Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Faites connaissance avec le Jury du Prix de la Recherche RFM [@adetem @eiml #adetem]

    elodie de boissieu, eiml, rfm, adetem, nuit du marketing

    Aujourd'hui, Elodie de Boissieu, nous présente sa motivation à rejoindre le Jury qui décernera lors de la Nuit de l'Adetem, le 05 Juillet 2016 à Paris, le Prix de la Recherche RFM / ADETEM.

    Elodie, pourquoi avoir accepté de rejoindre le 1er Jury de la Recherche RFM / ADETEM

    Ayant moi-meme eu l'opportunité de rédiger pour la recherche en marketing, je trouvais intéressant de me retrouver de l'autre côté de la barrière et d'accepter l'invitation de monsieur jourdan. Faire partie de ce jury est pour moi, une formidable façon d'apporter ma pierre à l'édifice de la recherche en mettant mon expertise marketing et commerciale du secteur des industries créatives (plus de 15 ans passés dans le secteur du luxe) ainsi que ma vision d'opérationnel du marketing au service de la revue RFM de l'ADETEM.

    Mon apport ? Etant donné mon expertise, je me concentrerai naturellement sur les apports manageriaux et applications opérationnelles des apports scientifiques produits par les articles de recherche sélectionnés.

    Elodie, en quelques mots....

    Sa double formation acquise à HEC Montréal (BAA) et à l'EM-Lyon ainsi que son expérience dans des entreprises multinationales lui permettent d'évoluer aisément dans un contexte international et pluriculturel. 

    Actuellement directrice de l'Ecole Internationale du Marketing du Luxe à Paris, consultante marketing dans le secteur du luxe et intervenante en marketing dans plusieurs écoles de gestion, Elodie de Boissieu possède une expérience de plus de quinze ans en marketing sur les fonctions marketing, communication et commerciale acquises à la fois dans des structures indépendantes familiales (Christofle, Lalique, Baccarat, Ercuis, Raynaud, Groupe Cyril Lignac, etc.), mais également au sein de grands groupes internationaux leaders dans leur domaine (LVMH, Arc International, Yves Rocher). 

    La RFM, Revue Française du Marketing en quelques mots...

    La Revue Française du Marketing a pour vocation de contribuer à faire connaître les techniques et les pratiques marketing les plus innovantes aux communautés académiques, étudiantes et professionnelles dans le monde francophone. Elle poursuit donc une double ambition : une qualité scientifique dans le choix des articles publiés et une sélection basée sur la pertinence, l'intérêt, la portée pour l'ensemble des professionnels du marketing (enseignants et praticiens)des meilleurs articles.

    Première revue française dans le domaine des études et de la stratégie marketing, la Revue Française du Marketing diffuse, en France et dans 38 pays, 4 numéros par an.

    [Découvrir la revue]

    [En savoir plus sur la Nuit du Marketing]

     

  • Le nouveau filon du prêt-à-porter : les objets de déco [#mode #deco @stylist]

    Après le vestiaire, ce sont les étagères que tentent d’infiltrer les marques de mode. Le nouveau filon du prêt-à-porter : les objets de déco.

    Dans les boutiques de vêtements, vous trouvez désormais de tout. L’appartement Sézane, l'Annexe Sessùn ou plus récemment, la boutique de Valentine Gauthier proposent entre deux bombers, des meubles et des objets lifestyle (bougies, carnets, coussins, mugs...) imaginés en collaboration avec des designers ou issus de leur propre benchmark "idées déco pour le salon". Mais d’où vient cet engouement du concept-store mono-marque ? « Cette tendance, c’est un peu la continuité du DIY, l’expertise d’une marque installée en plus », analyse Philippe Jourdan, consultant pour Promise Consulting Inc. « Avec l’explosion des blogs, les représentants de la mode veulent s’exprimer sans aucune limite et l’opération est d’autant plus réussie si les objets proposés restent en adéquation avec les prix et le parti pris créatif de la marque. De plus, en contexte de crise, nous avons tendance à opérer un repli sur soi et vers son intérieur. Les gens aiment s’exprimer sur leur habitat et cela sans aucun tabou puisqu’avec Instagram, le « chez soi » s’expose bien volontiers. » À quand les recettes #instafood entre deux rayons de chaussures ?

    [ARTICLE SUR STYLIST]

  • Chanel winning fight against luxury grey market [@chanel #chanel #promiseconsulting #luxury]

    By Sarah Marsh - Business Insider - May 2, 2016, 6:15 PM

    By Sarah Marsh

    HAVANA (Reuters) - Chanel, the world's second largest luxury brand, said on Monday its efforts to curb the grey market have been successful and are helping boost revenue in China despite weaker overall demand for luxury goods.

    The company narrowed its price gaps between the United States, Europe and Asia last year to prevent smugglers buying goods in one region to re-sell to another in the grey market.

    "We reduced quite a lot the parallel market, mainly in Asia, and we have double-digit growth in our boutiques in mainland China," , Chanel's president of fashion, said in an interview in Havana.

