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  • #Promiseconsulting #Luxurylab Will LVMH’s Resilience Last for the Rest of 2020? via #JingDaily

    Via Yaling Jiang | April 16, 2020

    [EXTRACT]

    What Happened:

    The luxury sector’s bellwether, LVMH Moët Hennessy Louis Vuitton, reported revenue of 10.6 billion euros for the first quarter of 2020 today, down 15 percent compared to the same period in 2019. 

    Among its five main business sectors, the Fashion & Leather Goods category has proven the most resilient, reporting only a decline of 9 percent in Q1 2020 compared to the same period last year. Major brands like Dior and Louis Vuitton performed well, while others in the sector missed expectations, Bernard Arnault, the Chairman and CEO of LVMH, said in the earnings call. Watches & Jewelry and Selective Retailing, including cosmetics chain Sephora and travel retail leader DFS Group, reporting a 24 percent and a 25 percent decline, respectively, were hit the hardest as a result of store closures and travel restrictions due to the ongoing COVID-19 crisis.  

    As Asia-Pacific, excluding Japan, remains 29 percent of the group’s revenue and with China showing early signs of recovery, many analysts inquired about mainland China’s outlook during the call. “There is repatriation of part of the business in mainland China,” Arnault answered. “The growth rate in mainland China was higher than our business with mainlanders outside of China. It will amplify in the months to come.” The group also reported improving in-store traffic and sales in China as stores began to reopen in March. 

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  • [#PromiseConsulting] [#luxurylab] Fenty s’installe aux Galeries Lafayette.

    Via JournalduLuxe.fr le 18/09/2019

    Lancée au printemps dernier, la nouvelle Maison de Luxe fondée par la chanteuse Rihanna dans le giron du groupe LVMH s’apprête à investir temporairement le store Galeries Lafayette des Champs-Elysées.

    Fenty x Galeries Lafayette : l’inclusivité fashion et retail

    À l’occasion de la Fashion Week parisienne – qui débutera officiellement ce 23 septembre -, le nouveau temple retail de l’une des avenues les plus prisées des marques de Luxe accueillera en exclusivité les créations imaginées par Rihanna et ses équipes. Alors que l’activité Mode & Maroquinerie du groupe Louis Vuitton-Moët Hennessy a enregistré une croissance organique de ses ventes de +18% sur le premier semestre 2019 – un résultat intégrant tout juste Fenty, lancée dans le courant du mois de mai -, la jeune Maison devrait dévoiler jusqu’au 12 octobre une sélection de pièces issues de ses trois premières collections ainsi que de nouvelles silhouettes présentées durant cette semaine de la mode. Le tout dans une mise en scène mettant en avant le bleu – déjà très identifiable – de la marque.

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    #Fenty #fashionweek #fashion #luxury #Rihanna #LVMH #Paris #GalleriesLafayette #ChampsElysees

  • [#PromiseConsulting] [#luxurylab] Chine : quand le luxe fait sa "révolution culturelle"

    Via Ludovic Aymen de Lageard, article paru dans l'Usine Nouvelle, 15/09/2019

    Comment concilier luxe – avec tout ce que ce mot revêt en termes d'exclusivité, d'expérience client et d'extrême personnalisation – et révolution digitale ? Sans doute nulle part davantage qu'en Chine les marques du secteur sont-elles confrontées à cet épineux, mais aussi passionnant que stratégique, dilemme.

    Le marché chinois, rappelons-le, est l'avenir du luxe. Il a ainsi, selon une récente étude publiée par le Boston Consulting Group (BCG), dépassé les 110 milliards d'euros en 2018 et devrait progresser de 6% par an d'ici à 2025. Date à laquelle il pèsera quelque 162 milliards d'euros, les consommateurs chinois réalisant alors jusqu’à 41% des ventes totales du secteur et contribuant, à eux seuls, à près des trois quarts (74%) de sa croissance mondiale.

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    #LouisVuitton #chine #LVMH #revolution #luxury #fashion #online #modernité 

  • [#PromiseConsulting] [#luxurylab] LVMH Prize : Qui est Thebe Magugu le grand gagnant de l’édition 2019 ?

