henri Pinault, le PDG de Kering (Gucci, Saint Laurent, Balenciaga...).

    Après deux mois de confinement à Londres, le patron a pris le premier Eurostar lundi matin. Masque griffé Bottega Veneta sur le nez (un modèle en tissu organique lavable 100 fois, fabriqué dans les ateliers de la maison italienne à Vicenza), il a fait la tournée des boutiques parisiennes plusieurs fois dans la semaine.

    Habitué, depuis dix ans, à surfer sur les vagues de forte croissance, portées par l’essor du marché de la clientèle chinoise, Kering a profité du confinement pour adapter son modèle et préparer la reprise. Dans toutes les boutiques du groupe, la règle est la même: les clients sont invités à s’enduire les mains de gel hydroalcoolique dès l’entrée, et des flacons sont disséminés partout à l’intérieur. Ceux qui arrivent sans protection se voient offrir un masque chirurgical. Le nombre de clients est limité: il n’y en a pas plus que de vendeur. De quoi assurer un service personnalisé...

     

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