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joaillerie

  • Exposition Chaumet : les bijoux de Joséphine de Beauharnais, impératrice de France

    Une superbe exposition que je recommande chaudement. Un moment hors du temps avec plusieurs points forts : une ode à l'amour de Joséphine et de #Napoléon ; un pan d'histoire de France, de la grande histoire, pas de celle médiatisée au quotidien et qui nous éloigne trop souvent de ce qui fît (fait ?) de nous un grand peuple pour la France, l'Europe et le Monde. Et enfin, pour ne pas dire surtout, de magnifiques pièces de joaillerie, qui nous rappelle que le diamant est la pierre de l'Amour et du Pouvoir, sinon du Pouvoir de l'Amour. CHAUMET #france #europe #Napoleon #JosephinedeBeauharnais #bijoux #joaillerie #luxe #placeVendôme 

  • Les montres et la joaillerie dopent les résultats de #LVMH | @LVMH @adetem @louisvuitton

    TRIBNUE DE GENEVE | LUNDI 10 AVRIL 2017

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    Le groupe français LVMH, numéro un mondial du luxe, a vu son chiffre d'affaires bondir de 15%, à 9,88 milliards d'euros (10,45 milliards de francs), grâce en partie à une base de comparaison favorable. Montres et et joaillerie sont en croissance.

    La croissance organique du groupe aux quelque 70 marques - dont Louis Vuitton, Fendi, Guerlain, Hennessy ou Sephora - s'affiche également en forte progression de 13%, alors qu'elle avait été de 6% pour l'ensemble de l'exercice 2016, et de seulement 3% pour le premier trimestre 2016, a-t-il indiqué lundi dans un communiqué.

    LVMH met en avant «une progression à laquelle contribuent tous les groupes d'activités. La croissance est positive en Asie, en Europe et aux Etats-Unis», souligne-t-il.

    Mais il indique aussi qu'il «bénéficie durant ce premier trimestre (2017) d'une base de comparaison favorable, notamment en Europe, où l'activité avait été affectée l'an dernier par l'impact des attentats de novembre 2015 à Paris. La tendance actuellement observée ne peut raisonnablement pas à ce jour être extrapolée à l'ensemble de l'année».

    Premier trimestre plus facile

    Le PDG, Bernard Arnault, avait indiqué dès janvier, lors des résultats annuels, qu'en 2017, «il fallait s'attendre à un premier trimestre relativement facile», mais à une deuxième partie de l'année «beaucoup plus difficile».

    Cette performance trimestrielle est supérieure au consensus compilé par l'agence d'informations financières Factset, qui tablait sur 9,53 milliards d'euros de chiffre d'affaires et 9,3% de croissance organique.

    La division-phare du groupe, la Mode et Maroquinerie - portée par la marque Louis Vuitton - a totalisé 3,4 milliards d'euros de ventes, en progression organique de 15% (contre 4% pour l'ensemble de l'année 2016).

    L'activité Distribution Sélective (dont Sephora) continue de talonner la Mode/Maroquinerie, avec des ventes atteignant 3,15 milliards d'euros et 11% de croissance organique.

    Du côté des Vins et Spiritueux, le chiffre d'affaires progresse de 13%, à 1,19 milliard d'euros. Les Parfums et Cosmétiques affichent pour leur part 1,39 milliard de ventes ( 12%).

    Montres et joaillerie en hausse

    L'activité Montres et Joaillerie totalise un chiffre d'affaires de 879 millions d'euros (11%) au cours des trois premiers mois de l'année. Pour rappel, LVMH possède notamment les marques neuchâteloises TAG Heuer et Zenith ainsi que vaudoise Hublot. Le pôle comprend encore Bulgari, entreprise italienne, mais dont le pôle horloger est basé à Neuchâtel.

    LVMH, qui ne donne pas de perspectives chiffrées pour l'année, indique que «dans un environnement particulièrement incertain», il continuera à concentrer ses efforts sur la mise en valeur de ses marques, maintiendra une stricte maîtrise des coûts et ciblera ses investissements et qu'il compte «renforcer encore en 2017 son avance sur le marché mondial des produits de haute qualité».

  • [@pointsdevente] Se rendre plus accessibles, une bonne stratégie pour les #marques de #luxe ? [@adetem @luxurysociety]

    On voit, depuis quelques années, qu'un nombre croissant de marques de luxe déclinent des versions plus accessibles. Le shopping des hyper riches ne suffit-il plus ?