    Josephine Pentecoste Luxe.net

    Lancé par LVMH en novembre 2013, le Prix LVMH est devenu le rendez-vous international du soutien à la création. Il a pour but de récompenser chaque année un jeune créateur de mode et trois diplômés d’écoles de mode. Pour sa sixième édition, le Prix LVMH a récompensé en ce mercredi 4 septembre Thebe Magugu.

    Le Sud-Africain a su se démarquer devant sept autres candidats en finale. Thebe Magugu rejoint le cercle des créateurs vainqueurs du concours après le japonais Masayuki Ino fondateur de la marque Doublet l’an dernier (2018), Marine Serre (lauréate 2017), la britannique Grace Wales Bonner (2016), le duo portugais Marques’Almeida (2015), le premier vainqueur du prix, le Montréalais Thomas Tait (2014).

    Basé à Johannesburg, il a lancé sa marque après plusieurs expériences auprès d’enseignes et de designers. Son label, éponyme, est positionné sur le prêt-à-porter féminin et joue principalement sur les mix de matières dans ses silhouettes. Afin de lui donner les moyens de développer son travail de création, LVMH lui offre une bourse de 300.000 euros ainsi qu’un suivi personnalisé, au sein du Groupe, tant technique que financier pendant une durée de douze mois à compter de la remise du LVMH Prize.

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    #luxury #fashion #LVMH #prize #thebe #magugu

  • [#LUXURYLAB] [ENGAGEMENT] | #LVMH concilie #luxe et engagement #durable avec Cha Ling |@PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE KRISTEL MILET | PRENIUMBEAUTYNEWS.COM | http://bit.ly/2xQcXCr

    #LVMH concilie #luxe et engagement #durable avec Cha Ling

    Contribution à la préservation d’une forêt millénaire d’arbres à thé au Yunnan, traçabilité des ingrédients, certification bio de la matière première (le thé Pu’Er), engagement contractuel avec les populations locales pour leur garantir un revenu stable, écoconception des emballages … la jeune marque Cha-Ling Esprit du Thé, formulée par la Recherche LVMH et incubée par Guerlain est « née d’un rêve écologique » comme l’exprime Élodie Sebag, Directrice Générale.

    L’idée est venue au cours d’un voyage il y a 5 ans de Laurent Boillot, président de Guerlain, dans le Yunnan en Chine, berceau originel du thé. Touché par la beauté et la richesse de la biodiversité de la forêt de Xishuangbanna, un écosystème menacé de déforestation, il souhaite alors s’engager aux côtés du biologiste Josef Margraf et de sa femme Minguo-Li pour la sauvegarde de ce patrimoine millénaire abritant le très vénéré thé Pu’Er. Il choisit de créer une marque à partir de cet ingrédient précieux au fort pouvoir antioxydant, dont une partie des revenus servirait à la reforestation de cet endroit tel qu’il était à l’origine, avec un écosystème diversifié. 

    À l’instar du vin, le thé Pu’Er a la particularité de se bonifier avec le temps. Il se laisse vieillir en cave pendant plusieurs dizaines d’années, et change de profil phytochimique au cours de sa maturation. Au delà de son fort pouvoir antioxydant, il vient développer en vieillissant des molécules complémentaires à l’action anti-âge. À partir de ces éléments, il y eut 3 années de recherche avec les laboratoires LVMH pour sélectionner les arbres à récolter et développer des formules alliant deux types de thés, du thé frais récolté chaque année et du thé âgé minimum de 4 ans.

    « Les produits ont été développés selon le fil rouge du développement durable avec une charte formulatoire stricte, pas de parabènes, ni sulfates, ni silicones bien qu’il y ait un fort niveau sensoriel  », assure Élodie Sebag. Les formules sont composées de 85 % à 99% d’ingrédients verts, les packs en verre sont allégés de 25% en poids et en volume, il n’y a pas d’emballage extérieur mais une solution inspirée du Furoshiki, une technique japonaise traditionnelle d’emballage en tissu. Les crèmes et bientôt les fluides sont également proposés en contenants céramiques réalisés à la main à Limoges pour une version rechargeable.