    Chanel will unveil its latest Cruise collection in Havana on Tuesday, in Cuba's first major fashion show since the 1959 revolution and another sign of warming relations between the Communist-ruled island and the West. The United States and Cuba formally agreed to restore diplomatic relations last July.

    Despite the success in curbing grey market sales, the privately owned company expects slower sales growth this year, Pavlovsky told Reuters in Havana's landmark Teatro Marti. He declined to disclose figures.

    He noted that Chanel has an entire team, including external lawyers, that monitors the secondary market.

    The luxury goods industry been plagued in the last few months as a drop in global tourist traffic due to recent terrorist attacks, slower economic growth in China, and record low oil prices have dented the purchasing power of important luxury buyers from Russia and the Middle East.

    In April, industry leader LVMH said its fashion and leather goods sales were flat while Hermessaid revenue growth slowed in the first quarter.

    Pavlovsky said fewer Russians were traveling due to the weak rouble, and Brazil's recession has curbed demand there.

    But Chanel was seeing solid growth in the United States, some parts of Europe such as Britain, Russia, China, Japan and Korea, he said. Chinese and Russians not traveling abroad as much were buying more at home.

    "There is a slowdown but not such a big slowdown," he said.

    Pavlovsky said Chanel was presenting its latest inter-seasonal Cruise line in Cuba because the country had inspired Karl Lagerfeld, the company's chief designer and creative director. Chanel, which began as a millinery store in 1909 in Paris, was also returning to its roots, he added.

    Founder Coco Chanel designed early collections for wealthy and glamorous Americans holidaying on yachts and cruises in the Caribbean. Cruises to Cuba had been forbidden during the country's standoff with the United States.

    Earlier on Monday, the first U.S. cruise ship to sail to the island in more than 50 years docked in Havana.

    Chanel, which has fewer than 200 boutiques worldwide, will not be setting up shop in Cuba any time soon, Pavlovsky said. "Why not, one day," he said. "But not in the coming years."

    (Reporting by Sarah Marsh; Editing by Richard Chang)

    [LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]

     

  • Chanel s'invite à la Havane pour un défilé inédit, symbole de l'ouverture au Monde de l'Ile [#promiseconsulting #chanel @chanel #luxe]

    Posted by Pureactu.com | 4 Mai, 2016 | Pure Buzz |

    Devenue The place to be, l’île de Cuba vient d’accueillir un défilé signé Chanel. Après les Rolling Stones, l’opération séduction du gouvernement cubain continue avec un défilé haute couture proposé par la célèbre maison de luxe parisienne. Un événement clinquant, symbole d’un capitalisme triomphant.

    Sur le Paseo del Prado, boulevard à ciel ouvert à 300 mètres de la mer décoré pour l’occasion, le luxe s’est imposé.

    La prestigieuse marque a choisi la Havane pour son premier podium en Amérique latine et pour dévoiler sa nouvelle collection bourrée de références à la culture de l’île avec ses sombreros typiques, ses cigares et ses vieilles voitures. Artistes et officiels cubains, mais aussi célébrités d’Hollywood, comme Vin Diesel et Tilda Swintonou, ont assisté au défilé, accessible sur invitation uniquement. (...) 

    « Finalement, le monde s’ouvre à Cuba. Tout le monde veut connaître la pomme interdite, tout le monde veut la découvrir, la savourer, en profiter, l’explorer », a déclaré à l’AFP Mariela Castro, fille du président Raul Castro et directrice du Centre national d’éducation sexuelle.

    [LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]

  • [Figure You Should Know] –18,3 billion $ is the estimated Indian Luxury Market in 2016 [#economy #luxury #promiseconsulting @LuxurySociety]

    The Indian luxury market is expected to cross that amount during this year.

    According to a research report by Euromonitor, India merely contributes 1-2% to the global luxury trade. However, despite this insignificant percentage, the market is growing at a compounded annual growth rate (CAGR) of about 25%. Indian luxury market is expected to cross $18.3 billion by 2016 from the current $14.7 billion.

    As per a study by Assocham , in 2015, luxury jewellery, electronics, SUV cars and fine dining have grown immensely. Apparel, accessories, wines and spirits are growing as strongly as in the past. Consumption of branded wine is also likely to register a over 30% increase in the metro cities.

    Indian brands are starting to be well-known, with Gitanjali Group (jewellery retailers), Titan Company (5th largest manufacturer of wrist watch in the world) and PC Jeweller Limited (jewellery retailers) now accessing the top 50 luxury brands worldwide.

    Finally, it is to be noted that cosmetics and beauty products markets are highly lucrative in India, since women’s purchasing power is greater.

