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Chez Promise - Page 7

  • @Kawa @ygourven | Le "Digital expliqué à mon Boss" vient de sortir | @Editions_Kawa @FrenchWeb

    « LE DIGITAL EXPLIQUÉ À MON BOSS » : LE TOUT-PUISSANT CONSOMMATEUR DIGITAL 

    Philippe Jourdan, Valérie Jourdan et Jean-Claude Pacitto, respectivement associés fondateurs de Promise Consulting Inc. et chercheur associé à l’ESSCA, par leur expertise dans le marketing et le digital, ont souhaité apporter leur contribution au « Le Digital Expliqué à mon Boss », un ouvrage de Yann Gourvennec et Hervé Kabla édité chez Kawa à paraître le 16 mars. Le livre traite du digital, de son poids dans notre quotidien de consommateur mais aussi dans celui des entreprises.

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  • T. TALK NYC | Which Fashion Houses have the 'Hottest' brands?" | Thursday, February 2nd NYC

    TRAUB & Threadstone invite you to the First T.TALK |Thursday, Feb 2nd, NYC

    "WHICH FASHION HOUSES HAVE THE 'HOTTEST' BRANDS?"

    Discussion led by the founders of the Worldwide Barometer Exclusivity & Desirabil| ity of Luxury Brands Index

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    Luca Solca, Head of luxury goods research of financial services firm Exane BNP Paribas. Luca is the #1 ranked analyst for luxury coverage.

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    Philippe Jourdan, Partner at Promise Consulting, the premier luxury marketing research firm in Europe focused on measuring brand equity.

    Thursday, February 2nd, 2017, 6:30 PM

    Le Skyroom | 22 E 60th Street, NY 10022

    PLEASE RSVP TO ahafkin@marvintraub.com by January 27th

    Space is limited so a prompt RSVP is appreciated.

     

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  • [@pointsdevente]- Faut-il céder à la tentation du #masstige ? [@adetem @luxurysociety][Philippe Jourdan]. Si l'idée est de substituer au prestige le masstige parce que le ralentissement de l'économie oblige les actionnaires à maintenir ou à aller chercher

    Faut-il céder à la tentation du masstige, à mi-chemin entre mass market et prestige?

    Propos recueillis par Cécile Buffard pour Points de Vente

    [Philippe Jourdan]. Si l'idée est de substituer au prestige le masstige parce que le ralentissement de l'économie oblige les actionnaires à maintenir ou à aller chercher des volumes dans une confusion des genres, je réponds non. En revanche, certaines marques du mass peuvent adopter temporairement les codes du luxe. C'est une stratégie qui plaît beaucoup aux jeunes clientes, adeptes du mix and match. Reste, toutefois, la question du futur. Quand, dans vingt ans, les Millennials auront grandi, préféreront-ils toujours le masstige au prestige? Il faut, également, démystifier la recette du masstige qui consiste à fabriquer des copies des modèles de la haute couture avec des matières premières et un savoir-faire de moindre qualité. Sur ce sujet, je serai plus sévère que Coco Chanel qui disait se moquer de la copie. Quand on s'approprie les codes d'une marque, dans le secteur de la santé on appelle ça un générique, dans la mode c'est une contrefaçon.

    [LIRE LA SUITE DE L'INTERVIEW SUR CE BLOG]

    [LIRE L'INTERVIEW DANS POINT DE VENTE]

  • L'effet @Kardashian? Un quart des Français portent moins de bijoux par peur du vol [#Luxe #Joaillerie # People #Tourisme #Insécurité]

    ARTICLE PARU DANS CAPITAL.FR EN DATE DU 24/10/2016

    [LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]

    Le braquage très médiatisé de Kim Kardashian n’est pas à l’avantage de l'hôtellerie parisienne ou des grands acteurs du luxe. Selon l’étude réalisée à la suite l'événement par le cabinet de conseil Promise Consulting [1], 23% des Français possédant des bijoux déclarent les porter moins souvent. Le taux atteint 24% chez les propriétaires de sacs de marque et 18% chez les porteurs de montres.

