Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Berluti, Brioni, Zegna: les départs de leurs directeurs artistiques [#mode #luxe #prêt-à-porter]

    From : Martin Betant, luxe.net, 15/02/2016

    Décidément, les derniers temps sont placés sous le signe du changement pour bon nombre de maisons de luxe. Aujourd’hui, ce sont les maisons Berluti, Brioni et Zegna qui se sont séparées de leurs directeurs artistiques: Brendan Mullane, Alessandro Sartori et Stefano Pilati

    Après les départs en fin d’année 2015 de Raf Simons (Dior), d’Alber Elbaz (Lanvin), d’Alexander Wang (Balanciaga) et des récentes spéculations de départ d’Hedi Slimane du groupe Saint Laurent, trois nouvelles maisons de luxe ont annoncé le départ de leurs directeurs artistiques

    C’est le célèbre bottier Berluti , marque du groupe LVMH, qui a annoncé en premier le départ de son directeur artistique, Alessandro Sartori. Le créateur Italien de 49 ans occupait ce poste depuis le 1er Juillet 2011 et est à l’origine du fort développement international de l’entreprise française ainsi que de l’extension des collections de prêt-à-porter de la marque.

    (...)

    Un jour seulement après cette annonce, c’est au tour de la maison Brioni du groupe Kering de se séparer de Brendan Mullane, son directeur artistique depuis 2012, après avoir notamment travaillé pour Hermès, Louis Vuitton, Burberry ou encore Givenchy.

    (...)

    Enfin, c’est la maison Ermenegildo Zegna qui clos le bal -pour le moment- des départs de directeurs artistiques: Stefano Pilati. Le créateur avait rejoint la maison italienne dédiée à l’élégance masculine en 2012, après avoir exercé comme directeur de la création du prêt-à-porter chez Yves Saint Laurent. Selon certaines rumeurs, Stefano Pilati serait en lice pour prendre la direction artistique de la marque Lanvin, laissée vacante depuis le départ d’Alber Elbaz en octobre dernier. Des nombreux remaniements sont donc à prévoir entre toutes ces maisons de luxe…

    [LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]

  • Social media changes the way fashion brands introduce their new looks. [#digital #fashion #luxury]

    This content originally appeared on Internet Retailer. By Simona Marmina, Fashion and Luxury Strategist

    In the past, fashion shows were private and highly exclusive events. Labels relied upon elite influencers to disseminate new styles through a sort of chain reaction. In recent years, the process of revealing a new line has changed dramatically. Thanks to a rise in fashion blogging and social sharing, luxury brands now have a direct line to the whole audience they care about reaching on the same day new styles are revealed.

    Today, high fashion styles spread at high speed. Of course, social media plays a primary role in that spread. 

    In the next few weeks, Fashion Week events will dot the globe. These shows are highly anticipated and will be followed by fashion enthusiasts around the world. So, how should luxury fashion brands go above and beyond traditional social media efforts to capitalize on the Fashion Week momentum?

    LEARN MORE ABOUT THE FOUR SUCESSFUL DIGITAL STRATEGIES FOR LUXURY BRANDS

    Lire la suite

  • Les ventes de #Prada stagnent en 2015 [#chine #luxe #italie]

    (Boursier.com)Prada n'a pas été épargné par le ralentissement économique chinois ainsi que par la campagne anti-corruption dans le pays. Le groupe de luxe italien a vu son chiffre d'affaires consolidé reculer de 0,2% sur l'exercice clos fin janvier, à 3,54 milliards d'euros. Un niveau en ligne avec les attentes des analystes. L'affaiblissement du yuan et une évolution du goût en faveur de produits plus abordables ont également pesé sur les ventes aux touristes en visite à Hong Kong, entre novembre et janvier.

    [RETROUVER LA BREVE SUR BOURISER.COM]

  • Les Chinois ont acheté près de 50% des produits de luxe en 2015 selon #lequotidiendupeuple

    Les consommateurs chinois ont dépensé 1,2 billions de yuans (164 milliards d'euros) à l'étranger en 2015. 

