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  • #Pharmacies : Rester dans une logique de diagnostic pour la #cosmétique - Le #pharmacien et le #besoin de #transparence

    "Comment le pharmacien doit-il s’adapter au besoin de transparence ?"

    By Fabienne Colin, 2016-10-01+, Pharmacien Manager N°161, News : Face à Face

    Le marché du soin en officine se porte bien, au détriment de la parfumerie. Une opportunité que le pharmacien a intérêt à exploiter pour fidéliser. Conseils de Philippe Jourdan, expert en Marketing, diplômé d’HEC et fondateur de Promise Consulting, un groupe spécialisé dans l’accompagnement stratégique des marques cosmétiques.

    Pendant que les clients avaient le réflexe de se rendre en pharmacie uniquement pour l’ordonnance, ils s’adressent aujourd’hui au pharmacien pour des questions de soin. En effet, la crise a fait émerger un nouveau type de consommateur qui devient prêt de fréquenter les pharmacies pour leurs achats.

    Or, grâce à l’ambiance, l’aménagement et l’accueil des beauty consultants, des enseignes comme Sephora favorisent jusqu’à présent beaucoup plus des achats de plaisir, qu’une pharmacie. C’est la raison pour laquelle les pharmaciens doivent détecter cette opportunité, prendre des bonnes décisions et agir.
    Les officines doivent se réorienter et réinventer, devenir des magasins ouverts qui attirent la clientèle, non seulement pour des problématiques de soin, mais également pour d’autres envies.

    Cela signifie-t-il qu’il faut passer au libre-service comme en grande distribution ?

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    [SE RENSEIGNER SUR LA REVUE PHARMACIEN MANAGER]

  • #Pharmacies : rester dans une logique de diagnostic pour la #cosmétique

    PHARMACIES MANAGERS - FABIENNE COLIN - 01 OCTOBRE 2016

    Le Marché du Soin en Officine se porte bien au détriment de la parfumerie. Une opportunité que le pharmacien a intérêt à exploiter pour fidéliser. Conseils de Philippe Jourdan, expert en Marketing.

    (...)

    PM : Les officines ont-elles changé assez rapidement ?

    PJ : Nous observons cela à travers la parapharmacie. Menant nos études à l'international, nous ne sommes pas réellement surpris du poids que prend la pharmacie sur les marchés du soin de la peau en France. C'est déjà le signe du rattrapage d'un certain retard. On remarque aussi que le consommateur se tourne de plus en plus vers la pharmacie pour le soin et notamment sur l'hydratation et la prévention des effets de l'âge. Et ce pour trois bonnes raisons : la recherche de produits naturels, le questionnement sur l'efficacité et une certaine méfiance face à des marques qui ne présenteraient pas toutes les garanties à propos des effets secondaires. Enfin, on sent une montée de la réglementation, notamment européenne, sur les composants. On adopte de plus en plus un discours de transparence scientifique et le consommateur semble y être favorable. Cela correspond assez bien au discours blouse blanche de la pharmacie. 

    (...)

    PM : dans ce contexte quelles sont les marques qui sortent du lot ?

    PJ : Pour certaines catégories de produits et certains cas, le consommateur est dérouté par la surabondance de marques et d'offres. Il perd ses repères, il zappe et du coup il est moins consciencieux dans le suivi d'une routine. Or on sait que l'efficacité du soin est lié au produit et à la régularité de son application pendant un temps suffisamment long. Le nombre de marques et le rythme d'innovations sont parfois de nature à perturber le consommateur. De son côté, la pharmacie a le grand avantage d'avoir une offre resserrée autour de marques fortes, souvent clairement identifiées par un bénéfice majeur. Le repérage est plus facile. La Roche-Posay a fait un bel effort pour s'assurer une visibilité en pharmacie autour de bénéfices peu nombreux mais clairement identifiés.

    (...)

