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Dans le Monde - Page 31

  • Les blogueuses beauté se cachent pour mourir | @Leblogdelaura

    Après la presse féminine, les marques de cosmétiques ont tout misé sur les blogs de beauté, puis sont passées à autre chose. C’est moche.

    blog, beute, cosmetique, maquillage, publicite

    19 décembre 2016

    Il y a dix-huit mois à peine, la situation était sous contrôle. Délaissant une presse papier vieillissante, les industriels de la cosmétique misaient tout sur les blogueuses et les youtubeuses. Des dizaines de sites et de chaînes beauté en ligne ouvraient chaque jour. Les postulantes à la gloire se bousculaient au portillon. Dans une ambiance de casting permanent, il suffisait aux marques de choisir les plus prometteuses, puis de les couvrir de cadeaux : échantillons gratuits, invitations au festival de Cannes, voyages à Hollywood et places de concert VIP.


    Les professionnels avaient tiré les leçons de quelques bides spectaculaires, comme celui du blog « Claire, le journal de ma peau », ouvert en 2005 par Vichy pour vanter un exfoliant. Pendant les trois semaines que durait le traitement, une pseudo-blogueuse contait le quotidien de son épiderme. Huées des internautes, discrédit, retraite piteuse. Trop léché et terriblement artificiel, le blog de Claire était, de surcroît, superflu. Pourquoi dépenser de l’argent pour créer une fausse « influenceuse », alors que les vraies se bousculent pour collaborer et qu’elles sont crédibles aux yeux du public ?

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  • Are cosmetics ads subtly telling women they are flawed and require fixing? | by @HelenRingrow @Palgrave_

    A lot has been made of how airbrushed images in cosmetics advertising campaigns are setting beauty standards that are biologically impossible. But does that apply to the language used in the ads as well?

    A lot has been made of how airbrushed images in cosmetics advertising campaigns are setting beauty standards that are biologically impossible. But does that apply to the language used in the ads as well?

    A linguist from the University of Portsmouth believes the choice of words might also play a subliminal role in encouraging women to see themselves as “flawed and needing to be fixed”.

    Helen Ringrow, a lecturer in Communication Studies and Applied Linguistics, says the underlying theme in advertisements for women’s cosmetics was the constant need to fix problems including dry hair, lack of glow and poor skin. She said: “The language used tells women their faces, hair and bodies are always falling below some imaginary standard. It makes women feel they’re never quite measuring up, never quite right. “It also creates problems we never knew we had, such as selling us deodorant which makes our underarm skin tone appear more even.”

    She says the multi-billion pound beauty industry “thrives on making women’s bodies appear to be a flawed commodity which cosmetics can fix”. As part of her research, Ringrow studied more than 400 beauty ads in Cosmopolitan and Elle magazines over a six-month period in 2011. She noted subtle linguistic differences in tone and language in French and English advertisements but the underlying messages were similar.

    Ringrow said: “The advertisements tell women that their bodies need endless work and that they are not quite good enough without the use of cosmetics.” She also added the advertising also relied heavily on scientific language, saying: “Women are bombarded by a cocktail of scientific words, sex and youthfulness in cosmetics advertising.

    “You’ll find bold claims for the power of something scientific-sounding, like peptides or bio-proteins, which are not always proven, especially not in the small quantities in which they are found in many cosmetics products.”

    Ringrow has revealed the results of her research in a book titled The Language of Cosmetics Advertising, published by Palgrave.

     

     

  • @YvesRocherFR accentue son développement à l’international | #beaute #cosmetique #promiseconsulting-blog

    20/12/2016 16:00:00 FRANCHISE COSMÉTIQUE | OUVRIR UNE FRANCHISE

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    Spécialisée dans la distribution de produits cosmétiques, l’enseigne Yves Rocher, célèbre aux quatre coins du globe, continue d’affirmer son leadership dans ce secteur d’activité. La marque à récemment fait acquisition de l’enseigne israélienne Sabon, connue pour ses savons artisanaux découpés devant le client. Une acquisition qui s’inscrit dans la politique du groupe qui souhaite désormais réaliser (d’ici dix ans) 50% de ses ventes hors de la zone euro.