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    « Nous avons enfin sponsorisé le projet Tea Garden au Yunnan et déjà replanté plus de 100000 théiers à ce jour », ajoute Élodie Sebag.

    Bien que la totalité des produits soient fabriqués dans l’usine Guerlain à St Jean de Braye, la volonté de Cha Ling était de se positionner comme une marque franco-chinoise dans sa globalité. « Très en amont nous avons souhaité et c’était important, intégrer dès le développement toute la culture chinoise et non pas seulement utiliser un ingrédient  », explique la directrice.

    La gamme intègre à la fois les soins mais également des rituels issus de la médecine traditionnelle chinoise pour la gestuelle d’application, et bien sûr tout un environnement autour de la cérémonie du thé Puer, certifié bio (tasses, théières en céramique). Lancé simultanément en janvier 2016 en France, au Bon Marché, à Hong Kong avec un point de vente en propre et en e-commerce, Cha Ling est maintenant présent depuis juillet à Shanghai avec une nouvelle boutique.

    La marque construit progressivement sa notoriété de manière ciblée par le biais du digital (Instagram, plateformes, Birchbox …) ainsi qu’un programme porté par des micro-influenceuses du secteur beauté ou lifestyle. « Nous sommes, après un an et demi d’existence, à plus de 20% de ré-achat sur les 3 pays », se réjouit Élodie Sebag.

    « Cha Ling est à la croisée de différentes tendances, le bien être, le retour aux médecines traditionnelles, notamment chinoise, et bien sûr le green. Elle séduit différents publics avec des points d’attraction différents, l’esprit global de la tradition chinoise en France et le savoir faire made in France en Chine. Enfin, elle offre toute l’efficacité LVMH pour un achat qui fait sens », conclut-elle.

  • #Chtchoukine à la Fondation #Vuitton : les coulisses de l'expo de tous les records

    ARTICLE BFM BUSINESS | INTERVIEW DONNE LE 11-03-2017 | NINA GODART

    Interview de Philippe Jourdan, CEO, Promise Consulting

    LIRE L'ARTICLE EN LIGNE : http://bit.ly/2q0dErL

    Obtenir le prêt par la Russie de 130 œuvres de la collection Chtchoukine a réclamé une débauche de moyens humains et matériel pour LVMH et Bernard Arnault. Pour un retour sur investissement qui ne se compte pas en euros.

    Objectif atteint pour la Fondation Vuitton, qui visait 1 million de visiteurs. 200.000 de plus se sont même pressés à l'exposition "Icônes de l'Art Moderne - La Collection Chtchoukine", qui vient de s'achever. Autant que le record historique détenu jusque-là par le Petit Palais, avec "Toutankhamon et son temps" en 1967. Et encore, la Fondation privée du numéro 1 mondial du luxe a atteint ce total en un temps bien plus court: un peu plus de 4 mois contre 7 mois et demi pour les trésors du Pharaon.

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    Un succès à mettre au crédit notamment de Jean-Paul Claverie, proche conseiller de Bernard Arnault depuis 1991. C'est lui, l'homme qui conçoit le projet fou de cette exposition il y a presque trente ans. Dans les années 80, alors qu'il officie au cabinet de Jack Lang, il rencontre le petit-fils de Chtchoukine, André-Marc Delocque-Fourcaud, lui-même fonctionnaire au ministère russe de la Culture.

    Ce dernier rêve d'exposer à Paris la collection de son grand-père, l'homme d'affaires russe Sergueï Chtchoukine. Un rêve partagé par Jean-Paul Claverie. La collection en question comprend des centaines de chefs d'œuvres de l'art moderne, des Gauguin, Matisse, Picasso, Manet, Monet, Van Ghogh. Ce trésor valorisé à plus de 6 milliards d'euros a dû être abandonné en Russie par l'amateur d'art avant-gardiste qui a fuit le pays après la révolution de 1917. Il ne remettra jamais la main dessus. Ses héritiers non plus. La collection est confisquée par l'administration russe, remisée sous Staline qui y voit un art bourgeois honni, puis dispersée en 1948. Ce qu'il en reste a été réparti entre deux musées: celui de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg, et le musée Pouchkine de Moscou. Jamais, depuis, les tableaux n'avaient été réunis, et encore moins dévoilés ensemble hors de Russie.