    À la suite de cela, il leur avait été demandé les raisons pour lesquelles, ils ont réduit leurs ports d’articles de luxe. La raison est sans équivoque, la peur du vol et des agressions est le critère numéro 1 de 36% des détenteurs de colliers, bagues et autres bracelets, de 34% des possesseurs de sacs de marque et de 27% des porteurs de montres.

    Un fait intéressant ressort, ce sont les hommes qui manifestent le plus cette craintes face au risque d'agression contrairement aux femmes.

    Selon Philippe Jourdan, Promise Consulting, "les acteurs du luxe devraient l’accent sur la compréhension de ce sentiment d'insécurité. Il est très peu analysé dans les études de marché. Or il compte autant que les facteurs classiques comme l'envie, le besoin, la non-saturation ou la pression sociale dans la compréhension des usages."

    [1]- L’enquête a été conduite via Access Panel du 5 au 7 octobre 2016, auprès d'un échantillon de 1050 personnes représentatives de la population française avec un « boost » auprès des 15% de Français.

  • L'#insécurité et la #consommation de produits de #luxe : vrai ou faux problème ? [@adetem]

    Deux études de Promise Consulting analysées par Philippe Jourdan et Jean-Claude Pacitto apportent un éclairage intéressant sur la relation entre insécurité perçue et les moindres usage et consommation de produits de luxe.

    Editorial paru dans Cosmétique Mag Hebdo, 14 novembre 2016.

    Par Philippe Jourdan, associé de Promise Consulting et professeur des Universités, et Jean-Claude Pacitto, maître de conférences et chercheur associé à l'ESSCA.

    [EN SAVOIR PLUS SUR COSMETIQUE MAG HEBDO]

    [TELECHARGER L'EDITORIAL

    La récente actualité du braquage de Kim Kardashian auquel font écho d’autres cambriolages effectués en plein jour place Vendôme ou rue de la Paix relance le débat sur l’insécurité des biens des personnes sur notre territoire. On peut sur le même sujet souligner l’angoisse de la communauté chinoise, particulièrement visée en raison de la détention supposée d’argent liquide en quantités par ses résidents et ses touristes. Alors l’insécurité est-elle un faux débat s’agissant des achats de luxe en France ? S’agit-il d’une réalité fantasmée, exagérée par les média, sans conséquence sur le désir d’achat des produits de luxe. Deux études récentes nous apportent un éclairage intéressant.

    En dehors du caractère douloureux de ces affaires, force est de constater que l’impact sur l’opinion ne peut être tenue pour négligeable, car si l’affaire Kardashian est « un acte très rare survenu dans un espace privé » selon les propos malheureux de la Maire de Paris, c’est négliger l’effet cumulatif sur l’opinion d’un fait divers qui succède à d’autres (sans compter le maintien de l’état d’urgence dans notre pays). C’est aussi faire fi de la popularité de la star sur les réseaux sociaux. Insécurité réelle ou perçue ? Acte de violence généralisée ou circonscrit ? Là n’est pas le problème. En matière d’opinion, ce qui compte c’est, d’une part, la perception du grand public et, d’autre part, le poids des politiques. Interrogé immédiatement après l’affaire Kardashian, 35% des habitants de Paris et de l’Ile de France ont exprimé leur crainte d’une nouvelle chute de l’activité touristique (et 42% des catégories socioprofessionnelles supérieures)[1]. On peut certes espérer qu’ils se trompent, car inquiétude ne vaut pas nécessairement prévision et nul n’est Pythie en la matière ! On peut aussi penser qu’en matière de tourisme, seule l’opinion des touristes étrangers comptent au final. Or, à cet égard, plusieurs faits méritent d’être rappelés. Les Chinois fortunés achètent pour l’essentiel en dehors de la Chine continentale pour plus de 70% de leurs achats. Or ils boudent aujourd’hui notre Capitale avec un repli de l’ordre de 20% sur le premier semestre 2016, les autorités chinoises n’ayant pas manqué de se faire le relais du climat d’insécurité à l’encontre de la communauté chinoise en France, qui se surimpose – répétons-le – au maintien de l’état d’urgence. S’agissant des Américains, le repli est moindre (5,7% sur la même période), ces derniers se déplaçant comparativement moins en Europe et effectuant l’essentiel de leurs achats de produits de luxe dans leur propre pays (83%). Mais c’est oublier que Paris est une référence obligée dans l’univers de la mode et du luxe, du fait du rayonnement de nos plus grandes marques (Chanel, Dior, Louis Vuitton, etc.), que la Fashion Week s’inscrit dans une concurrence exacerbée avec d’autres Capitales (Milan et New-York en particulier), et que pour la clientèle américaine, la sécurité des biens et des personnes est une liberté fondamentale avec laquelle elle ne transige pas, ainsi que l’atteste l’âpreté des débats au cœur des élections présidentielles américaines.