    Avec l’acquisition de la marque Sabon (dont les revenus sont estimés à 100 millions d’euros, et qui compte près de 165 magasins implantés à travers le monde notamment au Japon et aux Etats-Unis), l’enseigne Yves Rocher affirme une fois de plus son ambition de conquérir le marché international. Positionné sur un marché très porteur, l’enseigne poursuit son développement à travers le monde à un rythme effréné. Ciblant actuellement des pays émergents tels que le Mexique et l’Afrique (où le groupe a déjà quelques partenariats), Yves Rocher ambitionne de réaliser d’ici 10 ans, la moitié de ses ventes hors de la zone euro comme le révèle le PDG du groupe, Bris Rocher, dans une interview accordée aux Echos« Les deux tiers de notre chiffre d'affaires se font aujourd'hui en zone euro. Ce n'est pas forcément la région la plus dynamique. Notre objectif est de réaliser la moitié de nos ventes hors de ce périmètre dans les dix ans. »

    Désormais incontournable dans le secteur de la cosmétique, le réseau Yves Rocher accentue un peu plus son développement sur le marché international avec l’intégration de Sabon, qui offre au groupe l’occasion de faire du Japon son septième marché le plus productif. 

  • @EsteeLauder finalise l'acquisition de Too Faced | via @boursorama | @TooFaced #promiseconsulting-blog

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    (AOF) - The Estée Lauder Companies a finalisé l'acquisition de Too Faced pour 1,45 milliard de dollars. Le groupe de cosmétique souhaite, avec ce rachat, conquérir la génération des 20-35 ans et renforcer sa stratégie multi-canal et son leadership sur le segment en forte croissance du maquillage dit de prestige.

    John Demsey, Executive Group President chez The Estée Lauder Companies, ajoutera Too Faced au portefeuille des marques qu'il supervise. Ciblant la génération Y, Too Faced propose une gamme de produits cosmétiques pour les yeux, le visage et les lèvres. La société a plus de 7,3 millions d'adeptes Instagram et fait partie des huit premières marques de maquillage dans le canal multi-chaîne aux États-Unis.

    Ces dernières années, Too Faced connaît une croissance impressionnante et devrait réaliser un chiffre d'affaires net de plus de 270 millions de dollars en 2016. Cela représente une croissance de plus de 70 % sur l'année et de 60 % en composé annuel sur les trois dernières années.

  • Le Groupe Rocher (France) achète l'israélien Sabon (175 magasins) | @YvesRocherFR #promiseconsulting-blog

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    Sigal Kotler-Levy et Avi Piatok, co-propriétaires de la marque de cosmétiques israélienne Sabon (qui exploite 175 magasins dans le monde entier) ont annoncé cette nouvelle qui a fait le tour des rédactions des journaux économiques : “la société française de cosmétiques, Groupe Rocher, prend le contrôle de l’entreprise Sabon afin de renforcer ses capacités mondiales et d’accélérer son expansion à l’étranger”.

    Les détails financiers de l’opération n’ont pas été divulgués, mais le Groupe Rocher prend le contrôle (51%) de Sabon à une valeur estimée à 125 millions d’euros.

    Sabon est une marque privée de produits de bain, de soins corporels, de toilette et d’ambiance domestique. Elle a une forte présence en Israël, au Japon et aux États-Unis, ainsi que dans plusieurs pays d’Europe et d’Asie. Avec l’achèvement de l’acquisition, Sabon rejoint le portefeuille global de marques du Groupe Rocher.

  • Les #cosmétiques pour hommes, marché d'avenir ? | #Canada @adetem @Loreal #promiseconsulting-blog

    Les produits de beauté pour hommes, un marché d'avenir et qui le restera? De nombreuses marques spécialisées ont éclos grâce au commerce électronique et la mode du hipster barbu mais soigné, sans pour autant faire de l'ombre aux géants des cosmétiques.

    PHOTO FOURNIE PAR TRIUMPH

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    ÉTIENNE BALMER
    Agence France-Presse
    Paris

    Karine Schrenzel, codirigeante du groupe français de vente en ligne spécialisé ShopInvest, a le sourire: son pôle de cosmétiques masculins devrait connaître une croissance de 65% cette année.

