Publié par Le journal du luxe - le 20 Mai 2020
La maison de luxe italienne parraine un nouveau projet intitulé « No Space, Just A Place » . Présentée au Daelim Museum de Séoul, ce dernier livre une réflexion sur notre époque et sur les mutations profondes que l’humanité connaît.
Le luxe se mêle à l’art coréen
Inspirée par l’histoire complexe des espaces artistiques indépendants de la capitale sud-coréenne, l’exposition invite à réfléchir à la fois sur la notion d’ « être ensemble » ainsi que sur « les espaces alternatifs comme lieu utopique ».
La maison de luxe italienne parraine un nouveau projet intitulé « No Space, Just A Place » . Présentée au Daelim Museum de Séoul, ce dernier livre une réflexion sur notre époque et sur les mutations profondes que l’humanité connaît.
Le luxe se mêle à l’art coréen
Inspirée par l’histoire complexe des espaces artistiques indépendants de la capitale sud-coréenne, l’exposition invite à réfléchir à la fois sur la notion d’ « être ensemble » ainsi que sur « les espaces alternatifs comme lieu utopique ».
Pour mener à bien ce projet, la curatrice et critique d’art Myriam Ben Salah a ici réuni dix espaces d’art indépendants : Audio Visual Pavilion, Boan1942, D/P, Hapjungjigu, OF, Post Territory Ujeongguk, Space illi, Space One, Tastehouse, White Noise. Afin d’encourager le dialogue et le débat, les artistes Kang Seung Lee, Olivia Erlanger, Martine Syms, Meriem Bennani ou encore Cécile B. Evans y présentent également une sélection d’œuvres inspirées de l’avenir et des mythologies fantastiques.
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