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    [EN SAVOIR PLUS SUR LA REVUE PHARMACIEN MANAGER]

  • Storytellers : quand #luxe s’allie à expérience #digitale augmentée [#storytelling #personnalisation #solutiondigitale #distribution #réalitéaugmentée]

    Storytellers : quand luxe s’allie à expérience digitale augmentée

    By Romain +, 30-juin-2016, Interviews, Journal du Luxe

    Le studio TakeOff est spécialisé dans le design graphique via le print, la production audiovisuelle et la production multimedia. La société propose désormais aux marques de luxe de retranscrire leur ADN à travers des coffrets hauts de gamme.

    Nous nous imprégnons de l’esprit du produit, de ses créateurs, de son histoire et des valeurs qu’il véhicule. Ensuite, nous matérialisons l’ensemble à travers un coffret et un contenu ultra personnalisé et qualitatif. De plus, nous proposons une solution digitale qui pourra apporter un aspect différenciant comparé à un coffret classique.

    Nous avons une expertise prouvée sur la réflexion, conception et fabrication d’Editions Collectors. Mais au-delà, nous apportons un savoir-faire unique concernant une nouvelle mécanique de distribution qui évite de surcharger les linéaires tout en incluant des innovations digitales telles que l’activation intelligente des réseaux, la réalité augmentée, les applications ou même l’holographie.

    La start-up « Storytellers » a exposé son idée au Salon du luxe Paris les 6 et 7 juillet 2016.

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  • The Changing Face of #Luxury #Retail

    Endri Hasanaj | Mar 25

    With the luxury ecommerce market set to reach $41.8 billion by 2019, navigating the online space is becoming increasingly crucial for high-end retailers. Whereas luxury brands have traditionally set themselves apart by creating an exclusive in-store experience, the significant shift to online over recent years has brought with it a new set of customer expectations. Luxury vendors now face the challenge of redefining their approach in order to stay relevant and ensure they continue to reach their target audience.

    Traditionally, luxury retail has thrived on brand loyalty; customers in the market for a high-end product would typically have a brand in mind and go directly to that particular store to make their purchase. A sale would be dependent not on price factors or product specs, but rather on a first-class in-store customer experience. However, the internet has made it easier than ever to run comprehensive product, price and vendor comparisons, meaning that today’s shoppers are not only extremely well-informed, but accustomed to choice.

    As highlighted by this Technavio report regarding the end of last year, this has led to a notable shift in luxury consumer patterns; high-end shoppers in the online sphere strongly favor a multi-brand environment over single-brand sites. Convenience is now a pivotal factor, and one that online marketplaces are evidently fulfilling more successfully than their uni-brand counterparts. Chrono24, for example, serves as a one-stop-shop for luxury watches, offering competitive pricing, convenient delivery and extensive brand diversity. A quick look at their range here – from Rolex to Cartier to Omega – shows that they are effectively eliminating the need to shop around for these brands individually.

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  • Peut-on lancer de nouvelles marques "pépites" en France ? [#cosmetique #distribution #indies]

    Paru dans Cosmetiquemag, Mars 2016, Angélique Vallez d'Erceville

    Alors que des pépites américaines ou britanniques font le buzz et s'invitent dans les rayons, les petites nouvelles sont rarement françaises. Avec ses marques patrimoniales et la maturité de son marché, l'Hexagone s'apparente à une montagne difficile à franchir.

    «En France, l'espace est encombré avec une très forte concentration de la distribution . Le ticket d'entrée est très élevé.La percée de nouvelles marques est sans doute plus facile au Royaume-Uni ou aux États-Unis.» [Philippe Jourdan]

    «Trois conditions sont nécessaires pour réussir : avoir une histoire , un actif qui fait la différence et être appuyé par un groupe avec des moyens ,car il faut injecter des millions d'euro dans la machine.» [Laurent Pelletier, directeur général d'IXI]

    «Quand un marché est mature, les routines se figent. Les détourner devient plus compliqué et plus coûteux. les Françaises attendent certes de nouvelles franchises, mais plutôt de la part des marques existantes" [Philippe Jourdan]

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