    READ THE FULL ARTICLE : [Luxury Society]

    You would like to know more about Promise Consulting? Blog Promise Consulting

  • Le prêt-à-porter de luxe au Maroc: entre réalité et fantasme, comment se porte-t-il ? [#maroc #luxe #mode]

    SOURCE HUFFPOST MAROC- Zoubida Senoussi et Abdessamad Moustaid - MAI 2016

    MODE - Pour la majorité des femmes marocaines, le luxe évoque "l'esthétique, la beauté et l'élégance", selon une étude réalisée par le cabinet Marketing B. Voilà pour la théorie, car dans les faits, la récente fermeture des Galeries Lafayette à Casablanca et leur remplacement par des marques low cost interroge sur la maturité du marché marocain du prêt-à-porter de luxe.

    Pour Éléonore Bénit, rédactrice en chef du magazine Icônes (Groupe Telquel), "le marché du luxe, comme tous les marchés de niche, a ses limites et n’est pas extensible à merci. Le départ successif de marques comme Miu Miu ou Prada il y a quelques mois indiquait déjà que le marché du retail de luxe au Maroc était – et est toujours – loin d’être mature. À l’inverse, une marque comme Tati répond de façon bien plus cohérente à la réalité du pouvoir d’achat de la majorité des habitants des grandes villes de notre pays".

    Loin d'être mature, ce marché pourrait également être impacté par les habitudes d'achat et les comportements des consommateurs aisés, qui préfèrent faire leurs emplettes à l'étranger dans les capitales du luxe comme Milan, Paris ou encore Dubai, "où l'on dispose de plus de choix et de.... discrétion", estime Sofia Benbrahim, fondatrice de Shoelifer, média marocain axé sur le luxe et l’art de vivre.

    "Consommer du luxe, c'est vivre une expérience"

    Pour Meryame Mellouk, professeur en marketing de luxe à l'Université Hassan II à Casablanca, "la mobilité à l’international fait que les achats se font en général dans d’autres pays où l'on pense bénéficier du produit global offert par le luxe (évènements privés, accueil personnalisé, collections privées…) bref, tout ce qu’offrent les maison de luxe à leurs clientèles qu’on ne trouve pas forcement au Maroc. Ajouter à cela l’exclusivité, un plus grand choix et les avantages fiscaux (même si cela changera bientôt)".

    Pour la rédactrice en chef du magazine Icône, il s'agit même d'une "évidence, non pas qu’ils (les consommateurs) le 'préfèrent' mais que les habitudes de consommation prennent parfois du temps à se modifier". Selon elle, "pendant des années, certaines marques n’étaient pas distribuées au Maroc. La clientèle marocaine habituée à la consommation de produits de luxe est très exigeante et voyage beaucoup, ce qui continue de favoriser l’achat à l’étranger. Consommer du luxe, ce n’est pas seulement acquérir un produit, mais c’est aussi - et peut-être surtout - vivre une 'expérience' hors norme, composée d’une multitude de codes qui entourent l’acte d’achat", explique-t-elle.

    "Lorsqu’on est en vacances, loin de chez soi ou dans une capitale mondiale réputée pour son élégance, son savoir-faire ou son expertise 'shopping', l’achat est alors entouré d’un aura ou d’un supplément d’âme qu’on ne peut pas acquérir à deux pas de chez soi. La possibilité de bénéficier de la détaxe entre aussi évidemment en ligne de compte".

    La guerre sans fin contre le faux

    Et la contrefaçon dans tout ça? "Le marché du luxe est destiné à une clientèle particulière, une personne qui peut se permettre un sac à 30.000 dirhams n'ira jamais acheter de la contrefaçon", tranche Sofia benbrahim.

    Même son de cloche chez Éléonore Bénit: "La circulation de faux existe au Maroc depuis des décennies et répond essentiellement au besoin d’une population (locale ou étrangère) qui n’aurait pas forcément les moyens d’accéder aux produits de luxe authentiques d’assouvir son désir. Pour autant, la contrefaçon demeure un enjeu majeur pour les géants du secteur, non tant pour l’aspect financier que pour une question d’image. Et c’est une guerre sans fin: plus un produit a du succès, plus il sera copié".

    Reste enfin le rapport si particulier qu'entretiennent les consommateurs marocains avec les produits de luxe. Il est de notoriété publique que les Marocains investissent beaucoup dans l'or, cette "valeur sûre, contrairement à un sac X ou Y qui fait son temps", estime Sofia Benbrahim.

    Pour Meryame Mellouk, les consommateurs marocains "font des achats 'investissement' dont ils savent impertinemment la valeur, et peuvent aller jusqu’à s’endetter pour acquérir un bien durable qui entre dans le patrimoine familial comme la joaillerie, les pièces de collection ou l'horlogerie".

    Qu'en est-il des autres secteurs du luxe? "Il me semble que celui de l’automobile au Maroc se porte extrêmement bien, et ce malgré la taxe de luxe créée il y a deux ans. Celui de l’horlogerie aussi, notamment pour certaines très grandes maisons comme Cartier ou Rolex. Avec la montre, la voiture est l’un des premiers marqueurs sociaux pour une population. Dans un pays comme le Maroc où l’hétérogénéité sociale est aussi forte, dire au monde combien l’on vaut équivaut à dire qui l’on est", conclut Éléonore Bénit.

    [LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]