    Mais le climat d’insécurité a également un impact plus pernicieux, car rarement évoqué sinon quantifié : l’insécurité est un frein à la consommation de produits de luxe car il en raréfie les occasions d’usage. Le désir d’acheter ou de racheter – au-delà de la possibilité financière de le faire- est conditionné d’un point de vue psychologique par l’envie, le besoin, la non saturation, la pression sociale, etc. S’y ajoute le sentiment de sécurité, c’est-à-dire l’absence de crainte, fondée ou non, d’être dépossédé des biens acquis. Qu’en est-il pour les Français aujourd’hui ? Une étude récente[2] menée par notre Cabinet éclaire les comportements de nos concitoyens d’un jugement sans appel : environ une personne sur quatre déclare porter aujourd’hui moins souvent l’objet le plus précieux qu’elle possède s’agissant de vêtements, sacs, bijoux ou montres et la crainte des vols et des agressions est une raison majeure : cette crainte est particulièrement marquée s’agissant des bijoux (36%) , des sacs de marque (34%) et des montres (27%), devançant même les moyens de transport (motos, scooters et voitures). Le vol à l’arraché est donc bien une réalité perçue de nature à réfréner l’usage de produits de consommation de marque ou de luxe

    En conclusion,  il convient de ne pas négliger le poids des facteurs psychologiques dans le choix des destinations touristiques ou bien dans l'usage, et partant l'envie, d'acheter ou de posséder des biens de consommation de luxe. Au-delà de la crise économique, l'envie d'acheter Avenue Montaigne ou Rue du Faubourg Saint Honoré ou bien encore Rive Gauche est dépendant d'un sentiment de sécurité, qui, pour subjectif qu'il soit, devrait plus fortement retenir l'attention des autorités en charge de la sécurité. L'achat de produits de luxe est fragile car il n'est nullement nécessaire mais tout juste désiré. C'est à maintenir ce désir que les acteurs du luxe, les professionnels du tourisme et les pouvoirs publics devraient ensemble se consacrer.


    [1] Baromètre Promise Consulting.- 1.050 personnes interrogées en ligne entre le 03 et le 05 Octobre 2016.- Echantillon représentatif population française sur les critères de genre, d’âge, de région d’habitation, de catégories socioprofessionnelles.
    [2] Ad Hoc Promise Consulting.- 1.050 personnes interrogées en ligne entre le 05 et le 08 Octobre 2016.- Echantillon représentatif population française sur les critères de genre, d’âge, de région d’habitation, de catégories socioprofessionnelles avec un boost sur les 15% de foyers aux revenus les plus élevés.

     

  • Communiqué de presse: Quand l’insécurité inhibe la consommation des produits de marque ? [#insécurité #consommation #marques #luxe #vols #agressions]

    Promise Consulting Inc., société de conseil et d'études en marketing, publie les premiers résultats d’une enquête à plusieurs volets consacré à la relation entre l’achat et l’usage. Cette étude doit déterminer quel est le poids d’un moindre usage dans le temps sur l’achat ou plus exactement sur l’envie de consommer, de porter, d’utiliser ou de renouveler les biens que l’on possède, en particulier dans le domaine des produits de consommation de luxe.

    Vous souhaitez être tenu informé : philippe.jourdan@promiseconsultinginc.com
    Vous souhaitez télécharger les slides : [CLIQUER ICI]

    La première phase de cette étude porte sur la relation entre l’insécurité perçue et un moindre usage des produits que l’on possède, avec un focus sur les biens et les produits de valeurs. Les premiers résultats sont dévoilés en exclusivité.

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