    [Philippe Jourdan]. Dès que la croissance ralentit, tout le monde cherche à se partager le même gâteau donc la meilleure façon de conserver cette même part, c'est de donner du gâteau à tout le monde ! Il y a des mouvements que l'on observe pour l'instant avec un manque de recul mais qui vont dans ce sens. Que ce soit à l'échelle de toute une collection, ou seulement pour quelques pièces, les marques de luxe s'ouvrent au grand public.

    Le phénomène des égéries est particulièrement parlant. En choisissant des ambassadrices qui ne sont plus dans l'environnement du luxe mais qui vont être des stars plus populaires et aussi plus éphémères, de plus en plus de marques prennent le risque de descendre de leur piédestal. À mon sens, elles n'y ont pas intérêt car elles doivent rester suffisamment intimidantes pour conserver leur aura de marque de luxe. C'est un secteur où le prix perçu doit toujours être plus élevé que le prix réel car l'exclusivité va créer le désir. La vraie marque de luxe est une marque qui impose son style. En baissant d'un ou plusieurs échelons sur l'échelle de la mode, on devient une marque tendance, plus une marque luxueuse.

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  • @Tiffany & Co. dévoile sa #collection #Masterpieces #2016 [#créativité #innovation #design #Prism #Ribbons #l’élégance #AudreyHepburn #Luxe #Joaillerie #diamants #platine]

    Tiffany & Co. dévoile sa collection Masterpieces 2016

    By Romain+, 8 août 2016, Journal du Luxe, Joaillerie & Horlogerie

    Le célèbre joaillier Tiffany présente la collection Masterpieces 2016. Une collection confectionnée par la directrice du design de la Maison Francesca Amfitheatrof. Une collection qui représente une créativité libérée des convenances et où les limites sont repoussées.

    En 2016 la directrice du design de Tiffany, Francesca Amfitheatrof, a créé des chefs-d’œuvre plein d’imagination et conçus de manière artisanale. Cette collection exprime le riche héritage de la Maison en termes de design, elle célèbre l’innovation et des créations pleines d’entrain. Francesca Amfitheatrof a construit cette collection en deux thèmes : Tiffany Prism et Tiffany Ribbons.

    « J’ai pris comme inspiration notre héritage de sourcer des pierres précieuses et j’ai créé des designs modernes qui sont incroyablement glamours, espiègles et qui sont destinés à être portés de jour comme de nuit. », raconte Francesca Amfitheatrof.

    La collection Masterpieces 2016 inspirée de l’élégance d’Audrey Hepburn

    Inspirée par l’élégance intemporelle d’Audrey Hepburn, la collection Tiffany Ribbons est composée de pièces drapées d’une grande légèreté, elle est à la fois classique et spectaculaire. Un époustouflant collier en platine avec sept niveaux de diamants qui épousent délicatement les courbes du corps est l’un des exemples de pièce iconique et glamour qui compose cette collection.

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  • Face au ralentissement économique, l'horlogerie de #luxe accélère la baisse des #prix [#joaillerie]

    Le Salon de Bâle, qui se tient jusqu’au 24 mars, se déroule dans un contexte inédit : le recul du marché depuis un an. Pour résister, les marques misent sur des tarifs plus abordables.

    Le secteur de l’horlogerie de luxe a fini par se faire rattraper par le ralentissement économique mondial. Après avoir affiché une croissance solide entre 2009 et 2014, les exportations horlogères suisses ont commencé à reculer dès mars 2015. Le phénomène était attendu ; la seule question était de savoir quand il se produirait. Si la décroissance est modérée, elle est plutôt alarmante : certes, les marchés historiques, à l’instar du Japon, tirent leur épingle du jeu avec encore + 35 % en janvier ; mais, à l’inverse, les Etats-Unis reculent de 13 %.

    Facteur aggravant, le franc suisse s’est renchéri depuis janvier 2015 et a entraîné à la hausse les prix à l’export. Le premier marché mondial de la montre suisse, Hongkong, s’affiche ainsi en retrait de 33 % en un an − un recul intimement lié à celui de son géant voisin, la Chine, dont les importations baissent encore de 1,9 %. Dans cette région, le contexte économique se conjugue avec les logiques d’influence et la chasse à la corruption − autant de facteurs qui entament le premier débouché de la montre suisse.