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    Monter une telle exposition a donc relevé de l'exploit. Y compris sur le plan financier? La Fondation a-t-elle par exemple dû payer pour présenter les 130 oeuvres exposées à la Fondation Vuitton, parmi lesquels 29 Picasso, 22 Matisse, 12 Gauguin? Selon plusieurs porte-paroles de musées, les "fees" (droits à payer pour exposer des oeuvres) sont une pratique courante pour les fondations privées. Mais Jean-Paul Claverie assure que Bernard Arnault s'étant engagé à prêter, en échange, des œuvres de sa collection personnelle, aucun contrepartie financière n'a été versée. Reste que la Fondation a dû consentir à d'autres investissements très coûteux, que n'aurait sans doute pas pu se permettre un musée public.

    Comme pour chaque prêt de musée, l'emprunteur a dû assurer les œuvres inestimables qu'il a exposées. Là encore, impossible de connaître le coût de cette protection. Un représentant d'Axa Art admet juste que "même l'État français n'aurait pas les moyens d'assurer la Joconde ou l'Origine du Monde". Il a aussi fallu garantir la sécurité des œuvres, durant leur transport, et pendant l'exposition. Avec notamment "plusieurs gardes par salle, 24 heures sur 24", souligne notre source.

    Le groupe a dû prendre à son compte d'onéreux contrats de restauration, sur place en Russie, avant d'obtenir de transférer les œuvres. Comme pour "L'atelier Rose" de Matisse, dont les grands aplats de couleur menacent de se détacher, et qu'il fallait réencadrer (ci-dessous).

    Le groupe n'a pas lésiné non plus sur les moyens humains. Bernard Arnault s'est impliqué personnellement. Le dirigeant français se reconnaît dans le parcours de Chtchoukine, un homme d'affaire qui doit sa fortune au textile et qui achète des œuvres pour participer au rayonnement culturel de la France. Il a fait sien le rêve de son conseiller et déployé toutes les ressources à sa disposition.

    "Les experts du groupe, toutes les connaissances des différentes maisons de LVMH en Russie ont été mobilisées. Bernard Arnault a parlé à Vladimir Poutine à maintes reprises depuis une dizaine d'années", explique une source. C'est encore l'homme le plus riche de France qui a négocié personnellement la prolongation de deux semaines de l'exposition.

    Le patron du numéro un mondial du luxe est aussi parvenu à faire signer la préface du catalogue de l'exposition à Vladimir Poutine au moment où la situation géopolitique lui faisait renoncer à un voyage en France. Il a obtenu que les héritiers de Chtchoukine renoncent contractuellement à tout recours sur la succession, condition sine qua non de la tenue de l'exposition à Paris. Et du gouvernement français la publication d'un arrêté qui garantit aux musées russes l'insaisissabilité de toutes les œuvres prêtées.

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    Le succès de l'exposition a-t-il permis de rentabiliser l'évènement? Pas sûr. Les organisateurs ne donnent aucun chiffre. Mais à 14 euros l'entrée à plein tarif et 5 euros le tarif réduit, on obtient une estimation grossière de 12 millions d'euros tirés de la vente de tickets. Soit juste de quoi rentrer dans des frais estimés entre 10 et 13 millions d'euros selon Le Monde. Jean-Paul Claverie, affirme, lui, que "c'est beaucoup moins"

    Quoi qu'il en soit, "le mot rentabilité n'a pas sa place dans ce type d'opération", analyse Philippe Jourdan, directeur de Promise Consulting et expert du secteur du luxe. Même si des évènements d'une telle ampleur "valorisent la fondation Louis Vuitton, le bâtiment de Frank Gehry en soi", reconnaît le spécialiste, le bénéfice qu'en retire le groupe ne se compte pas en euros. Ce coup magistral sert surtout à "associer le beau et le luxe à un moment où son image pâtit de consumérisme, de mercantilisme". Et à renforcer le statut d'un Bernard Arnault mécène "qui redistribue sa richesse en donnant accès à la culture".