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  • #Promiseconsulting #Luxurylab: Découvrez la nouvelle exposition Gucci online

    Publié par Le journal du luxe - le 20 Mai 2020

     

    La maison de luxe italienne parraine un nouveau projet intitulé « No Space, Just A Place ». Présentée au Daelim Museum de Séoul, ce dernier livre une réflexion sur notre époque et sur les mutations profondes que l’humanité connaît.

    Le luxe se mêle à l’art coréen 

    Inspirée par l’histoire complexe des espaces artistiques indépendants de la capitale sud-coréenne, l’exposition invite à réfléchir à la fois sur la notion d’ « être ensemble » ainsi que sur « les espaces alternatifs comme lieu utopique ».

     
     

    La maison de luxe italienne parraine un nouveau projet intitulé « No Space, Just A Place ». Présentée au Daelim Museum de Séoul, ce dernier livre une réflexion sur notre époque et sur les mutations profondes que l’humanité connaît.

    Le luxe se mêle à l’art coréen 

    Inspirée par l’histoire complexe des espaces artistiques indépendants de la capitale sud-coréenne, l’exposition invite à réfléchir à la fois sur la notion d’ « être ensemble » ainsi que sur « les espaces alternatifs comme lieu utopique ».

    Pour mener à bien ce projet, la curatrice et critique d’art Myriam Ben Salah a ici réuni dix espaces d’art indépendants : Audio Visual Pavilion, Boan1942, D/P, Hapjungjigu, OF, Post Territory Ujeongguk, Space illi, Space One, Tastehouse, White Noise. Afin d’encourager le dialogue et le débat, les artistes Kang Seung Lee, Olivia Erlanger, Martine Syms, Meriem Bennani ou encore Cécile B. Evans y présentent également une sélection d’œuvres inspirées de l’avenir et des mythologies fantastiques.

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  • #Promiseconsulting #Luxurylab: Le luxe redémarre sa production, dans un écosystème fragilisé par la pandémie

    Publié par 19 Mai 2020 - Sud Ouest

     

    Avec la reprise de la consommation et la réouverture progressive des boutiques, le secteur du luxe redémarre progressivement son activité

    Après des semaines d’arrêt forcé, la filière luxe redémarre peu à peu sa production en Italie et en France, dans un écosystème fortement fragilisé par la pandémie de Covid-19, et avec nombre de sous-traitants en difficulté. Des petits ateliers aux grandes maisons de mode et parfum, le secteur a fourni depuis mars des tonnes de masques et de gel hydroalcoolique pour aider à endiguer l’épidémie, un "effort de guerre" qui a aussi permis de maintenir en activité une petite partie des salariés.

    Le récent déconfinement en Chine – marché-clé représentant 35% des achats de luxe dans le monde en valeur – puis en Europe, et une reprise de la consommation avec la réouverture progressive des boutiques, a permis aux grands groupes de relancer peu à peu leur outil de production. "Nous avons redémarré graduellement fin avril. Mais pour l’instant, il n’est pas possible de faire des prévisions" sur la date d’un retour à la normale, résume Micaela Le Divelec Lemmi, directrice générale de la maison Salvatore Ferragamo. À la fois parce que sur les sites de production, il faut respecter des dispositions particulières avec la distanciation sociale, et parce qu’une bonne partie de notre réseau de magasins est encore fermé", souligne-t-elle.

     

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  • #Promiseconsulting #Luxurylab: Kering ou l’art de faire repartir les achats de luxe en France

    Publié le 15 mai 2020 à 21:09 par Ivan Letessier

     

    Le propriétaire de Gucci mise sur la clientèle locale pour compenser la perte des touristes internationaux.

    Artère symbole des achats de luxe à Paris, l’avenue Montaigne est vite sortie de sa torpeur. La plupart des boutiques ont rouvert dès le 11 mai, défiant l’absence des touristes. «La clientèle touristique internationale, avec laquelle nos boutiques parisiennes réalisent environ la moitié de leur chiffre d’affaires, a disparu pour au moins un an, mais nous sommes attachés à maintenir toutes nos équipes en place pour préserver l’emploi», assure François-Henri Pinault, le PDG de Kering (Gucci, Saint Laurent, Balenciaga...).

    Après deux mois de confinement à Londres, le patron a pris le premier Eurostar lundi matin. Masque griffé Bottega Veneta sur le nez (un modèle en tissu organique lavable 100 fois, fabriqué dans les ateliers de la maison italienne à Vicenza), il a fait la tournée des boutiques parisiennes plusieurs fois dans la semaine.

    Habitué, depuis dix ans, à surfer sur les vagues de forte croissance, portées par l’essor du marché de la clientèle chinoise, Kering a profité du confinement pour adapter son modèle et préparer la reprise. Dans toutes les boutiques du groupe, la règle est la même: les clients sont invités à s’enduire les mains de gel hydroalcoolique dès l’entrée, et des flacons sont disséminés partout à l’intérieur. Ceux qui arrivent sans protection se voient offrir un masque chirurgical. Le nombre de clients est limité: il n’y en a pas plus que de vendeur. De quoi assurer un service personnalisé...

     

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