    Dans ses franges moins coûteuses, l’horlogerie subit la montée en puissance des montres connectées. Ces petits ordinateurs tactiles de poignet produits par Samsung ou Apple détournent une partie des acheteurs traditionnels de montres de moins de 450 € − un segment en baisse de 20 % en janvier 2016. L’influence de ce nouveau type de produit − inscrit dans la logique de l’industrie électronique, et donc à durée de vie courte − sur les segments milieu et haut de gamme reste cependant à prouver. Seule certitude, l’adaptation à cette nouvelle conjoncture passe par une redéfinition des seuils de prix, qui est la tendance lourde de Baselworld 2016.

    Nouveaux matériaux

    Les réservoirs d’inventivité et de valeur dans l’horlogerie portent à la fois sur les complications, les matières et les technologies. Sur tous ces aspects, les tarifs sont orientés à la baisse. Le domaine le plus visible est celui des complications – c’est ainsi que le secteur nomme les indications et dispositifs internes de la montre. Deux des plus grands classiques ne cessent de se démocratiser. La Perpetual Calendar Slimline Manufacture de Frédérique Constant indique automatiquement la date complète, quelle que soit la durée du mois − 28, 29, 30 ou 31 jours −, ce qui n’a rien de simple. A 8 000 €, elle est encore 20 % moins chère que le précédent modèle, déjà très agressif.

    Cela vaut également pour la complication la plus emblématique des années 2000 et 2010, le tourbillon. Dispositif mécanique visant à augmenter la précision, il s’est transformé en martingale. Lui aussi subit une baisse de prix à marche forcée. TAG Heuer vient de définir un nouveau palier avec la Carrera Heuer-02T, commercialisée autour de 15 000 €. Un plancher d’autant plus bas que la montre propose un design sophistiqué et un chronographe en prime.

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  • #Baselworld2016 : le luxe à prix sage [#montre #joaillerie]

    PAR LE POINT MONTRES
    Publié le 17/03/2016 à 00:00

    Après des années de folle hausse, le marché horloger semble bel et bien s'assagir. Une tendance qui s'inscrit non seulement dans la philosophie du luxe accessible, portée depuis plusieurs années par quelques horlogers créatifs et audacieux, mais aussi dans la tendance du moment, alors que le climat du luxe mondial s'est assombri.

    Frédérique Constant secoue le marché

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    Frédérique Constant, inépuisable apôtre du luxe abordable, ne recule décidément devant rien. Cette fois, il s'attaque à l'une des grandes complications les plus complexes : le quantième perpétuel. Produite au sein de sa manufacture, cette étonnante Slimline Manufacture Quantième Perpétuel s'équipe d'un calibre absolument digne de l'ensemble des critères de la haute horlogerie. Ce mouvement automatique affichant heures, minutes et un calendrier perpétuel, qui ne mesure que 6,7 mm d'épaisseur, bat au rythme de 28 800 alternances par heure, se pare de 26 rubis et offre une réserve de marche (honnête) de 38 heures. Ne nécessitant aucune correction avant 400 ans, si ce n'est le passage de date au 1er mars 2100 – spécificité du calendrier grégorien –, le mécanisme du calendrier se règle à l'aide de deux boutons insérés dans la carrure du boîtier de 42 mm. Frédérique Constant révolutionne littéralement le marché des complications en proposant une montre manufacture à quantième perpétuel... à moins de 9 000 euros !

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    Le bronze est décidément le coloris du moment ! Il fait en tout cas une entrée remarquée dans les collections d'Oris avec ce modèle commémoratif rendant hommage à Carl Brashear, le tout premier instructeur de plongée afro-américain de l'US Navy. Peu utilisé en horlogerie, ce métal se distingue notamment par son oxydation et sa patine. Ou comment posséder une montre qui vieillit et se bonifie avec vous (et comme vous !). Au départ lumineux et brillant, le bronze du boîtier et de la lunette tournante unidirectionnelle va s'oxyder au fil du temps, en fonction des habitudes de son propriétaire, rendant en quelque sorte chaque exemplaire unique. À l'instar des scaphandres en bronze utilisés par les plongeurs dans les années 1950, cette édition limitée à 2 000 exemplaires est étanche jusqu'à une profondeur de 100 mètres. Son prix : 2 600 euros.

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