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4.c- Beauté - Page 28

  • #Pharmacies : Rester dans une logique de diagnostic pour la #cosmétique - Présentation d’une offre resserrée [#conseils #confiance #hydratation #soin #prévention #sélection #promotion]

    By Fabienne Colin, 2016-10-01+, Pharmacien Manager N°161, News : Face à Face

    Le marché du soin en officine se porte bien, au détriment de la parfumerie. Une opportunité que le pharmacien a intérêt à exploiter pour fidéliser. Conseils de Philippe Jourdan, expert en Marketing, diplômé d’HEC et fondateur de Promise Consulting, un groupe spécialisé dans l’accompagnement stratégique des marques cosmétiques.

    Tout d’abord, Philippe Jourdan explique que les pharmaciens doivent rester dans la logique suivante :

    Les consommateurs vont traditionnellement en pharmacie suite aux conseils de leurs médecins afin d’effectuer leurs achats de médicaments à l’issue d’un diagnostic. L’achat est donc basé sur une logique de confiance, que Philippe Jourdan encourage à garder tout en présentant des offres adaptés aux besoins de la clientèle. 

    Face à un besoin de prévention de la ride, de comblement, d’hydratation, le pharmacien ne doit pas aborder le client par la promotion du moment ou par une marque, mais par un diagnostic. La deuxième étape est de s’orienter vers le produit adéquat qui fait partie d’une sélection faite en amont.

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  • The future of luxury brands in an on-demand world [#digital #luxury #technology #socialmedia #exclusivity #challenges #culture #customization #click-to-buy]

    The future of luxury brands in an on-demand world

     By Tracey Follows, 2016-10-10+, Campaignlive.co.uk

    Can luxury brands both embrace the sharing economy and remain aspirational? It's an existential question they now need to answer.

    Luxury brands are prefaced on the idea of scarcity – what is scarce is of most value, and what is difficult to acquire or to access confers status. But in a world of abundance, in which nearly everything is accessible and nothing is scarce, what are the symbols and codes that communicate that something is a luxury?

    > Which role does digitalization, technology and social media play?
    > Which degree of exclusivity is right and how do the cultural differences create a need for customization?

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  • #Russia’s #economic trials paves #opportunity for #luxury [#depreciation #tourism #accessories]

    Russia’s economic trials paves opportunity for luxury

    By Staff Reports, 2016-10-10+, Luxury Daily, Retail

    Devalued currency rates in Russia have spurred an uptick in tourism and the purchase of luxury accessories within the market.

    Although Russia’s luxury sector has had its share of highs and lows, many brands have worked to capitalize on its potential.

    With the depreciation of the Russian ruble, the Russian market recognized a +2% increase in purchased personal accessories (in rubles), compared to US dollar purchases which declined by -30%.

    Despite the depreciation, Russian affluents opted to stay local to shop, rather than flying to destinations such as London or Paris to effectuate high-end purchases, since the prices of luxury goods became more attractive at home.

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  • #Pharmacies : rester dans une logique de diagnostic pour la #cosmétique

    PHARMACIES MANAGERS - FABIENNE COLIN - 01 OCTOBRE 2016

    Le Marché du Soin en Officine se porte bien au détriment de la parfumerie. Une opportunité que le pharmacien a intérêt à exploiter pour fidéliser. Conseils de Philippe Jourdan, expert en Marketing.

    (...)

    PM : Les officines ont-elles changé assez rapidement ?

    PJ : Nous observons cela à travers la parapharmacie. Menant nos études à l'international, nous ne sommes pas réellement surpris du poids que prend la pharmacie sur les marchés du soin de la peau en France. C'est déjà le signe du rattrapage d'un certain retard. On remarque aussi que le consommateur se tourne de plus en plus vers la pharmacie pour le soin et notamment sur l'hydratation et la prévention des effets de l'âge. Et ce pour trois bonnes raisons : la recherche de produits naturels, le questionnement sur l'efficacité et une certaine méfiance face à des marques qui ne présenteraient pas toutes les garanties à propos des effets secondaires. Enfin, on sent une montée de la réglementation, notamment européenne, sur les composants. On adopte de plus en plus un discours de transparence scientifique et le consommateur semble y être favorable. Cela correspond assez bien au discours blouse blanche de la pharmacie. 

