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  • Arrivées en masse dans les années 1990, les #microbilles bientôt bannies dans les #cosmétiques

    Nous l'avons ici maintes fois annoncé : les Etats-Unis renforcent progressivement leur législation visant à restreindre l'usage de certains produits ou composants jugés nocifs pour la santé et l'environnement dans les produits de soin et de beauté. Une illustration : l'interfiction prochaine de produits à base de microbilles en raison de leur pouvoir de dissémination élevé dans l'environnement marin.

    Extrait de Que Choisir, 06 Mars 2016

    Présentes dans certains produits cosmétiques, ces minuscules billes relâchées par milliards dans l'environnement seront bientôt interdites aux États-Unis. Vous pouvez anticiper la probable future interdiction européenne en évitant dès maintenant les produits qui en contiennent.
      
    Arrivées en masse sur le marché de l’hygiène-beauté dans les années 1990, les microbilles (microbeads, en anglais) améliorent l'effet exfoliant des cosmétiques et le pouvoir nettoyant des gels douches et des dentifrices. Elles sont faites de polyéthylène ou de polypropylène, une famille de plastiques bon marché et sûrs, utilisés depuis des décennies en emballage alimentaire.

    La première alerte est venue de Nouvelle-Zélande. Des chercheurs de l'université d'Auckland ont publié en 2009 un article dans la revue Marine Pollution Bulletin. Ils se sont aperçus que les stations d'épuration ne filtraient pas ces microbilles, trop petites (entre 0,1 et 0,02 mm), et qu'elles finissaient dans le milieu marin. De nombreux travaux ont complété ce constat. Le dernier en date, publié en janvier 2016, émane de l'Ifremer (Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer). Conduite par Arnaud Huvet, directeur du laboratoire d’écotoxicologie de Brest, l'étude a montré que les microbilles, en très fortes concentrations, perturbaient le cycle de vie des huîtres, qui les absorbent comme du phytoplancton. Cela confirme les travaux de François Galgani, également chercheur à l'Ifremer, qui avait évoqué à plusieurs reprises la nocivité de ces microbilles.

    En volume, comme il en faut plusieurs centaines de milliers pour faire un gramme, elles représentent une fraction infime des quelque trois millions de tonnes de déchets en plastique générés chaque année par un pays comme la France. Le problème est leur capacité de dissémination et leur persistance. Chimiquement stable, le polyéthylène met des décennies à se dégrader.

    Bientôt bannies des États-Unis
    Les États-Unis ont adopté une loi d'interdiction de portée nationale fin 2015 qui entrera en vigueur début 2017. La Californie et l'Illinois (État qui borde les Grands lacs) avaient déjà légiféré dans ce sens. Il est fort probable que l'Union européenne s'oriente elle aussi vers une interdiction des microbilles à brève échéance. La question sera examinée lors d'une conférence internationale à Lanzarote (Canaries) les 25 et 27 mai 2016.

    La protection de l'environnement pose souvent des dilemmes, nombre de produits étant à la fois néfastes et très utiles. Rien de tel dans le cas des microbilles. On cherche en vain une étude sérieuse démontrant leur efficacité cosmétique.L'Oréal a d'ailleurs annoncé que ses produits n'en contiendraient plus à partir de 2017.

    [RETROUVER L'ARTICLE DANS QUECHOISIR.ORG]

  • #Halal cosmetics: believing in the #label [via #organicmonitor]

    Eco-labels are becoming increasingly evident in the cosmetics industry. Ethical consumers are looking for organic, natural, cruelty-free and similar logos on their cosmetic products. However, a new label is emerging that is targeted at one of the fastest growing consumer groups in the world. The Halal cosmetics label is designed for Muslim consumers, comprising 20% of the global population.

    The Halal label is already well-established in the food industry. It has been gaining popularity in the cosmetics industry since the Malaysian government introduced the Halal cosmetics standard (MS 2200: 2008) in June 2010.

    The Halal label is given to cosmetic and personal care products that meet the strict rules of Sharia law. Like natural / organic standards,the Halal standard has a permitted and prohibited set of ingredients.
     
    The Halal label appeals to Muslim consumers seeking integrity and authenticity in their cosmetic and personal care products. Concerns about animal-derived ingredients – such as gelatine and collagen - in cosmetic products are fuelling demand. Some consumers perceivesuch products as ethical as they typically avoid such ingredients.

    International sales of Halal-certified cosmetics and personal care products are upwards of USD 5 billion. A growing number of cosmetic and ingredient firms are taking up Halal certification in Asia. The highest adoption rates are in Muslim countries where multinationals that includeColgate-Palmolive and Avon have launched certified products. As will be shown at the Asia-Pacific edition of the Sustainable Cosmetics Summit, international chemical firms like BASF and CP Kelco are also getting ingredients certified for such markets.

