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1- Actu - Page 60

  • Chanel s'invite à la Havane pour un défilé inédit, symbole de l'ouverture au Monde de l'Ile [#promiseconsulting #chanel @chanel #luxe]

    Posted by Pureactu.com | 4 Mai, 2016 | Pure Buzz |

    Devenue The place to be, l’île de Cuba vient d’accueillir un défilé signé Chanel. Après les Rolling Stones, l’opération séduction du gouvernement cubain continue avec un défilé haute couture proposé par la célèbre maison de luxe parisienne. Un événement clinquant, symbole d’un capitalisme triomphant.

    Sur le Paseo del Prado, boulevard à ciel ouvert à 300 mètres de la mer décoré pour l’occasion, le luxe s’est imposé.

    La prestigieuse marque a choisi la Havane pour son premier podium en Amérique latine et pour dévoiler sa nouvelle collection bourrée de références à la culture de l’île avec ses sombreros typiques, ses cigares et ses vieilles voitures. Artistes et officiels cubains, mais aussi célébrités d’Hollywood, comme Vin Diesel et Tilda Swintonou, ont assisté au défilé, accessible sur invitation uniquement. (...) 

    « Finalement, le monde s’ouvre à Cuba. Tout le monde veut connaître la pomme interdite, tout le monde veut la découvrir, la savourer, en profiter, l’explorer », a déclaré à l’AFP Mariela Castro, fille du président Raul Castro et directrice du Centre national d’éducation sexuelle.

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  • [Figure You Should Know] –18,3 billion $ is the estimated Indian Luxury Market in 2016 [#economy #luxury #promiseconsulting @LuxurySociety]

    The Indian luxury market is expected to cross that amount during this year.

    According to a research report by Euromonitor, India merely contributes 1-2% to the global luxury trade. However, despite this insignificant percentage, the market is growing at a compounded annual growth rate (CAGR) of about 25%. Indian luxury market is expected to cross $18.3 billion by 2016 from the current $14.7 billion.

    As per a study by Assocham , in 2015, luxury jewellery, electronics, SUV cars and fine dining have grown immensely. Apparel, accessories, wines and spirits are growing as strongly as in the past. Consumption of branded wine is also likely to register a over 30% increase in the metro cities.

    Indian brands are starting to be well-known, with Gitanjali Group (jewellery retailers), Titan Company (5th largest manufacturer of wrist watch in the world) and PC Jeweller Limited (jewellery retailers) now accessing the top 50 luxury brands worldwide.

    Finally, it is to be noted that cosmetics and beauty products markets are highly lucrative in India, since women’s purchasing power is greater.

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  • Le prêt-à-porter de luxe au Maroc: entre réalité et fantasme, comment se porte-t-il ? [#maroc #luxe #mode]

    SOURCE HUFFPOST MAROC- Zoubida Senoussi et Abdessamad Moustaid - MAI 2016

    MODE - Pour la majorité des femmes marocaines, le luxe évoque "l'esthétique, la beauté et l'élégance", selon une étude réalisée par le cabinet Marketing B. Voilà pour la théorie, car dans les faits, la récente fermeture des Galeries Lafayette à Casablanca et leur remplacement par des marques low cost interroge sur la maturité du marché marocain du prêt-à-porter de luxe.

    Pour Éléonore Bénit, rédactrice en chef du magazine Icônes (Groupe Telquel), "le marché du luxe, comme tous les marchés de niche, a ses limites et n’est pas extensible à merci. Le départ successif de marques comme Miu Miu ou Prada il y a quelques mois indiquait déjà que le marché du retail de luxe au Maroc était – et est toujours – loin d’être mature. À l’inverse, une marque comme Tati répond de façon bien plus cohérente à la réalité du pouvoir d’achat de la majorité des habitants des grandes villes de notre pays".

    Loin d'être mature, ce marché pourrait également être impacté par les habitudes d'achat et les comportements des consommateurs aisés, qui préfèrent faire leurs emplettes à l'étranger dans les capitales du luxe comme Milan, Paris ou encore Dubai, "où l'on dispose de plus de choix et de.... discrétion", estime Sofia Benbrahim, fondatrice de Shoelifer, média marocain axé sur le luxe et l’art de vivre.