    «Un homme a deux barrières» face aux produits de beauté: «Il n'a pas forcément envie de passer un samedi après-midi à flâner dans les boutiques de cosmétiques, et il a une certaine pudeur, que le web permet complètement d'effacer», estime cette femme d'affaires interrogée par l'AFP.

    Sur ses deux sites spécialisés en la matière, MenCorner et Comptoir de l'homme, les produits les plus plébiscités sont des huiles à barbe, des autobronzants, des colorations pour cheveux, des crèmes minceur ou dépilatoires.

    «Ces produits sont très surpondérés sur internet» par rapport aux ventes en magasins, où dominent les classiques déodorants, gels douches, shampooings et autres produits de rasage, selon Mme Schrenzel, qui mise sur ces créneaux de niche pour se démarquer de la grande distribution et d'Amazon.

    Les grands groupes ont souvent des marques avant tout féminines, avec des gammes masculines venues par la suite. Des marques originales, créées dès le départ pour les hommes, «ont vraiment une carte à jouer», estime-t-elle.

    En 2015, le marché de la beauté pour hommes, ou «grooming» (hors produits de rasage, savons, dentifrices et parfums) représentait des ventes mondiales de 17,4 milliards d'euros, 30% de plus qu'en 2011, selon le cabinet d'études Euromonitor.

    Cependant, cela représente toujours moins de 10% du marché total des cosmétiques.

    Design dandy et rétro

    En Occident, les hommes ont longtemps été réfractaires aux produits de beauté. «Dans l'univers judéo-chrétien, l'esprit et le corps étaient complètement séparés», rappelle à l'AFP Michèle Verschoore, spécialiste en dermatologie cosmétique chez L'Oréal et auteure d'un Guide de la beauté au masculin, paru début 2016.

    Mais aujourd'hui, «l'idée venue d'Asie se globalise, il n'y a plus de tabou masculin sur le bien-être», surtout chez les jeunes, ajoute Mme Verschoore.

    Aux États-Unis, puis en Europe, de nombreuses marques indépendantes haut de gamme pour hommes sont apparues ces dernières années, en particulier dans le domaine du soin de la barbe, affectionnant souvent un design dandy et rétro, comme les britanniques Captain Fawcett ou Apothecary 87.

    Lames et Tradition s'inscrit dans la même veine. Lancée il y a un an et demi, cette petite marque française vend notamment des huiles à barbe estampillées «naturelles» et «made in France», principalement à des professionnels. «Les barbiers ça pousse comme des champignons», se réjouit Stéphane Couty, le fondateur et patron de cette TPE (très petite entreprise), qui cherche à se développer à l'export. «On a été rentable dès notre première année», ajoute cet ancien du BTP.

    Didier Arthaud, fondateur de la marque 66°30, est sur un créneau au développement plus lent, les crèmes de soin visage pour hommes, bio de surcroît. Il sera rentable cette année, pour la première fois depuis le lancement de sa marque en 2009.«On est sur la niche de la niche», car «globalement les hommes sont moins sensibles au bio que les femmes», en ne l'associant pas à l'efficacité qu'ils recherchent avant tout dans les cosmétiques, selon cet ancien cadre de grandes entreprises françaises.

    L'entrepreneur met en garde ceux qui verraient les cosmétiques pour hommes comme un nouvel Eldorado: «Les mentalités vont beaucoup moins vite que les marketeurs».

    Et les grands distributeurs sélectifs, tels Sephora, Nocibé ou Marionnaud, privilégient les poids lourds du secteur comme Biotherm (groupe L'Oréal), Clinique ou Clarins, relève-t-il.

    Enfin, quand un acteur indépendant commence à devenir intéressant, il finit souvent par être mangé par un gros poisson.

    Cet été, la marque américaine Dollar Shave Club, qui vend en ligne par abonnement des rasoirs et des produits de soin pour hommes, a été ainsi avalée pour un milliard de dollars par le néerlandais Unilever (Axe, Rexona, Dove...), leader mondial des cosmétiques pour hommes (hors rasage) devant le français L'Oréal.