    (...)

    PM : dans ce contexte quelles sont les marques qui sortent du lot ?

    PJ : Pour certaines catégories de produits et certains cas, le consommateur est dérouté par la surabondance de marques et d'offres. Il perd ses repères, il zappe et du coup il est moins consciencieux dans le suivi d'une routine. Or on sait que l'efficacité du soin est lié au produit et à la régularité de son application pendant un temps suffisamment long. Le nombre de marques et le rythme d'innovations sont parfois de nature à perturber le consommateur. De son côté, la pharmacie a le grand avantage d'avoir une offre resserrée autour de marques fortes, souvent clairement identifiées par un bénéfice majeur. Le repérage est plus facile. La Roche-Posay a fait un bel effort pour s'assurer une visibilité en pharmacie autour de bénéfices peu nombreux mais clairement identifiés.

    (...)

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    [EN SAVOIR PLUS SUR LA REVUE PHARMACIEN MANAGER]

  • Quelles sont les #marques les plus mentionnées sur les réseaux sociaux ? [#réseauxsociaux #socialmedia #digital #études #Amazon #Louis Vuitton #Chanel #Tiffany&Co. #Burberry #Prada]

    Quelles sont les marques les plus mentionnées sur les réseaux sociaux ?

    By Abc-Luxe, 2016-09-19


    Si l’on sait que les réseaux sociaux sont devenus ces dernières années un moyen privilégié pour les marques de faire parler d’elles, de recruter de nouveaux clients et d’interagir avec leurs communautés, Netbase s’intéresse aux enseignes les plus appréciées et les plus mentionnées sur Twitter, Facebook, Instagram et autres consorts.
     
    Pour réaliser son rapport, Netbase a étudié le nombre d’occurrences de 60 marques réparties selon 11 catégories, sur quelque 430 millions de posts sur les réseaux sociaux. Il apparaît ainsi que si tous secteurs confondus c’est Amazon qui occupe la tête du classement des marques les plus mentionnées, c’est Tiffany & Co. (14e place du classement général) qui se distingue comme la griffe ayant engendré le plus d’échanges "positifs et passionnés".
     
    Louis Vuitton se classe 1er de la catégorie Luxe et 4e du classement général, talonné par Chanel et Burberry, qui a multiplié les initiatives et actions digitales ces derniers mois. Prada se place en 5e position des marques Luxe et 16e position du classement général.

    réseaux sociaux, classement, social media 2016, Amazon, Louis Vuitton, Prada, Tiffany, Chanel, Burberry
     
    [LIRE L’ARTICLE EN ENTIER]

  • «Le #luxe subit un profond changement de modèle» via @Lopinion

    Associé fondateur du groupe de conseil et d’études Promise Consulting, Philippe Jourdan décrypte la crise que traverse le secteur
    «Le #luxe subit un profond changement de modèle»

    By Muriel Motte, 19-09-2016+, L’Opinion

    [LIRE L’ARTICLE EN ENTIER DANS L'OPINION.FR]

    La baisse de la livre a fait flamber de 36 % les ventes de produits de luxe au Royaume-Uni le mois dernier. Les variations des taux de change ne sont pas le seul élément perturbateur pour les groupes du secteur : digitalisation, ralentissement de la demande chinoise, attentats, les défis s’enchaînent et provoquent parfois des accidents industriels. Spécialiste des marques, Philippe Jourdan anticipe une croissance annuelle de 2 % du marché des produits de luxe dans les prochaines années.

    Quelle est la nature de la crise que traverse le secteur du luxe ?