    "Consommer du luxe, c'est vivre une expérience"

    Pour Meryame Mellouk, professeur en marketing de luxe à l'Université Hassan II à Casablanca, "la mobilité à l’international fait que les achats se font en général dans d’autres pays où l'on pense bénéficier du produit global offert par le luxe (évènements privés, accueil personnalisé, collections privées…) bref, tout ce qu’offrent les maison de luxe à leurs clientèles qu’on ne trouve pas forcement au Maroc. Ajouter à cela l’exclusivité, un plus grand choix et les avantages fiscaux (même si cela changera bientôt)".

    Pour la rédactrice en chef du magazine Icône, il s'agit même d'une "évidence, non pas qu’ils (les consommateurs) le 'préfèrent' mais que les habitudes de consommation prennent parfois du temps à se modifier". Selon elle, "pendant des années, certaines marques n’étaient pas distribuées au Maroc. La clientèle marocaine habituée à la consommation de produits de luxe est très exigeante et voyage beaucoup, ce qui continue de favoriser l’achat à l’étranger. Consommer du luxe, ce n’est pas seulement acquérir un produit, mais c’est aussi - et peut-être surtout - vivre une 'expérience' hors norme, composée d’une multitude de codes qui entourent l’acte d’achat", explique-t-elle.

    "Lorsqu’on est en vacances, loin de chez soi ou dans une capitale mondiale réputée pour son élégance, son savoir-faire ou son expertise 'shopping', l’achat est alors entouré d’un aura ou d’un supplément d’âme qu’on ne peut pas acquérir à deux pas de chez soi. La possibilité de bénéficier de la détaxe entre aussi évidemment en ligne de compte".

    La guerre sans fin contre le faux

    Et la contrefaçon dans tout ça? "Le marché du luxe est destiné à une clientèle particulière, une personne qui peut se permettre un sac à 30.000 dirhams n'ira jamais acheter de la contrefaçon", tranche Sofia benbrahim.

    Même son de cloche chez Éléonore Bénit: "La circulation de faux existe au Maroc depuis des décennies et répond essentiellement au besoin d’une population (locale ou étrangère) qui n’aurait pas forcément les moyens d’accéder aux produits de luxe authentiques d’assouvir son désir. Pour autant, la contrefaçon demeure un enjeu majeur pour les géants du secteur, non tant pour l’aspect financier que pour une question d’image. Et c’est une guerre sans fin: plus un produit a du succès, plus il sera copié".

    Reste enfin le rapport si particulier qu'entretiennent les consommateurs marocains avec les produits de luxe. Il est de notoriété publique que les Marocains investissent beaucoup dans l'or, cette "valeur sûre, contrairement à un sac X ou Y qui fait son temps", estime Sofia Benbrahim.

    Pour Meryame Mellouk, les consommateurs marocains "font des achats 'investissement' dont ils savent impertinemment la valeur, et peuvent aller jusqu’à s’endetter pour acquérir un bien durable qui entre dans le patrimoine familial comme la joaillerie, les pièces de collection ou l'horlogerie".

    Qu'en est-il des autres secteurs du luxe? "Il me semble que celui de l’automobile au Maroc se porte extrêmement bien, et ce malgré la taxe de luxe créée il y a deux ans. Celui de l’horlogerie aussi, notamment pour certaines très grandes maisons comme Cartier ou Rolex. Avec la montre, la voiture est l’un des premiers marqueurs sociaux pour une population. Dans un pays comme le Maroc où l’hétérogénéité sociale est aussi forte, dire au monde combien l’on vaut équivaut à dire qui l’on est", conclut Éléonore Bénit.

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  • #Balmain: the power of Growth Hacking in #luxury #fashion [@balmain @adetem #promiseconsulting]

    IMAGE : Olivier Rousteing - Directeur artistique Balmain

    SOURCE: FORBES - GREG PETRO - MAY, 06, 2016

    If you’re in tune with what’s going on in the world of tech startups, you’ve likely heard the phrase “growth hacking.” The phrase, coined in 2012 by Silicon Valley veteran Sean Ellis, refers to a way of marketing a business or product that attracts a massive following of fans and customers without spending a fortune on traditional marketing strategies.