    (...)

    At present, 57 certification agencies are authorised to certify products according to the Halal cosmetics standard. Although the highest adoption rates are in countries like Malaysia and Indonesia, certification is also catching on in Europe and North America. In the latter regions, a growing number of Muslim consumers are interested in Halal-certified products. However, these products often fall short in terms of their ecological credentials as the formulations are similar to conventional cosmetics.

    Organic Monitor sees high potential for such products in the Middle-East and Asia. In many of these countries, the market for natural & organic cosmetics is growing by over 20% a year. Rising consumer affluence, coupled with growing knowledge of cosmetic formulations, is making consumers pay a premium for cosmetics that meet their ethical / religious beliefs. However, they have to decide between Halal-certified conventional cosmetics and natural & organic products not meeting Sharia rules. With a lack of local brands of natural & organic cosmetics in these regions, there is a clear gap in the marketplace. A major challenge is formulating cosmetic products that meet two or more standards, as many European brands have discovered.

    [READ THE FULL ARTICLE]

  • #Dakar: plongée dans l'univers des #cosmétiques estampillés #Halal [Business Forum]

     

    Par Mansoura Fall, 06 Mars 2016

    Dakar, 6 mars (APS) - La diversité d’articles, vêtements, cosmétiques, services et même stimulants sexuels, dits halal exposés au premier Forum africain du Business halal qui s’est tenu à Dakar témoigne de la richesse de ce marché basé sur les préceptes de la religion musulmane, a constaté l’APS.


    A travers cette exposition les visiteurs ont pu découvrir que le potentiel du marché halal au Sénégal ne se limite pas seulement aux produits alimentaires. ’’Le halal est un concept religieux qui renvoie à ce qui est permis pour le musulman dans sa consommation et au sens le plus large dans son style de vie’’, selon Khadiyatoulah Fall, président du Salon international du business musulman (SIBM).


    Cette rencontre qui a pris fin samedi avait pour thème : ‘’Vers une dynamisation des échanges commerciaux avec les pays du Golfe et d’Asie’’.


    Pour le Pr Fall, ‘’il y a un potentiel incroyable pour le Sénégal (…) tout est réuni pour que le business halal puisse éclore’’. Robes, huiles essentielles, crèmes pour le corps et lait de cheveux, rien n’a été laissé au hasard dans cette exposition où les senteurs se mêlent aux couleurs savamment choisies dans les stands, notamment par ce couturier habillé en tailleur gris, rencontré par l’APS, vantant la qualité de ses vêtements halal.


    ’’J’ai voulu monter une ligne de vêtements destinés à un public en tenant compte des morphologies, des longueurs, des contingences religieuses, sociales, culturelles et professionnelles’’ a expliqué Pathé Dia soulignant que sa collection de vêtements est halal ‘’car elle obéit à des normes et standards’’. Pour ce couturier d’une quarantaine d’années, qui a aussi participé au 1er Salon Muslima de l’entrepreunariat féminin et du business halal organisé en janvier dernier à Dakar ‘’il n’est pas normal que l’on ne produise pas assez’’ pour le marché sénégalais. Il a déploré l’habitude de certains de toujours consommer les vêtements d’Orient alors qu’au niveau de la confection, ‘’tout peut se faire ici comme cela se fait à Madagascar, au Maroc ou en Turquie’’.


    Plus loin, ce sont les produits cosmétiques de Coumba Lèye Diop qui attirent l’attention. Au milieu des savons, lait de corps, parfum, cette jeune femme au teint noir, voile sur la tête a pris le soin de bien indiquer sur des étiquettes la composition de ses produits, à base de cacao ou de karité.

    Cette ‘’amoureuse’’ de produits naturels s’est aussi lancée dans la production de gammes intimes et stimulants sexuels halal destinées aussi bien aux femmes qu’aux hommes. ’’Le maquillage, le sexe, le lait de corps tout peut être halal à condition de l’utiliser comme il faut’’ a t-elle fait valoir avec assurance. ’’Mes produits sont halal car aucun ingrédient prohibé ne se trouve dans la composition’’ a-t-elle expliqué précisant l’importance de toujours vérifier la composition des produits que l’on consomme, car il peut arriver que l’on trouve ‘’du sang de requin dans les rouges à lèvres, ou bien du placenta dans les produits pour cheveux ou même de la gélatine de porc dans certains cosmétiques’’.


    Amadou Cissé, responsable d’une entreprise de vente de produits naturels, a rappelé que le halal est aussi ‘’une certification qui pousse à être intègre dans la production’’ car selon lui ‘’la personne qui achète du halal veut être rassurée qu’il n’y a pas de produit illicite et que tout est conforme à sa consommation’’. Outre les vêtements et produits cosmétiques, cette exposition a prouvé que le halal est un business très vaste touchant de larges secteurs comme celui des banques, du tourisme et même des médias avec le lancement d’un magazine 100% halal, comme l’explique Betty Ndiaye.