    Plus de 60% d'entre eux ont acheté des produits de luxe. Au total, quelque 105 milliards d'euros ont été dépensés en sacs à main, cosmétiques et autres accessoires pour smartphones. Une somme qui représente 46% des ventes mondiales dans ce secteur, selon Le Quotidien du Peuple. Le ministère chinois du Commerce estime ainsi que la capacité de consommation du pays à l'international a augmenté de 27,8% par an entre 2005 et 2015, soit le double de celle du marché intérieur. 

    Plus de 120 millions de touristes chinois ont voyagé à l'étranger l'an dernier, leurs dépenses atteignant au moins 12% de la consommation globale du pays. Mais parallèlement à cela, le ralentissement de la consommation intérieure préoccupe le gouvernement.

    Les marques de luxe prises d'assaut à l'étranger
    De fait, les prix des produits importés restent élevés comparés aux marchés étrangers. Les tarifs de 37 produits haut de gamme sont ainsi 40% à 68% plus élevés que ceux pratiqués aux États-Unis, en France et en Allemagne. 

    [LIRE L'ARTICLE COMPLET]

    • Pour en savoir plus sur notre cycle de Conférences : "Chine et Luxe : enjeux et perspectives" : contacter valerie.Jourdan@promiseconsultinginc.com

     

     

  • Le prêt-à-porter de luxe de retour à Téhéran [#iran #luxury #asia-pacific]

    Mariam PIRZADEH , correspondante en Iran France 24

    Roberto Cavalli est parmi les premières enseignes de luxe occidentales à ouvrir une boutique à Téhéran depuis 1979. L’enseigne italienne a pris ses quartiers dans le nord très huppé de la capitale iranienne. France 24 était à l’inauguration.

    Vers 19 heures, ce mercredi 17 février, la foule arrive d’un coup, par petits groupes. Presque dans le silence tant leur surprise est palpable. Il y a d’abord eu les premières interrogations : est ce la vraie marque ? Difficile encore pour certains de croire que ce magasin Cavalli qui ouvre ce soir est le même qu’à Milan ou Paris tant depuis 37 ans, les fausses enseignes sont légion à Téhéran. À tel point, que les grands groupes internationaux de luxe qui affluent depuis un an pour prospecter  en République islamique en sont presque amusés.

    "Je vais pouvoir désormais acheter dans mon pays"
    Les serveurs distribuent petits fours et jus de fruits. Ils cherchent à se frayer un chemin dans cette foule triée sur le volet. Un petit groupe d’amies, très concentrées, s’attardent sur la collection de robes. "Cela montre que l’Iran s’ouvre. Avant, je ne faisais jamais de shopping ici. Maintenant, je vais pouvoir acheter dans mon pays" s’enthousiasme Nazanin, 34 ans. La jeune femme fait partie de cette nouvelle génération d’iraniens favorisés qui a l’habitude de voyager et apprécie de voir son pays s’ouvrir sur le monde.

    L’inauguration de la boutique Cavalli marque le retour du luxe à l’occidentale en Iran, après des années d’une campagne officielle de boycott visant à préserver "l’identité iranienne". Un filon que la marque italienne a voulu exploiter avec ces 360 mètres carrés, une des surfaces de vente les plus importantes du groupe. La marque a pourtant mis du temps à s’installer. Un long processus commencé un an avant l’accord sur le nucléaire iranien. Il aura fallu près de deux ans de pourparlers et de travaux pour permettre à cette tête de pont du luxe italien de s’installer ici.

    (...)

    Juste à côté de Cavalli, une autre boutique est encore en travaux. Versace, autre grand nom du prêt à porter italien, devrait ouvrir d’ici un mois, assure, confiant, l’un des partenaires italiens de cette aventure. L’arrivée d’autres grands groupes est annoncée pour les prochains mois. Le français LVMH, notamment, est encore en prospection. "Une boutique Dior en plein Téhéran, ce sera une réalité dans les cinq ans à venir", nous confiait il y a quelques mois le président de la chambre de commerce franco-iranienne.

    [LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]