    When the phrase first started gaining traction among tech marketers, growth hacking was generally seen as something that software or e-commerce companies did. As we’ll see, growth hackers are very scientific in the way they approach marketing. They only care about growth that is measurable and provides useful data.

    Today, luxury fashion companies like Balmain and Spring are adopting some core growth hacking strategies to give them an edge. Seasoned investors know the luxury market can be fickle, but looking for companies that are on the cutting edge of digital marketing could be a great way to separate the winners from the rest of the pack.

    The keys to growth hacking

    Before we get into specific examples, it’s useful to know some of the core concepts of growth hacking. Naturally, each company’s product/service is different, so specific tactics that work for one business may be useless to another. Regardless, growth hacking has brought some key points into focus for marketers in all industries today. Here are a few of the most important:

    [1]- Product/market fit. The traditional means of product development is to spend months or years developing an offering behind closed doors, then launching it with one big push. The problem is these launches end up losing the company money because, while the product was spending a year or so in development, the market may have moved on. Growth hackers, on the other hand, start with a minimum viable product and get it out to potential customers as soon as possible. This allows them to see if there is a market for it, and early adopters can provide useful feedback about features that can be included with future iterations.

    [2]- Eschew traditional marketing. Growth hackers don’t go for TV commercials, billboards and other mass marketing channels because they are extremely expensive and they don’t allow for precise measurement of results. Growth hackers widen the definition of marketing to include things like PR stunts, shows and anything else that gets a lot of attention on social and legacy media without costing a fortune.

    [3]- Data is king. To that end, these low-cost campaigns must stand the test of social graphs, SEO rankings, A/B testing and other data-based metrics – these are the tools of the growth hacker.

    Now we’ll look at how two well-known luxury fashion companies are applying these principles.

    Balmain combines product/market fit with savvy social marketing

    According to a profile in GQ, Balmain’s creative director Olivier Rousteing knew that the products he helped design for Balmain had a unique look that would catch on with luxury-seeking consumers. main combines product/market fit with savvy social marketing

    But he was also keenly aware that in the world of fashion, if you don’t have a relationship with your fans that gives you prime visibility, people will move on to the next thing.

    Rousteing made a gamble in 2012 that Instagram would become a key social channel, and that bet paid off. He started taking ridiculous pictures of himself while wearing the clothes he designed, and his gregariousness boosted his profile significantly, with Balmain’s rising in step.

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  • [Figure You Should Know] – +53% number of African millionnaires by 2024 [#economy #luxury #promiseconsulting]

    The number of African millionaires might be higher by 2024, numbering around 258,000 millionaires, which equates to a rise of 53%. Africa is still largely underestimated and is slowly gaining ground on that market: 80% of luxury monobrand stores are operating in Morocco and South Africa.

    Also, KPMG states that the ultra-wealthy individuals are mostly going to South Africa (Cape Town and Johannesburg) or to Morocco in Marrakech – which is attracting luxury hotel investors, as noted by CPP Luxury – and Casablanca.

    Luxury goods for men, such as men’s clothing, watches, accessories, jewellery, etc., play a major role as they still have a higher income than women and are popular amongst wealthy men of power.

    Source: Bloomberg - KPMG - CPP Luxury

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  • [Figure You Should Know] – 630 M[#economy #promiseconsulting @printempsetudes]

    According to McKinsey (March 2014), by 2022, middle class in China will change considerably, mainly geographically.

    Tier 1 cities (Beijing, Shanghai, Guangzhou, Shenzhen) might see their share of urban middle class decline (from 40% in 2002 to 16% in 2022) while it should be rising in tier 2 and tier 3 cities (for the latter, from 15% to 31%). This middle class could reach up to 630 million people in 2022, which is accounting for around half of the population in China, thus making China a middle class country.

    Since they are now spreading, brands looking for customers will have to focus more on tier 2 and tier 3 cities and especially on middle class customers.

    Source: Mc Kinsey

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