    Il s’agit d’un profond changement de modèle dont l’effet est amplifié par une conjoncture économique difficile. Jusqu’à la crise financière, le marché des biens de luxe était tiré par une forte demande à laquelle répondait l’offre des grandes maisons qui se voulaient exclusives, et qui contrôlaient les prix et la distribution via le rachat des licences et la création de boutiques en nom propre. Tout cela évolue très rapidement.

    Les groupes de luxe fonctionnaient principalement sur une logique monocanale : la boutique. Ils ont aujourd’hui encore du mal à se positionner sur le schéma de l’omnicanal qui se développe avec Internet. Le ralentissement de la croissance mondiale, puis les attentats, ajoutent à ces perturbations car le marché du luxe est très fortement « drivé » par l’activité touristique (...)

    Cette crise est donc aussi imputable à la forte dépendance du luxe à la Chine ?

    Les Etats-Unis restent dominants et représentent un tiers du marché mondial du luxe. Mais 70 % de la croissance de ce marché au cours des dix dernières années a été le fait de la Chine. Et ce sont les Chinois qui réalisent hors de chez eux l’essentiel (70 %) des achats de produits de luxe.

    Dès que la demande chinoise ralentit - c’est l’une des conséquences de la politique anticorruption et du ralentissement économique du pays entre autres - ou qu’une menace pèse sur le tourisme mondial, le luxe en ressent les effets. C’est le cas aujourd’hui. Les géants du secteur doivent être vigilants sur un autre point : Pékin aura tôt ou tard le souci de rapatrier en Chine continentale un marché qui lui échappe largement, car les taxes imposées sur les biens de luxe rapportent aux caisses de l’Etat. (...)

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    La croissance du marché ne dépend plus de ceux qui ont énormément d’argent, mais de ceux qui en gagnent de plus en plus. Ce n’est pas du tout la même clientèle.

    Les marques doivent s’adresser à de nouveaux profils, des consommateurs plus jeunes, plus cosmopolites, mieux éduqués en matière de luxe mais plus critiques. Et habitués à comparer les prix et les produits puisqu’ils sont évidemment de plus en plus « digital natives ». Il s’agit d’une mutation très profonde, qui génère beaucoup d’interrogations sur la stratégie à mener.

     

    La stratégie digitale est-elle une source de différenciation entre les grands groupes mondiaux ?

    promise consulting, luxe, changement, mutation, digitalisation, chine, USA, croissance, conjoncture, tourism, omnicanal, France, transformation profil, relation-client, différenciation C’est un secteur parfois conservateur qui a du mal à accepter de perdre le contrôle de la distribution, mais tous sont aujourd’hui très actifs. Un des premiers bouleversements est venu de la comparaison mondiale des prix par des clients connectés et globe-trotteurs.
    Face à cela, Chanel a annoncé l’an dernier sa volonté d’établir progressivement un meilleur équilibre des prix de ses produits dans les grandes zones géographiques, Chine, Europe, Etats-Unis. Tous y viendront sans doute mais c’est très complexe en raison des coûts d’approche et des taxes différents, sans oublier les variations de taux de change ! (...)

    [SE RENSEIGNER SUR LE DEUXIÈME BOULEVERSEMENT]

    Google ou Apple débauchent des talents dans les groupes de luxe et veulent investir ce secteur. Menacent-ils les acteurs traditionnels ?

    La dernière génération des acheteurs de luxe, notamment Chinois, est particulièrement adeptes d’objets high tech au détriment des produits plus classiques. Dans ce sens, ces géants peuvent être une menace. (…)

    Le marché mondial du luxe croissait à deux chiffres au début du siècle, un taux tombé autour de 2 % aujourd’hui. Quelle est la « nouvelle normalité » pour les années à venir ?

    La projection moyenne pour les prochaines années est de l’ordre de 2 % à taux de change constants, ce n’est pas si mal pour un marché qui pèse déjà 240 milliards d’euros.

    Nous sommes face à des consommateurs plus exigeants, des marchés plus mûrs, peut-être allons-nous commencer à faire du marketing et à revenir à des fondamentaux de la relation-client, de la qualité de l’offre et du service. (…)