    Directrice de publication de ce bimestriel islamique féminin, cette diplômée en communication précise que tous les textes et articles écrits dans ce magazine sont authentifiés et attestés par des imams et savants musulmans. ’’C’est un magazine halal, car d’abord les bras des femmes sont floutés dans les photographies car nous n’avons pas le droit de les dévoiler selon l’Islam (…) et il n’y a rien qui puisse déroger aux préceptes de l’Islam’’, a soutenu la jeune femme voilée. On retrouve dans ce magazine des rubriques relatives à l’enseignement islamique, des conseils et bonnes pratiques, des biographies ou encore des recettes de cuisine halal.


    Durant le Forum de Dakar, les experts ont relevé qu’en Afrique le potentiel du marché du halal est estimé à 150 milliards de dollars US. Le halal non alimentaire qui est estimé à 2300 milliards de dollars US porte sur des objets et services dont la production et le management se réclament également des recommandations de l’islam.

    [LIRE L'ARTICLE COMPLET]

  • The high-end luxury brands are catching on in China [#promise #fashion #luxury]

    Some say that when China sneezes the rest of the world catches cold, but the high end luxury brands are catching on in China, becoming the most exclusive and desirable ones in fashion according to the wealthiest Chinese women.

    Still, our ranking also reveals a stronger competition that is accentuated by the wealthy customers’ increasingly stronger maturity.

    Take 3 minutes to watch the Video Release by Pr Philippe Jourdan

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    The International luxury press echoes results: take a look

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    This barometer Promise Consulting / BNP Exane classifies the 15 most exclusive and desirable brands in China in the universe of feminine Fashion. This Barometer is conducted amongst the wealthiest Chinese women, and is about the 30 luxury brands in ready-to-wear/handbags/shoes/accessories that have invested the most in communication (source: Industry Interviews, Exane Paribas).

    Promise and BNP Exane already conducted the same survey amongst French wealthiest women in May 2015 (see: http://bit.ly/1ESTZGu).

    This barometer in association with BNP Exane reflects our determination to move closer to the marketing and cross-section financial analysis. Our Monitoring Brand Assets® approach itself features very complementary analyzes with those conducted by BNP Exane’s experts. Hence, the obtained results from our joined barometer are based on two different angles of expertise, marketing and financial, which brings a unique added value to the managers and decision-makers in the Luxury sector. More concretely, our measure of the exclusivity of a brand takes into account the upper and more constant quality of products, the strong and unique valuation of the customer, the brand’s prestige, but also a matchless “savoir-faire” that justifies a very high price premium associated with top luxury.

    "Finally, our measure of desirability synthesizes the dimensions of attractiveness of an intimate, social and symbolic nature, which are the strengths of exclusive brands, and characterize the particular relation that they maintain with their customers. In this respect, our Barometer synthesizes, in two proven scales, the numerous criteria to establish a ranking between the high-end brands from their customer’s point of view", states Pr. Philippe Jourdan, Promise’s CEO.

  • #Cosmetic counters go #digital with new beauty #apps [via #NBC12]

    (NPN) - For most women it’s nearly impossible to pick out the perfect lip color or foundation just by looking at the box. But it’s also hard to find the time to sit down at a makeup counter and try it all out.

    Now there’s a solution for busy women who still want to look their best. A new array of beauty apps are being introduced that will allow you to virtually test out all sorts of cosmetics and even hair colors without ever leaving your house.

    RamshackleGlam.com blogger, author, and mother of two Jordan Reid loves her busy lifestyle. But sometimes it’s hard to find time for herself, especially when it comes to shopping for beauty products.

    [CLICK TO WATCH THE VIDEO FROM NBC12]

    [READ THE FULL ARTICLE]

  • Knight Frank’s latest #Wealth Report for #2016: 11 #luxury items #millionaires blow their money on [#uhnwi]

    Business Tech, 06 March 2016

    People who have a lot of money like to spend that money – and they like to invest in everything from classic cars to stamps and coins.

    According to property group Knight Frank’s latest Wealth Report for 2016, the world’s ultra-high net worth individuals (worth more than $30 million) have increased spending on luxury goods by over 200% in the past decade.

    Not all asset classes have grown equally, however, with super wealthy people finding favour with big buys such as classic cars, wines, coins and art over things like furniture, Chinese ceramics and diamonds.

    [READ THE FULL ARTICLE AND DISCOVER THE TOP 11 PURCHASED LUXURY GOODS BY UHNWI]