Publié par Le Journal du Luxe, le 13 Mai 2021
Sandra Krim, consultante dans le luxe, la mode et l’image de marque, décrit, pour le Club des Chroniqueurs, l’incarnation d’Alber Elbaz chez Lanvin et le pouvoir symbolique de la maison.
La disparition d’Alber Elbaz, le 24 avril dernier, a endeuillé le monde de la mode avec une profonde émotion. Après cinq ans de silence et de réflexion, le couturier était revenu sur le devant de la scène avec AZ Factory, sa propre maison financée par le groupe de luxe Richemont. L’archange de la mode laisse derrière lui un souvenir espiègle, une empreinte ineffaçable sur la mode et ce qu’il qualifiait « d’étincelles de beauté ».
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